Les Contemplations Livre 2

Le recueil Les Contemplations a été rédigé entre 1830 et 1855 puis publié en 1856 on le classe parmi les œuvres romantiques. Le recueil est divisé en deux tomes intitulés Autrefois et Aujourd’hui. La séparation deux tomes est marquée par la mort tragique de Léopoldine Hugo morte d’une noyade le 4 septembre 1843. Hugo rassemble ses poèmes lyriques et engagés. Ici nous allons étudier le poème Oh je fus comme fous qui est quatrième poème extrait du livre 4 Pauca Meae qui est le livre du deuil. Le poème

  Objet d'étude : La poésie. Texte A : Victor Hugo, L'araignée et l'ortie, Les Contemplations, Livre III (1856). Texte B : José Maria de Heredia, Midi, « La Nature et le Rêve », Les Trophées, 1893. Texte C : Francis Ponge, Ode inachevée à la boue (extrait), Pièces,1962. Texte D: Philippe Jaccottet, Fruits, Airs, 1961-1964.  Texte A -  Victor Hugo (1802-1885), « J'aime l'araignée », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes et les rêves », XXVII (1856). J'aime l'araignée et j'aime

dernier poème de Les Châtiments, de Victor Hugo. C’est une conclusion. C’est un hymne lumineux et un hymne à la liberté. La confiance de ce poème contraste avec le recueil plutôt sombre. Partie V : paroxysme de cet enthousiasme. Dans le premier poème du livre VII, Victor Hugo se fait prophète. Lux est l’énonciation de cette prophétie et proclame le bonheur. Le premier vers est une reprise et un bilan de cette attente qu’avaient les proscrits. Métaphore de l’arbre du progrès. Les bannis sont morts pour

1 Benoît de Cornulier, Laboratoire de Linguistique de Nantes (UMR 6310) Sur la versification de Victor Hugo dans Les Contemplations Mon propos est ici d’étudier quelques aspects de la versification de Victor Hugo dans les Contemplations en m’appuyant sur un relevé métrique exhaustif des poèmes de ce recueil. Il s’agit d’une base de données, consistant en un tableau (informatique) où chaque pièce métrique – poème ou partie métriquement cohérente d’un poème – est analysée en fonction

: observateur, minutieux et le promeneur solitaire à la recherche d’un asile. Il fait correspondre ses sentiments avec le paysage, l’eau et le sentiment de mélancolie. Cependant, il est charmé par ce paysage ravissant et est plongé dans une contemplation de la nature qui le mène progressivement à la rêverie. La rêverie qui ici doit-être comprise comme une forme de fusion panthéiste avec le monde. Johann Wolfgang von Goethe, dans la lettre du 18 août des Souffrances du jeune Werther, créer

Tession nous livre sa contemplation du paysage. Dans ce passage, l’animal apparaît enfin aux yeux du narrateur qui nous invite à partager sa vision. De ce fait, cet extrait s’inscrit parfaitement dans le parcours associé à l’œuvre de Colette, Sido : La célébration du monde. [Lecture du texte] [Annonce de la problématique] : En quoi cette description met le narrateur et le lecteur dans une posture contemplative ? [Annonce du plan] : 1. Une apparition divine (l.1 à 12) 2. Un animal en

étapes successives de son deuil premièrement à travers son emploi du champ lexical du temps (« moment », « trois jours », « par moment ».) Par ailleurs, son chagrin évolue. Il passe d’une dépression à une folie, montrant l’évolution de son chagrin. 2) Le passage qui permet de dire que l’auteur établit une intimité avec le lecteur est des vers 3 à 5. (« Vous tous à qui Dieu (…) l’avez vous éprouvé ? ».) L’emploi de la deuxième personne du pluriel montre qu’Hugo s’adresse au lecteur. De plus, il fait

hypothèse à un principe anhypothétique, l’âme, sans même recourir à ces choses que justement dans la première section on traitait comme des copies, poursuit sa recherche à l’aide des formes elles-mêmes, prises en elles-mêmes3 , et se mouvant parmi elles. » 2 . Les sciences discursives et la méthode des mathématiciens. « [510 c] [. . .] Ceux qui travaillent sur la géométrie, sur les calculs, sur tout ce qui est de cet ordre [. . .], une fois qu’ils ont posé par hypothèse l’existence de l’impair et du pair

flagrante. C’est en 1831 que vit le jour le premier des grands romans historiques de Victor Hugo, Notre-Dame[->1] de Paris, qui met en scène un couple devenu mythique, Quasimodo et Esmeralda. Hugo avait débuté auparavant dans la prose avec Han d’Islande[->2] (1823) et Bug-Jargal (1826) et, en 1829, il avait publié un court texte contre la peine de mort : le Dernier Jour d’un condamné. D’emblée, le récit hugolien, quoique pittoresque et romanesque, prit une orientation très critique : raillant les genres

1834), livre I, poème 7, section « Aurore » (extrait : vers 61 à 87).Intro : Victor Hugo (1802-1885) occupe une place exceptionnelle dans l’histoire de nos lettres ; il domine le XIXème siècle en effet, est considéré comme le chef de file du Romantisme. Au cours de sa vie, il participe activement aux grands débats politiques, où il se battra pour de grandes causes comme la peine de mort et il deviendra à la fin de sa vie le poète officiel de la République. Le recueil intitulé Les Contemplations sortira