Les Caprices De Marianne

verdure est-elle un secret ? Ton parfum est-il un langage ? S’il en est ainsi, parle bas, Mystérieuse messagère ; S’il n’en est rien, ne réponds pas ; Dors sur mon coeur, fraîche et légère. Je connais trop bien cette main, Pleine de grâce et de caprice, Qui d’un brin de fil souple et fin A noué ton pâle calice. Cette main-là, petite fleur, Ni Phidias ni Praxitèle N’en auraient pu trouver la soeur Qu’en prenant Vénus pour modèle. Elle est blanche, elle est douce et belle, Franche, dit-on

ressemble plus au spectateur car il est plus complexe, moins stéréotypé.               B- Universalité des sentiments... • Si la vie des personnages n'est pas la même, les sentiments restent les mêmes. Dans Les Caprices de Marianne, Coelio est un homme passionné : son amour pour Marianne est entier, pur et très intense comme le montre sa paralysie face à l'être aimé (I, 1, l.154-156). Il a peur d'être trompé dès le début (I, 1, l.188-190). • Cf. tout le monde a pu ressentir la jalousie de Phèdre

mais pas à l'écriture théâtrale, qu'il exercera désormais en toute liberté, sans se soucier des contraintes pratiques de la scène et du style à la mode. Dès 1832, il publie un premier tome d'Un spectacle dans un fauteuil, puis, en 1833, Les Caprices de Marianne. C'est à un dîner que Musset rencontre George Sand – cette romancière (de son vrai nom Aurore Dupin) déjà célèbre qui s'habille en homme et qui fait scandale. Ils auront une liaison orageuse, qui culminera lors d'un voyage à Venise au début

servir à valoriser le sérieux. Dans Les caprices de Marianne, Musset met en scène un personnage à l’humour alerte et grinçant. Cet humour séduit la belle Marianne qui se laisse attirer par les apparences brillantes des bons mots d’Octave sans comprendre que cette attitude pallie un vide affectif énorme et que ce dernier peut rire mais est incapable d’aimer. Cœlio, moins habile et brillant, lui, sait aimer et peut mourir d’amour. Mais il ne séduit pas Marianne parce qu’il ne la fait pas rire. C

bien sûr, que vous employez ces termes en toute connaissance de cause, puisqu'ils figurent dans votre chronique. Certes le personnage romantique peut être accablé et sans énergie. En effet, Alfred de Musset dans sa pièce de théâtre « Les caprices de Marianne » du XIXème siècle représente deux personnages qui ont une conception de la vie très différente. D'une part nous avons Octave qui profite d'une vie légère et très élégante et d'autre part la vie de Cœlio qui quant à lui a une vie mélancolique

Bac Blanc : Commentaire composé Textes : A- Jean racine, Andromaque, III, 7, 1667. B- Marivaux, L’Ile des esclaves, scène 8, 1725. C- Alfred de Musset, Les Caprices de Marianne, II, 1, 1833. Sujet : Vous proposerez un commentaire du texte de Racine. Commentaire : Le texte qui nous est proposé est un extrait de la pièce de théâtre de Jean Racine : Andromaque écrite en 1667. L’extrait étudié est la scène 7 de l’ac111ote III. Les grecs ont posé un ultimatum à Pyrrhus qui

(1622-1673), Tartuffe. Lesage (1668-1747), Turcaret. Marivaux (1688-1763), Le Jeu de l'amour et du hasard. Carlo Goldoni (1707-1793, italien), La Locandiera. Beaumarchais (1732-1799), Le Barbier de Séville. Alfred de Musset (1810-1857), Les Caprices de Marianne. Gogol (1809-1852, russe), L'Inspecteur général. Eugène Labiche (1815-1888), Un chapeau de paille d'Italie. Georges Courteline (1858-1929), Les Gaietés de l'escadron. Alfred Jarry (1873-1907), Ubu roi. Eugène Ionesco (1912-1995), La Cantatrice

pourra faire oublier ces différents artifices aux spectateurs . Le jeu des acteurs avec leurs voix , leurs gestes , la danse , la musique contribuent au spectacle pour un effet ou des effets de distanciation comme dans la mise en scène des caprices de Marianne en 1994 où Lambert Wilson fait un effet de distanciation pour annoncer l’arrivée d’ Octave par une musique désagréable à écouteur . On dit alors que c’est une musique dissonante . Pour Jean Vilar , le comédien digne de ce nom ne s’impose pas

débauche il meurt le 2 mai 1857, quelque peu oublié. Son frère aîné Paul de Musset jouera un grand rôle dans la redécouverte de l'œuvre de Musset, par la rédaction de biographies, la réédition de grand nombre de ses œuvres; comme La Mouche, Les caprices de Marianne.

aboutissement Inspiré à Musset par une scène historique de George Sand (Une conspiration en 1537), Lorenzaccio, chef-d’œuvre du théâtre de Musset, est aussi un aboutissement. S’y concentrent en effet les tourments d’une âme fêlée — dont les Caprices de Marianne (1833) avait déjà donné une traduction théâtrale — et la réflexion amère d’un jeune homme déçu par la politique, l’année même où le poème Rolla (1833) s’ouvrait magistralement sur la fin des mythes et de l’histoire ; enfin, la conception de