Les Conquérants

roi , l’image du roi Clovis , celle d’un roi païen , qui comme l’empereur Constantin se convertissait à la religion chrétienne et faisait régner dans ses état un ordre chrétien . I) Clovis roi des francs Saliens , le fils de Childéric ; un roi conquérant a) Un roi germanique , le roi des francs saliens L’empire romain d’orient s’est effondre en occident en 476 . Le règne de Clovis se situe âpres ce tournant politique . L’occident est alors très largement gouverné par des rois germaniques qui

même présenté comme un conquérant. c) Le portrait d’un conquérant Il part à la conquête de Paris, cependant, il n’a peu d’argent pour subvenir à ses besoins et donc très peu pour son ascension sociale. Cet esprit de conquête est explicité par le vocabulaire militaire : le héros est un « ancien sous-officier » « bat le pavé du talon »… Le texte se présente comme la mise en scène d’un destin en marche. Le rythme dynamique des phrase évoque cette marche conquérante et il y a multiplication

à aimer toute la Terre… » «…et j’ai sur ce sujet l’ambition des conquérants qui volent perpétuellement de victoire en victoire… » « toutes les belles ont le droit de nous charmer… » ( dimension infinie qu’il veut donner à sa capacité d’aimer. c) Image de la conquête : ( champ lexical et métaphore de la conquête militaire Séduction = Bataille. Don Juan = combattant de la séduction « l’ambition des conquérants » « Alexandre » « de victoire en victoire » « mes conquêtes amoureuses » « rendre

limité 1. Après la conquête faite elle reprend la main et dépossède le conquérant 1. Les acteurs sont les conquérants (conquistadors) qui vont réunir troupes peu nombreuses (100 max) mais réussissent tout de même à s’emparer de grand territoires très peuplés. Défaite des amérindiens, trois facteurs :1. Roue, chevaux et armes à feu que les amérindiens ne connaissant pas 1. Divisions exploitées par les conquérants = les conquérants vont s’allier à des autochtones pour bénéficier de leurs connaissances

Montaigne ne se dédouane pas, il fait preuve d'empathie envers les indiens. Il se met du coté des conquérants, il se rend coupable, lignes 8-26-28, utilisation de pronoms personnels. Il joue deux rôles, celui de l'indien et également celui du conquistador Les indiens sont traumatisés, par les chevaux ligne 15, ce sont « des monstres ». Montaigne utilise beaucoup de périphrases, pour exprime l’incompréhension des indiens. Il y a des métaphore hyperbolique qui fonctionne en antithèse (« les foudres

entre les femmes. Se sent comme indispensable à elles, leur fait honneur • DJ aime toutes F et peut pas supporter qu'une lui résiste :'si j'en avais 10000 je les donnerais tous' b. Dom Juan n'est pas séducteur, il est séduit : • Avant être conquérant, DJ passif soumis, charmé et conquis devant beauté F (reporte responsabilité) • M donne profondeur à cet aveu : DJ sur lequel tombent F avant même qu'il ne les tombe (les F mais aussi les H comme DC...) victime, sous emprise beauté 'beauté me ravit'

« injustice. » Dans l’extrait , la conquête amoureuse est assimilée à la conquête guerrière . Dom Juan va insister sur le champ lexical du combat : « conquêtes » « vaincre » « combattre » Dom Juan se montre donc encore sous un nouvel angle celui d’un conquérant , un guerrier . Mais par sa comparaison d’une femme et d’un territoire on peut aussi relever le point que Dom Juan ne considère pas les femmes comme des êtres humains mais exclusivement des « objets » , des objets qui certes détiennent un grand

qu'elles ont toutes sur nos cours. CL : justice/équité« droit »- « justes prétentions » qui séduit, ce sont les femmes qui ont le droit d'être séduites. Idée de générosité et de justice reprise ensuite qui hausse DJ au niveau héroïque du conquérant C'est donc Dom Juan est qui séduit : il se pose d'abord en « victime consentante » puisque c'est lui qui « cède » et non la femme. Le recours à des figures de style (ici l'oxymore) montre que DJ est un beau parleur qui maîtrise l'art du discours

antique et la pensée contemporaine. Cette double confrontation émane d’une vision au désavantage des conquistadors. a- Un dialogue difficile Montaigne se sert d’une anecdote pour mettre en avant la 1ère rencontre entre les indiens et les futurs conquérants. Celle-ci se place sous le signe du dialogue. Les espagnols se présentent d’emblée en situation de demande de nourriture et en or. Toutefois, leur discours est faussé puisqu’ils justifient leur demande par la puissance de leur prince qu’ils qualifient

les européens l'ont fait eux-même lors de la description de ces peuples étrangers. Il riposte aux arguments européens, prônant l'esclavage et la supériorité européenne, par l'utilisation de la logique et un point de vue détaché des ambitions des conquérants, révélant l'absurdité de leurs actes : "Tu n'es ni un dieu ni un démon : qui es-tu donc, pour faire de notre terre le titre de notre futur esclavage ?" 4) Diderot donne la parole à un Tahitien car, dans Voyage autour du monde, Bougainville décrit