Les Contemplations Oh Je Fus Comme Un Fou

crâne, comme dit Job, la pierre de leur tombeau, et s’éparpillèrent en foule et à grand bruit sur les théâtres de Paris, où le public vint les applaudir, encore toutes haletantes de joie et de colère. C’était justice. Ce dégorgement des cartons de la censure dura plusieurs semaines, à la grande satisfaction de tous. La Comédie-Française songea à Marion de Lorme . Quelques personnes influentes de ce théâtre vinrent trouver l’auteur ; elles le pressèrent de laisser jouer son ouvrage, relevé comme les

qui apparaît en Europe au XIXème siècle, est un mouvement qui incarne la liberté : c’est « le libéralisme en littérature » disait Victor Hugo dans la préface d’Hernani. J’ai sélectionné 2 poèmes romantiques datant du XIXème siècle que je considère comme des “coups de cœur“, l’amour est un terme relativement complexe que personne ne saurait expliquer sans un doute. La poésie romantique se nourrie de plusieurs gammes de sentiments et d’émotion. Au travers des textes que j’ai choisis, j’espère vous le

l'Assemblé pour prêter fidélité à la Constitution. Et pourtant, cela n'a pas empêché le chef de l'état de faire dériver la république française : la troisième république était né. Victor Hugo, poète français; auteur de grandes oeuvres tels que : Les Contemplations ou Les Châtiment fut choquer et révolté contre ce coup d'état. Il décida donc lors de sont exile en Europe, d'écrire un recueil de poème qui portera ses souvenirs, ses pensées, ses incompréhensions, ses colères sur la nouvelle France. Les Châtiments

Prévert, « Déjeuner du matin »……………………………Page 17 Victor Hugo, « Demain dès l’Aube »…………………………………Page 19 Victor Hugo, « A une jeune fille »……………………………………Page 21 Conclusion :…………………………………… Page 23 Page 1/23 Longtemps, j’ai considéré la poésie comme une simple récitation que je devais mémoriser à l’école élémentaire. Il me semble maintenant qu’elle représente un type d’écrit, différentes écritures, permettant d’exprimer joliment des idées, des sentiments pour que le lecteur soit emporté dans une

Pedrino Borgnioli, à passer quelques jours dans une terre au fond de la Normandie. Le temps, qui, à notre départ, promettait d’être superbe, s’avisa de changer tout à coup, et il tomba tant de pluie, que les chemins creux où nous marchions étaient comme le lit d’un torrent. Nous enfoncions dans la bourbe jusqu’aux genoux, une couche épaisse de terre grasse s’était attachée aux semelles de nos bottes, et par sa pesanteur ralentissait tellement nos pas, que nous n’arrivâmes au lieu de notre destination

seuil de cette porte, et demanda si maître François PORBUS était en son logis. Sur la réponse affirmative que lui fit une vieille femme occupée à balayer une salle basse, le jeune homme monta lentement les degrés, et s’arrêta de marche en marche, comme quelque courtisan de fraîche date, inquiet de l’accueil que le roi va lui faire. Quand il parvint en haut de la vis, il demeura pendant un moment sur le palier, incertain s’il prendrait le heurtoir grotesque qui ornait la porte de l’atelier où travaillait

Pedrino Borgnioli, à passer quelques jours dans une terre au fond de la Normandie. Le temps, qui, à notre départ, promettait d’être superbe, s’avisa de changer tout à coup, et il tomba tant de pluie, que les chemins creux où nous marchions étaient comme le lit d’un torrent. Nous enfoncions dans la bourbe jusqu’aux genoux, une couche épaisse de terre grasse s’était attachée aux semelles de nos bottes, et par sa pesanteur ralentissait tellement nos pas que nous n’arrivâmes au lieu de notre destination

GUSTAVE FLAUBERT Mémoires d'un fou À toi, mon cher Alfred, ces pages sont dédiées et données. Elles renferment une âme tout entière. - Est-ce la mienne ? Est-ce celle d'un autre ? J'avais d'abord voulu faire un roman intime où le scepticisme serait poussé jusqu'aux dernières bornes du désespoir, mais, peu à peu, en écrivant, l'impression personnelle perça à travers la fable, l'âme remua la plume et l'écrasa. J'aime donc mieux laisser cela dans le mystère des conjectures. Pour toi, tu n'en

Borgnioli, à passer quelques jours dans une terre au fond de la Normandie. Le temps, qui, à notre départ, promettait d’être superbe, s’avisa de changer tout à coup, et il tomba tant de pluie, que les chemins creux où nous marchions étaient comme le lit d’un torrent. Nous enfoncions dans la bourbe jusqu’aux genoux, une couche épaisse de terre grasse s’était attachée aux semelles de nos bottes, et par sa pesanteur ralentissait tellement nos pas que nous n’arrivâmes au lieu de notre destination

bien le 'brouiller' avec son génie personnel. En la poésie nous pouvons souvent voir une analyse ou expression des sentiments des humains, des réjouissances et les tragédies de la vie. Les poètes sont des observateurs, comme dit Victor Hugo dans la préface des Contemplations : « Nul n'a l'honneur d'avoir une vie qui soit à lui. Ma vie est la vôtre, votre vie est la mienne, vous vivez ce que je vis ; la destinée est une. Prenez donc ce miroir, et regardez-vous-y. » ; l'auteur mentionne ce miroir