Les Chiens de paille

Les personnes ont l’air de se connaître, ils discutent ensemble par petit groupe. Certain personnages sont habillés en « marcel » et portent des chapeaux de paille, ce qui laisse penser que cette scène se passe en été et qu’il fait chaud, d’autre sont en costume avec des chapeaux haut de forme. Une femme au premier plan joue avec son chien, les autres discutent ou regarde le paysage. Au centre on peut voir la table du déjeuner avec des bouteilles de vin et d’eau, des fruits, une belle nappe blanche

visuels parfois excessifs, fut interprétée comme l'apologie d'une sorte de « fascisme » élémentaire, alors qu'il s'agit d'un témoignage profondément tragique sur certains aspects essentiels de la nature humaine. La démarche est la même dans Les Chiens de paille (1971), où un jeune mathématicien américain pacifiste, incarné par Dustin Hoffman, se voit contraint de puiser en lui un instinct de tueur dont il ignorait l'existence. En fait, c'est la liberté, beaucoup plus que la violence, qui est la préoccupation

juillet 1881 sur la terrasse de l’auberge du Père Fournaise. a) Dans le titre de l’œuvre on trouve le mot déjeuner qui est un moment du quotidien, et le mot canotiers qui fait allusion au fait que certaines personnes présentes portent un chapeau de paille et reviennent d’une balade sur la Seine. Le tableau représente donc une scène de la vie ordinaire (le titre du chapitre) du 19ème siècle d’autant plus que la scène est comme prise sur vif, elle est réaliste (on peut faire le rapport avec le fait que

à p.76 George et Lennie arrivent au ranch et découvrent le baraquement où ils vont dormir, avec les autres. Les lits semblent sales. Il y a des petites caisse en bois pour poser les affaires. Un vieux s’occupe de nettoyer les lieux. Il a un vieux chien. Le vieux semble gentil et sans histoire. Le patron homme petit robuste et bien habillé, vient rencontrer les deux nouveaux! Il est très méfiant à leur égard. Le «nègre», palefrenier, vit de façons isolée et n’a pas le droits que les autres. Chapitre

répéta Lubie, mais elle ne put soutenir le regard de Douce, et l’instant d’après fit volte-face et fila au galop dans les champs. Soudain Douce eut une idée. Sans s’en ouvrir aux autres, elle se rendit au box de Lubie et à coups de sabots retourna la paille sous la litière, elle avait dissimulé une petite provision de morceaux de sucre, ainsi qu’abondance de rubans de différentes couleurs. Trois jours plus tard, Lubie avait disparu. Et trois semaines durant on ne sut rien de ses pérégrinations. Puis

bien raison de dire, Loup :«De bien faire, le mal arrive.» Si tu veux, nous allons consulter, sur notre cas, cette chienne qui vient vers nous. —Je veux bien, Homme. -Chienne, dit l'homme, le Loup était pendu par le pied au haut d'un chêne. Il y serait mort, si je ne l'avais dépendu. A présent, pour ma peine, il veut me manger. Cela est-il juste ? - Homme, répondit la Chienne, je ne suis pas en état de vous juger. J'ai bien servi mon maître jusqu'à présent. Mais, quand il m'a vue vieille

lit de paille éclairé par une lanterne suspendue à une poutre). Il avait douze ans, et avec l'âge avait pris de l'embonpoint, mais il en imposait encore, et on lui trouvait un air raisonnable, bienveillant même, malgré ses canines intactes. Bientôt les autres animaux se présentèrent, et ils se mirent à l'aise, chacun suivant les lois de son espèce. Ce furent:' d'abord le chien Filou et les deux chiennes qui se nommaient Fleur et Constance, et ensuite les cochons qui se vautrèrent sur la paille, face

lit de paille éclairé par une lanterne suspendue à une poutre). Il avait douze ans, et avec l’âge avait pris de l’embonpoint, mais il en imposait encore, et on lui trouvait un air raisonnable, bienveillant même, malgré ses canines intactes. Bientôt les autres animaux se présentèrent, et ils se mirent à l’aise, chacun suivant les lois de son espèce. Ce furent d’abord le chien Filou et les deux chiennes qui se nommaient Fleur et Constance, et ensuite les cochons qui se vautrèrent sur la paille, face

Pour la sensibilisation, nous pouvons nous déguisés en fermier et présenter les activités mon histoire : enfaite j'aurai besoin de Plume, si c'est possible !!!!! enfaite c'est un berger qui s'apelle Michel qui a perdu son chien pour guider ses moutons, ce chien s'appelle Plume ! Tout au long de la semaine, des indices vont intervenir pour retrouver plume le vendredi par un grand jeux | |Lundi |Mardi

meurtre. Avant le début du roman, Sir Charles Baskerville était mort subitement, peut-être la victime d'un chien fantomatique que l'on croyait hanter sa famille à cause d'une malédiction séculaire. Le domaine de Baskerville est situé dans la lande éloignée du Devonshire. Holmes et Watson sont présentés à l'affaire par le Dr. Mortimer, un ami de Sir Charles Baskerville. Mortimer croit qu'un chien a en fait tué Sir Charles, parce qu'il a trouvé une empreinte de patte près du cadavre de Sir Charles