Les Combattants

Guerres mondiales et espoirs de paix Comment la Première Guerre mondiale transforme-t-telle l'expérience combattante dans le cadre d'une guerre totale ? Comment se manifestent la guerre d'anéantissement et les génocides des Juifs et des Tsiganes durant la Seconde Guerre mondiale, en quoi un nouveau seuil dans la guerre totale et dans la violence est-il franchi ? Quels moyens sont mis en place pour éviter une nouvelle guerre totale au lendemain de chaque conflit ? Finalement, comment

peint cette œuvre 1920 pendant l'entre de guerre. Otto dix est engagé volontaire en 1914, et marqué par l'horreur des combats. Ses œuvres expriment son rejet de la guerre et son pacifisme. Quand il peint « Les joueurs de Skat », beaucoup d'anciens combattants, mutilés de guerre ou "gueules cassées", essaient de se réinsérer dans la société civile. Le tableau est mal accueilli car jugé choquant. Dans les années 1930, les nazis classent Otto Dix parmi les "artistes dégénérés". Où ? À la fin de la première

pratiquants (les judokas) portent une tenue en coton renforcée appelée judogi, souvent appelée à tort kimono, qui est le nom générique de la tenue traditionnelle japonaise. Le judogi est généralement blanc, mais pour faciliter la distinction entre les combattants dans les compétitions, un jud les catégories de poids et d'age Anciennes catégories : hommes : - 60 kg, - 65 kg, - 71 kg, - 78 kg, - 86 kg, - 95 kg, + 95 kg. femmes : - 48 kg, - 56 kg, - 61 kg, - 66 kg, - 70 kg, - 72 kg, + 72 kg. Il y a aujourd'hui

DM sur feuille Commentaire de deux documents historiques voir feuilles photocopiées partie III- 1) du cours Sujet : l'expérience combattante : les civils, victimes des violences de guerre. Consignes : après avoir présenté les documents dans leur contexte, vous montrerez que la Grande Guerre a été porteuse de diverses violences contre les populations civiles. Vous vous interrogerez ensuite sur les causes et les conséquences de ces violences. Doc. 1 Déportation de femmes. « Triste jour de Pâques

qui date de 1920. Ce tableau nous présente une rue de Prague s’appelle la rue commerçante à Dresde en Allemagne. On y voit des hommes diminués, porteurs de prothèses mécaniques, des cicatrices hideuses, des greffes, un monde grotesque d'anciens combattants pour les uns réduits à mendier, les autres exhibant leurs blessures comme autant de preuves de leur bravoure guerrière. Auteur : Otto Dix (1891-1969) était un peintre et un graveur, il était de nationalité Allemand. Il utilisait le mouvement artistique

C’est donc dans ce contexte que nous pouvons nous dans quelles mesures la violence des combattants et l’implication ont-elles évoluées entre les deux guerres mondiales ? Pour répondre à cette problématique, nous analyserons dans un premier temps l’expérience combattante durant les deux guerres mondiales. Puis nous étudierons les différents types de répression et de violences subis

la composition : Le guerrier tombé au sol est dans la position de la crucifixion et tient une arme brisée. apparaît un combattant dont le corps est morcelé et décapité. Ce personnage porte sur son visage toute la violence de la guerre : la dentition précise, et la décapitation sont les signes de la brutalité. - Le cheval agonisant, transpercé d'une lance, domine le combattant blessé. -La partie gauche est occupée par l'inébranlable taureau dont l'origine artistique et mythique remonte à l'âge

conflit. La scène se déroule en Allemagne car on aperçoit des journaux allemands à l'arrière-plan. On voit trois "gueules cassées" qui jouent aux cartes. Les joueurs de cartes portent la "Croix de fer" : c'est une décoration qui distinguait les combattants qui avaient eu un comportement héroïque lors du combat. Les trois personnages font partie de la classe moyenne, ils jouent dans une pièce sombre.            Cette toile est une peinture à l'eau avec des traits nets. On y voit des couleurs telles

droit aux coudes et coups de tête. - Au sol : Droit aux frappes au corps et au visage uniquement avec les poings. Pas le droit d'utiliser les coudes ou les genoux au sol. Une règle des 3 coups assez spéciales sera en place, en effet lorsqu'un combattant au sol reçoit 3 coups d'affilé au visage, l'arbitre doit arrêter le combat. On espère surtout que l'arbitre n'arrêtera pas le combat pour 3 frappes légères qui n'auraient absolument pas mis hors combat un adversaire. C'est cette règle qui me fait

UNE GUERRE TOTALE (1914-1918) Parmi les souffrances communes à tous les combattants on peut citer le froid, la boue, les privations de nourriture et d'eau, la présence des rats dans les tranchées et la présence des poux due au manque d'hygiène des combattants. Tous les soldats souffrent bien sûr de la violence des combats et du fait qu'ils ont peu de permissions pour voir leur famille. Enfin la censure veille à ce qu'ils ne donnent aucune information susceptible d'être exploitée par l'ennemi dans