Les Cités des Anciens

l'Antiquité ? une meilleure connaissance des textes latins : Dès le XIVe siècle, des Italiens comme Pétrarque corrigent des textes anciens et découvrent des manuscrits d'oeuvres ignorées ; après eux, des savants de toute l'Europe poursuivent ce travail de recherche et de correction. - Conséquences ? L'humanisme est un important moment de travail sur les langues anciennes. Le grec et l'hébreu sont redécouverts mais aussi le latin classique car le latin médiéval s'en est éloigné. En même temps, on traduit

découpage chronologique définissant l’Antiquité. Pourquoi a-t-on considéré que ces limites étaient pertinentes ? On aurait pu souligner l’importance de la diffusion du christianisme. On aurait pu choisir comme critère une opposition entre le monde des Cités, et le monde de l’Empire. Le découpage reste dans les cadres administratifs, mais les savants ont tendance à mettre les curseurs ailleurs. On relativise beaucoup l’importance de la fin du 5e siècle comme charnière. On considère une charnière capitale

dominante : celle du roi Minos Knosos début au Iième millénaire av JC systèle féodale évincé par les nobles aux sein des cités (exercice du pouvoir ) Partage du pouvoir qui se mette en place : âge classique VI à IV ème siècle av JC : période de la cité-état multitude de cité-état : réflexion politique Ces philosophes s'appuient sur des réalités présentent aux seins des cités . Époque de la démocratie à Athènes . (Application de la science politque ) Fin du IV ème siècle jusqu'au Ier siècle

L’Orient ancien au IIIe millénaire avant J.-C. (environ 10% du temps consacré à l’histoire, soit 4 heures (évaluation comprise) CONNAISSANCESL’Orient ancien au IIIe millénaire av. J.-C. : premières écritures etpremiers États. | DEMARCHESÉtude au choix : un site ou un monument de Mésopotamie oud’Égypte du IIIe millénaire av. J.-C. (œuvres de référence à l’écoleprimaire : une sculpture égyptienne, un bas-relief mésopotamien…)Cette étude est remise en perspective dans l’espace de l’Orient ancien. |

leur devoir envers les soumis: il leur fallait garantir la paix ds le respect mutuel. Auguste pratiqua cette pol d'entente. Ms Empire mourut sous pression des barbares qui crevèrent la paroi de la bulle protégée qu'était Rome. 1/ la royauté Anciens ont laissé qu'une version légendaire, inspirée largement des mythes. Tradtion fixe fondation de la ville en -753. A/ la légende Après avoir quitté Troie ac son père Anchise, Enée se lance ds un périple méditerranéen avt d'arriver au Latium

urbaine ”, complexe et originale : la civilisation locale, passe rapidement au régime urbain, par réunion de villages primitifs plus ou moins autonomes »3. Histoire Article détaillé : Histoire de la Mésopotamie. Localisation des principales cités de Mésopotamie à l'époque historique « La civilisation suméro-akkadienne, trois millénaire durant, ne va pas seulement animer le pays et ses habitants et en conditionner tous les progrès assez admirables, mais aussi rayonner alentour jusqu'au loin

citoyenneté romaine à tous les hommes libres d’Europe. Droit latin : moins avantageux que le droit romain, il s’applique à certaines cités. IL permet aux anciens magistrats de ces villes et à leurs familles de devenir citoyens romains. Cependant ils continuent à payer l’impôt dû par les non-citoyens. Périgrins : hommes libres et non-citoyens romains, habitants les cités et les territoires conquis par Rome. Affranchis : esclaves libérés par leur maître, qui devient leur patron. Ils adoptent son nom

la civilisation qui va naître dans cette région. La civilisation grecque, en effet, a comme base humaine une diversité de communautés autonomes qui ont connu, dès les temps les plus anciens, une organisation sociale et politique. Ce sont ces communautés qui, après un long temps de formation, vont fonder les cités dont la vitalité se manifeste par une transformation continue du régime politique au fil des âges. Cette recherche du gouvernement le mieux adapté à la cité va provoquer la découverte

Triérarchie) - P. Lévêque, L’aventure grecque, Livre de poche, Paris (Armand Colin 1964) (synthèse de la période) - dir. J-P. Vernant, Problèmes de la guerre en Grèce ancienne, Point Seuil, Paris, 1999 (article précis et technique consacré aux galères grecques) - M. Austin et P. Vidal-Naquet, Economie et sociétés en Grèce ancienne, Armand Colin (notamment pour les passages des orateurs consacrés au commerce et aux prêts maritimes) - Paul Faure et M-J. Gaignerot, Guide grec antique, Hachette supérieur

voisins. Cependant les volontés Antigonides se heurtent aux volontés de liberté et indépendance des cités grecques. Antigone Gonatas propose une liberté économique, mais les cités demandent la liberté politique… Le royaume Lagide va appuyer sur les cités grecques au nom de l’indépendance des cités, découvrant ainsi une volonté de toucher un marché nouveau pour écouler les productions lagides. Les cités grecques vont se coaliser à Athènes en 267, par le décret de Chrémonidès : Spartiates, Arcadiens