Les Caprices De Marianne

Alfred de Musset est un des romantiques les plus célèbres ainsi que Victor Hugo avec Hernani. Musset mélange le tragique avec le comique dans ses pièces intitulé « on ne badine avec l’amour » et « Les caprices de Marianne ». Leurs pièces ont connu le succès à leur époque mais continue également d’être joué a notre époque, leurs succès n’a été cependant aucunement altéré au fil des siècles.

plus le dialogue en prose dans la vie quotidienne, par exemple dans L’Aululaire de PLAUTE qui a inspiré L’Avare de MOLIÈRE. Dans le prologue, scène 1, le dialogue est entre Euclion et Staphyla. Le dialogue en prose se trouve aussi dans Les Caprices de Marianne d’ALFRED DE MUSSET qui appartient au mouvement romantique, le dialogue est entre Claudio et Tibia. Pour le dialogue en vers et en alexandrin L’exemple d’Andromaque peut servir. Enfin, le théâtre est un reflet de la vie par rapport aux problèmes

larmoyante, par exemple, n'a rien d'humoristique mais fonctionne comme une comédie, notamment à travers la caractéristique classique de la fin heureuse. Au xixe siècle apparaît, notamment avec Alfred de Musset (On ne badine pas avec l'amour, Les Caprices de Marianne), la comédie dramatique, genre hybride dans lequel la tonalité légère et humoristique, dominante dans la comédie antique et classique, est gommée par une fin malheureuse et une morale solennelle inhérente au drame romantique. De nos jours

ressentir par la suite dans (les Nuits). Il souffre de ne pas avoir connu l’amour, la Solitude pour ami. (La confession d’un enfant du siècle(1836). Son théâtre montre la vanité et la méchanceté des hommes qui jouent avec les sentiments(les caprices de Marianne, on ne badine pas avec l’amour). 1.4 Victor Hugo (1802-1885) Fils d’un général de l’Empire, il rêve de grandeur et écrit de la poésie et devient chef de la nouvelle école romantique. Il multiplie les succès et est élu à l’Académie française

omniprésence du "je", mais un "je" qui se dévalorise : "mon infirmité", "mon néant"... La dame, elle, est "souveraine", a entre ses mains le sort de l'amant (v. 960, marqué par un parallélisme et une antithèse ; le "malheur" de l'amant dépend du caprice de l'aimée : "s'il vous plaît") récit des angoisses et des luttes vaines de l'amant pour résister à l'attraction de la dame (946-48 et 976-978) Enfin, invitation à l'amour partagé. Un discours "classique" que l'on peut comparer à celui d'Aragon

omniprésence du "je", mais un "je" qui se dévalorise : "mon infirmité", "mon néant"... La dame, elle, est "souveraine", a entre ses mains le sort de l'amant (v. 960, marqué par un parallélisme et une antithèse ; le "malheur" de l'amant dépend du caprice de l'aimée : "s'il vous plaît") 3. récit des angoisses et des luttes vaines de l'amant pour résister à l'attraction de la dame (946-48 et 976-978) 4. Enfin, invitation à l'amour partagé. 2. Un discours "classique"

concept. Aussi, même si improbables que peuvent être les trames, les sentiments présents, sont quand même des sentiments humains, communs à tous. On a la tristesse, l’amour, l’avarice, la vengeance, la colère, etc. On a comme exemple Les caprices de Marianne de Musset où le personnage principal Cœlio qui est amoureux d’une jeune femme, mais celle-ci tombe amoureuse de son ami, et a la mort de Cœlio ils ne peuvent être ensemble à cause de sa mémoire. Cette histoire a aussi la particularité qu’elle

d’exposition, ce qui en fait une tragi-comédie, les procédés employés faisant ressentir la souffrance et la pitié ainsi que le comique de langage et de gestuelle qui sont très bien utilisés. On peut comparer ce texte à celui d’Alfred de Musset, Les Caprices de Marianne, Acte I, scène 1, où la aussi le comique et le tragique vont être regroupés et la situation aussi très gênante.

La scène est à Paris. ACTE I Scène 1 Madame Pernelle et Flipote sa servante, Elmire, Mariane, Dorine, Damis, Cléante. Madame Pernelle Allons, Flipote, allons, que d’eux je me délivre. Elmire Vous marchez d’un tel pas qu’on a peine à vous suivre. Madame Pernelle Laissez, ma bru, laissez, ne venez pas plus loin ; Ce sont toutes façons dont je n’ai pas besoin. Elmire De ce que l’on vous doit envers vous on s’acquitte. Mais, ma mère, d’où vient que vous sortez si vite ? Madame Pernelle

d'Orgon. ORGON, mari d'Elmire. ELMIRE, femme d'Orgon. DAMIS, fils d'Orgon. MARIANE, fille d'Orgon et amante de Valère. VALÈRE, amant de Mariane. CLÉANTE, beau-frère d'Orgon. TARTUFFE, faux dévot. DORINE, suivante de Mariane. MONSIEUR LOYAL, sergent. UN EXEMPT. FLIPOTE, servante de Madame Pernelle. La scène est à Paris. ACTE I Scène I MADAME PERNELLE et FLIPOTE, sa servante, ELMIRE, DAMIS, MARIANE, DORINE, CLÉANTE. MADAME PERNELLE Allons, Flipote, allons, que