Les Bonnes De Genet Mise En Abyme

Jacques. Ce dernier voyage en compagnie de son maître, mais le récit de « ses amours » est à chaque fois interrompu soit justement par son maître, soit par des interventions ou incidents extérieurs, soit par des « histoires » autonomes (des mises en abyme donc) venant se greffer au récit initial (histoire des amours de Madame de La Pommeraye, l’histoire de la mort de Socrate, l’histoire des deux anneaux, etc.), soit carrément par des discussions entre le narrateur et le lecteur. 4  Commentaire

Mairet marque la naissance et la victoire. d'un genre tragique régulier. Jean Racine Vers 1640, quand Pierre Corneille lance, après le Cid, la série de ses pièces historiques, la tragédie devient non plus le récit d'une illustre infortune, mais la mise en scène d'une action héroïque face à un conflit politico-amoureux et sous la menace d'un péril de mort : désormais, l'issue funeste n'est plus une nécessité. Même si par la suite Jean Racine substitue la passion à l'action héroïque, il ne conçoit

soit mesurée à l'aune de la mémoire : « Mais ce n'est pas de moi qu'elle a peur. Plus de moi. » À nouveau, l'adverbe signale une référence au passé, une influence ancienne et perdue, qui donne à cette dernière rencontre les allures d'une douloureuse mise à l'épreuve, que Geoffroy veut mettre à distance en se refusant à céder à l'émotion. Pourtant, celle-ci affleure. 2. L'oubli difficile Mémoire et oubli semblent ici se livrer un âpre combat dans l'esprit du personnage masculin, qui recompose, comme

avant-textes, dits « paratexte » par Genette (textes qui entourent le récit principal). Paratextes -Le titre est le premier paratexte : il est double. Titre principal : Justine, et le sous-titre : ou les malheurs de la vertu. -Deuxième paratexte : la citation en exergue p26 (= une épigraphe) Cette citation vient de lui : c’est une reprise de la fin du roman (p360) -Dans le manuscrit il y a un troisième paratexte : une gravure, mais l’éditeur ne l’a pas mise. -Quatrième paratexte : une dédicace « à

Pénélope) épitexte littéraire → bien littéraire + met en exergue rivalité littéraire entre mère/fille + poétisé particulière de la forme épistolaire (pas juste un réservoir factuel). Débat insoluble. Une littérarité nécessairement conditionnelle, Genette → notion de littérarité à travers Fiction et diction, on peut identifier d'emblée une œuvre littéraire, si elle relève de la fiction ou si elle s'illustre par sa diction (le vers par lui-même) tout ce qui est en vers ou fictif est identifié d'emblée

cf. : Georges Dumézil : « Mythes et épopées » : grand théoricien des représentations et des sociétés indo-européennes : culture originelle commune. Peuple indo-européen regroupé entre Ukraine et lac Baïkal vers 5000 avt JC. Méthode comparatiste : mise en évidence des similitudes ; ex : idéologie de la tripartie : 3 classes sociales : - fonction religieuse - fonction guerrière, - reproduction (pasteur et cultivateur) Dumézil travaille sur l’épopée

d’une ventouse» autorise le poète à parler à la place de «soudure»6. La traduction de l’énigme est donc: «J’ai vu un homme appliquer une ventouse (de bronze) sur un homme avec du feu». Aristote ajoute qu’on trouvera des métaphores justes parmi les bonnes énigmes «car la métaphore est une sorte d’énigme»7. Assurément, toute métaphore est une énigme, mais une énigme que la lecture résout immédiatement, tandis que la phrase 10 citée plus haut résiste véritablement à la compréhension. C’est dans

romans: • Le Baiser au lépreux (1922) • Génitrix (1923) • Thérèse Desqueyroux (1927) • Le Mystère Frontenac (1933) • Le Nœud de vipères (1932) Ses conceptions philosophiques sont basées sur le christianisme. L'idéal du personnage est donc le bon chrétien. Mais Mauriac critique l'Eglise en tant qu'institution sociale. Il est influencé par Dostoïevski. Dans ce sens, Mauriac s'intéresse au caractère du personnage. Selon lui, le personnage de Balzac est cohérent, prévisible, dominé par une seule

comique, de l’ironie. Tout ceci part-il d’un projet, ayant une raison d’être spécifique et un objectif propre ? Est-ce un discours, comme Meunier le dit, nihiliste, qui est railleur par volonté de destruction, ou se cache-t-il derrière tout ceci une mise en cause et une bataille militantes pour des valeurs ? Pessimisme ou optimisme ? Résignation ou espoir ? Nous répondrons à la question si le célibat ou le mariage mènent à l’insatisfaction, est-ce véritablement un message fataliste et pessimiste ou

rencontrerez au cours de la lecture. Au final, l’évaluation générale testera donc à la fois la parfaite connaissance du cours, la maîtrise des œuvres au programme, la capacité de commentaire, mais aussi le respect de la langue et de l’orthographe. Bonnes lectures et bon travail à tous ! 8 CHAPITRE 1 CERNER LA NOTION DE MYTHE LITTERAIRE (Partie cours magistral – 1) Ce chapitre vise à approcher la question du mythe en littérature et à définir la notion de « mythe littéraire », plus spécifique. Vaste