Les Cause De Chomage

de Philippe Askenazy et Daniel Cohen, éd. Albin Michel, Paris, 2010 I.contexte La théorie de D.Cohen s'inspire du constat quotidien : le contexte actuel de la crise de l'Etat-Providence, du développement des inégalités et d'un fort taux de chômage. Cohen cherche à démontrer que la mondialisation, bien que n'étant pas totalement neutre, n'est toutefois pas responsable du développement des inégalités dans les pays industriels mais que bien d’autres facteurs humains et historiques sont a prendre

économique. La cause de l’inflation est donc une accroissement anormal de la quantité de monnaie par rapport au volume de la production. • Milton Friedman est donc pour une politique monétaire stricte : théorie quantitative de la monnaie. • il remet en cause la courbe de Phillips (keynésien) [schéma] Les keynésiens luttent contre le chômage même si l’inflation apparaît. Friedman veut d’abord lutter contre l’inflation : pour lui, l’inflation est gênante car elle remet en cause la possibilité

l’activité économique. La cause de l’inflation est donc une accroissement anormal de la quantité de monnaie par rapport au volume de la production. Milton Friedman est donc pour une politique monétaire stricte : théorie quantitative de la monnaie. il remet en cause la courbe de Phillips (keynésien) [schéma] Les keynésiens luttent contre le chômage même si l’inflation apparaît. Friedman veut d’abord lutter contre l’inflation : pour lui, l’inflation est gênante car elle remet en cause la possibilité d’un

- PREMIERE PARTIE L'EVOLUTION DE L'EMPLOI AU COURS DES TRENTE DERNIERES ANNEES EN FRANCE ET DANS LES GRANDS PAYS OCCIDENTAUX CHAPITRE I : Les déterminants de l'évolution de l'emploi et du chômage I. Les déterminants comptables de l'évolution du chômage L'évolution récente du chômage Le chômage peut être mesuré en niveau et en évolution. Aujourd'hui on recense en France environ 2,5 millions de chômeurs. Le stock d'actifs – population active - est de 27,5 millions, et le stock d'emploi

Les limites sont donc l’endettement cumulatif qui correspond à l’effet boule de neige, l’inflation, la dégradation de la balance commerciale. Les keynésiens luttent contre le chômage même si l’inflation apparaît. Friedman veut d’abord lutter contre l’inflation : pour lui, l’inflation est gênante car elle remet en cause la possibilité d’un calcul économique rationnel. Il critique donc la politique de relance par la demande parce que les agents économiques ne prennent pas conscience de l’effet inflationniste

la « vision dominante de la profession et des preneurs de décisions ». Seulement au fil des années, l'inflation grimpée de même que le chômage, ce qui selon la théorie keynésienne était impossible. Le monétarisme a alors pris d'assaut la pensée économique, avec son acteur le plus connu : Milton Friedman. Ce dernier critiqua le keynésianisme en remettant en cause ses principes. Entre autre il démontra que l'épargne est en règle générale réinjecter dans le circuit économique ( par l'intermédiaire du

manière objective, grâce aux éléments pertinents démontrés, à la problématique posée [...] Sources Le chômage J. FREYSSINET La découverte 1998 Théories du chômage ARTUS & MUET Essai sur la théorie du chômage E. MALINVAUD C. Lévy 1983 Le choc du progrès technique LORENZI & BOURDET L’atelier et le robot B. CORIAL C. Bourgois 1990 La fin du travail J. RIFKIN La découverte 1997 La machine et le chômage A. [...] [...] Le progrès technique tue t’il l’emploi ? Mémoire d’économie Si chaque outil pouvait

Le lien entre le niveau du chômage et la croissance La question de chômage occupe une importante place dans la politique. C’est en effet un problème irrésolu jusqu’à présent. Les difficultés rencontrées poussent les statisticiens à l’analyser de plus près, d’où le lien avec la conjoncture économique. La croissance est par définition le fonctionnement de l’activité économique par laquelle il y a accroissement du PIB par tête pas nécessairement fort mais permanant, régulier et suffisante pour mettre

glorieuses et dont nous ne sommes pas nettement sortis. Quelles étaient les caractéristiques des crises traditionnelles, quels indicateurs de la crise : - chute de la production - baisse des prix : on appelle ce phénomène la déflation - montée du chômage - baisse des salaires - nombreuses faillites Pour la période qui suit celle des trente glorieuses : - pas de chute de la production mais seulement une croissance ralentie (sauf en France pour les années 75 et 93), il s’agit donc plutôt d’une

Qu’est-ce que le chômage ?......................................................... 3 A. Définitions ..................................................................................................................3 B. Comment le mesure-t-on ? ........................................................................................4 C. Différentes théories du chômage ..............................................................................5 II. Evolution du Chômage en France depuis