Les Contemplations Livre 3

SOMMAIRE Préface Pg 3 La Renaissance « Mignonne, allons voir si la rose » Pierre de Ronsard Pg 5 Biographie Pg 6 Le Baroque « Mépris de la vie et consolation contre la mort » J-B Chassignet Pg 7 Biographie Pg 8 Le Classicisme « Le Chêne et le Roseau » Jean de La Fontaine Pg 9 Biographie Pg 10 Le Romantisme « Le Lac » Méditations poétiques, Alphonse de Lamartine Pg 11 Biographie Pg 13 « Aux arbres » Les Contemplations, Victor Hugo Pg

choses nous sont offertes gratuitement et par ailleurs le commun des hommes dont je fais parti me pousse à courir, à me livrer à mille activités ou je ne peux plus rien contempler. Alors j'accumule des savoirs mais sans que cela débouche sur la contemplation. Je suis bien sûr comme le disait si bien mon parrain à « l'aube de ma vie », et j'ai encore toute une route à parcourir et, arrivée au bout je rêve de moi même assise a côté de ma petite maison de campagne. Mes petits enfants joue dans la

Victor Hugo, Les Contemplations (livre IV : « Pauca meæ ») (source : http://gallica.bnf.fr) Préface Si un auteur pouvait avoir quelque droit d'influer sur la disposition d'esprit des lecteurs qui ouvrent son livre, l'auteur des Contemplations se bornerait à dire ceci: Ce livre doit être lu comme on lirait le livre d'un mort. Vingt-cinq années sont dans ces deux volumes. Grande mortalis aevi spatium. L'auteur a laissé, pour ainsi dire, ce livre se faire en lui. La vie, en filtrant goutte

c’est une tentative rationnelle de comprendre les choses en dehors de leurs apparences.  · Pour Aristote, c’est le comble de l’activité libre · La métaphysique chez Kant : · Il fait le constat que la métaphysique est « un champ de bataille » où se livre des combats sans fin, car la métaphysique pose des propositions fondamentales sans vérification empirique possible, qui sont donc contestées · Il montre que la métaphysique était au début très dogmatique. · Le projet de Kant par rapport à la métaphysique :

papillonner » selon vos goûts et vos accointances littéraires, d’autant plus que vous en étudierez certains - je l’espère ! - au cours de vos études au lycée ; leur lecture ne doit, par conséquent, être ni une corvée ni une obligation : ouvrez un livre et commencez à lire ; si vraiment il ne vous plaît pas, prenez-en un autre (il est à espérer que, dans l’ensemble des titres, certains vous « parleront » plus que d’autres ; sinon, faites-vous un peu violence !) ; cette liste n’a rien d’exhaustif3

s'oppose au classicisme et se penche sur la sensibilité, le sentiment, l'émotion et la nature. C'est à la mort de sa fille Léopoldine que V. Hugo commence le recueil de poèmes Les Contemplations dans lequel il exprime son désespoir, sa mélancolie et ses souvenirs. Le IV ème livre du receuil intitulé « Pauca Meae » est un livre dédié au deuil de sa fille tout en se révoltant contre la cruauté du destin et en exprimant sa nostalgie. Le poème que nous allons étudier en est extrait et s'intitule « Elle

choses qui est devenue ou qui deviendra la vision de tous les hommes. Un Co- rot, un Turner, pour ne citer que ceux-là, ont aperçu dans la nature bien des aspects que nous ne remarquions pas - Dira-t-on qu’ils n’ont pas vu, mais crée, qu’ils nous ont livré des produits de leur imagination, que nous adoptons leurs inventions parce qu’elles nous plaisent, et que nous nous amusons simplement à regarder la nature à travers l’image que les grands peintres nous ont tracée ? C’est vrai dans une certaine mesure

l'anniversaire de leur rencontre et remplissent, à cette occasion, année après année, un cahier commun qu'ils nomment tendrement le «Livre de l'anniversaire». Dès cette époque, Victor Hugo s'engage contre la peine de mort. C'est ainsi qu'il publie en 1829 Le Dernier Jour d'un Condamné (il s'agit du récit des derniers moments d'un jeune condamné, par lui-même). A ce livre, Victor Hugo ajoute en 1832 une préface qui est un vigoureux plaidoyer contre la peine de mort avec des arguments toujours actuels

moderne René Guénon LA CRISE DU MONDE MODERNE 1 La crise du Monde moderne AVANT-PROPOS Lorsque nous avons, il y a quelques années, écrit Orient et Occident, nous pensions avoir donné, sur les questions qui faisaient l'objet de ce livre, toutes les indications utiles, pour le moment tout au moins. Depuis lors, les événements sont allés en se précipitant avec une vitesse toujours croissante, et, sans nous faire changer d'ailleurs un seul mot à ce que nous disions alors, ils rendent

importante dans l'histoire des lettres françaises et celle du XIXe siècle, dans des genres et des domaines d'une remarquable variété[1],[2]. C'est un poète lyrique avec des recueils comme Odes et Ballades (1826), Les Feuilles d'automne (1832) ou Les Contemplations (1856), mais aussi poète engagé contre Napoléon III dans Les Châtiments (1853) ou encore poète épique avec La Légende des siècles (1859 et 1877). C'est enfin un romancier du peuple qui rencontre un grand succès populaire avec Notre-Dame de Paris