Les Caves du Vatican

trouver sa propre morale, puisque chacun est la cause de ses action. Sartre tient à bien distinguer ce qu’il appelle acte libre de l’acte gratuit tel qu’il est théorisé par Gide dans Les Caves du Vatican dans le célèbre passage où Lafcadio assassine sans motif et éprouve le paroxysme de sa liberté. Les Caves du Vatican est un roman d'André Gide, paru en 1914. Ce récit est une réflexion sur la liberté et ses conséquences pour soi et pour les autres. Il est délibérément décousu et croise et oppose intrigues

« le plus bas degré de la liberté », témoigne en même temps d’un purlibre arbitre qui apparente l’homme à Dieu (Méditation quatrième). 2) Seconde tentative de preuve du libre arbitre : le crime de Lafcadio dans Les Caves du Vatican d’André Gide André Gide, dans Les Caves du Vatican, cherche à illustrer la possibilité pour un être humain de réaliser un acte gratuit, c’est-à-dire un acte accompli sans raison, par le seul effet de sa liberté. Dans le roman, le « héro » Lafcadio se rend à Rome par

Les nourritures terrestres (1897) mais également les conséquences négatives de celles- ci : L’immoraliste (1902). Jusqu’en 1920, elles alternent thèmes mystiques, profanes aisi que la publication de souvenirs (La porte étroite 1909, Les caves du vatican 1914, Si la bête meurt…). Il publie Les faux monnayeurs en 1926. Prix nobel de littérature en 1926 également, André Gide est alors un écrivain consacré. Il meurt d’une congestion pulmonaire le 19 février 1951. L’œuvre : Les faux monnayeurs

« le plus bas degré de la liberté », témoigne en même temps d’un pur libre arbitre qui apparente l’homme à Dieu (Méditation quatrième). 2) Seconde tentative de preuve du libre arbitre : le crime de Lafcadio dans Les Caves du Vatican d’André Gide André Gide, dans Les Caves du Vatican, cherche à illustrer la possibilité pour un être humain de réaliser un acte gratuit, c’est-à-dire un acte accompli sans raison, par le seul effet de sa liberté. Dans le roman, le « héro » Lafcadio se rend à Rome par

le plus bas degré de la liberté », témoigne en même temps d’un pur libre arbitre qui apparente l’homme à Dieu (Méditation quatrième). 2) Seconde tentative de preuve du libre arbitre : le crime de Lafcadio dans Les Caves du Vatican d’André Gide André Gide, dans Les Caves du Vatican, cherche à illustrer la possibilité pour un être humain de réaliser un acte gratuit, c’est-à-dire un acte accompli sans raison, par le seul effet de sa liberté. Dans le roman, le « héro » Lafcadio se rend à Rome

novembre 1890. Ce geste scandalise nombre de catholiques et, par exemple, « les dames dévotes de Bretagne et d'Anjou priaient pour la conversion du pape2» ; certains vont même jusqu'à soutenir qu'au véritable Léon XIII on a substitué un sosie, Les caves du Vatican contiennent une allusion à cette fable qu'on a répétée avec Paul VI. La comtesse de Pange raconte que son père, le duc de Broglie, a coutume d'inviter à déjeuner une ou deux fois par an les curés du voisinage ; l'un d'eux, un peu échauffé par

« le plus bas degré de la liberté », témoigne en même temps d’un pur libre arbitre qui apparente l’homme à Dieu (Méditation quatrième). 2) Seconde tentative de preuve du libre arbitre : le crime de Lafcadio dans Les Caves du Vatican d’André Gide André Gide, dans Les Caves du Vatican, cherche à illustrer la possibilité pour un être humain de réaliser un acte gratuit, c’est-à-dire un acte accompli sans raison, par le seul effet de sa liberté. Dans le roman, le « héro » Lafcadio se rend à Rome par

collection qui marquera tout le XXe siècle. Parallèlement, André Gide publie des romans sur le couple comme L'Immoraliste en 1902 ou La Porte étroite en 1909 qui le font connaître. Ses romans publiés avant et après la Première Guerre mondiale (Les Caves du Vatican, 1914, délibérément disloqué) - La Symphonie pastorale, 1919, qui traite du conflit entre la morale religieuse et les sentiments – Les Faux-Monnayeurs, 1925, à la narration non linéaire) l'établissent comme un écrivain moderne de premier plan

Spinoza pour illustrer l’idée selon laquelle parfois l’homme agit en suivant des motifs qui lui échappent, il subit alors une sorte de déterminisme qui le pousse à agir en ignorant le motif des ses actes. André Gide illustre cette idée dans Les caves du Vatican, avec son personnage qui commet un meurtre en jetant quelque un du train sans savoir pourquoi. Il n’a pas conscience des choix et des mouvements qu’il effectue, il subit ses actes et n’est plus maître de lui-même. Cela pourrait il illustrer la

donc nous demander si ce genre d'actes est possible. Nous nous interresserons d'abord au sens premier du mot puis à son second sens. A priori, un acte immotivé est possible. Si l'on prend l'exemple de Lafcadio, héros du roman d'André Gide Les Caves du Vatican, on peut dire qu'il agit sans motivation. Mais, a posteriori, oui puisqu'il voulait se prouver à lui-même qu'il est capable de commettre un meurtre. On peut dire que Lafcadio a agit selon son libre-arbitre, qui est la capacité que chacun a de