Les Bonnes Jean Genet Mise En Scène

Cahierpédagogique Lorenzaccio De Alfred de Musset Mise en scène de Yves Beaunesne Théâtre de la Place DU 12 AU 16 JANVIER 2010 © Gilles Abegg Table des matières Lorenzaccio La tragédie du masque dans Lorenzaccio La pièce Florence au temps des Médicis Page 3 Page  Page  Page 11 De la brochure à la scène Note d’intention du metteur en scène Les étapes d’une création Témoignages Croquis et photos Page 12 Page 13 Page 16 Page 17 Pages 18,19,20,21,22 Musset et les romantiques Alfred de Musset

sans que l'auteur soit mêlé à cette analyse, au moins d'une façon directe. Parmi les précurseurs dans le domaine de la narratologie, nous trouvons Genette avec surtout son Figures III où il a essayé de fonder les principales préoccupations de la narratologie. Un souci qui est du en grande part à l'influence de la linguistique. Ainsi, avec Genette, la narratologie se veut comme discipline où le domaine de recherche est bien défini loin de toute confusion encombrante. Le récit qui représente

d'une présence de l'auteur dans l'œuvre théâtrale. Dans ce cadre, le personnage théâtral devient le double du dramaturge. I. §1. D'une part, on peut considérer le théâtre comme l'expression d'un individu : l'auteur se représenterait lui-même sur scène à travers des personnages précis. Dans cette optique, il convient d'étudier les apports de la critique psychanalytique. On peut ainsi être tenté de voir en Arnolphe un double de Molière. Quand la pièce L'École des Femmes fut jouée en 1662, Molière

théâtre de l'absurde » Au XXe siècle, le plus populaire parmi les mouvements d’avant-garde fut le théâtre de l’absurde. Héritiers spirituels de Jarry, des dadaïstes et des surréalistes, influencés par les théories existentialistes d’Albert Camus et de Jean-Paul Sartre, les dramaturges de l’absurde voyaient, selon le mot d’Eugène Ionesco, « l’homme comme perdu dans le monde, toutes ses actions devenant insensées, absurdes, inutiles ». Rendu célèbre par Eugène Ionesco (la Cantatrice chauve, 1951 ; Rhinocéros

3 prière d’insérer Jean Birnbaum La « une », suite a Entretien croisé Rithy Panh et Christophe Bataille Bourreau, tu ris? a Traversée L Camille de Toledo, Richard Millet, Gérard Genette : la littérature au pied du mur Un charnier découvert au Cambodge en 1985. RUE DES ARCHIVES/AGIP 4 a Littérature étrangère Justin Torres raconte une poignante enfance sauvage 5 a Littérature française Philippe Sollers au miroir de l’art 6 a En Jean Hatzfeld écrivain, journaliste

Book 263_3rd proof.inddGIRAUDOUX Électre Pré face de Jean- Pierre Giraudoux, commen taires et notes de Jacques Body, Le Livre de Poche « Classiques », no 1030, 160 pages. Lec ture INTRO DUC TION L’édi tion offre une pré face de Jean- Pierre Giraudoux, fi ls de Jean, lui- même auteur d’une Électre en 1964, autre ver sion moderne du mythe qui accen tue encore son carac - tère de pièce poli cière. Le commen taire et les notes sont de Jacques Body, auteur de plu sieurs ouvrages

et le métadiscours .................................................................................. 59 a) L’intertexte ..................................................................................................................... 59 b) La mise en abîme.......................................................................................................... 68 c) Le métadiscours ........................................................................................................... 71

La
Cérémonie
est
inspirée
d'un
roman
:
A
judgement
in
stone
(Ruth
 Rendell).
On
peut
également
faire
un
rapprochement
avec
l'affaire
 Papin
 (1933,
 deux
 sœurs,
 employées
 de
 maison,
 assassinent
 leur
 patronne)
et
la
pièce
qu'en
a
tirée
Jean
Genet
(Les
Bonnes,
1947)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 I­
Présenter
le
film
aux
élèves
avant
la
projection:
 
 • Partir
du
titre:
cette
démarche
paraît
difficile.
Le
titre
fait
référence
à
un
rituel
sacrificiel.
Ce
sens
 n'est
 explicite
 qu'une
 fois
 le
 film
 vu

COMMENT ON FREINE ? TEXTE VIOLAINE SCHWARTZ MISE EN SCÈNE IRÈNE BONNAUD ARTISTES ASSOCIÉES AU CDN BESANÇON FRANCHE-COMTÉ AVEC Valérie Blanchon ANUSHA CHERER Jean-Baptiste Malartre CHORÉGRAPHIE JEAN-MARC PIQUEMAL SCÉNOGRAPHIE ET COSTUMES NATHALIE PRATS SON ALINE LOUSTALOT LUMIÈRE DANIEL LEVY RÉGIE GÉNÉRALE FéLIX DHENIN Du mardi 17 au vendredi 20 Novembre 2015 AU CDN BESANÇON FRANCHE-COMTÉ PRODUCTION DÉLÉGUÉE CDN BESANÇON Franche-Comté COPRODUCTION THÉÂTRE POPULAIRE ROMAND, COMPAGNIE 813 AVEC L’AIDE

colle dessus et disparaît, plus c’est beau ». Flaubert, lettre à Louise Colet, 9 décembre 1852 : « L’auteur, dans son œuvre, doit être comme Dieu dans l’univers, présent partout, et visible nulle part ». Flaubert, Correspondance à Mme Roger des Genettes, (1861) : «On ne choisit pas son sujet. Voilà ce que le public et les critiques ne comprennent pas. Le secret des chefs-d’œuvre est là, dans la concordance du sujet et du tempérament de l’auteur ». Flaubert, lettre à Louis Bonenfant, (1868) : «