Les Contes Cruels

avoir. Théorie qui a marqué culture car a alimenté athéisme contemporain. - Marx XIXème : « La religion est le soupir de la créature accablée, le cœur d’un monde sans cœur…elle est l’opium du peuple » ( le monde dans lequel les hommes vivent est cruel, ils ne trouvent pas de réconfort sauf dans la religion. Opium = façon pour le peuple de ne pas avoir à supporter difficultés du monde. Religion endort homme. Pour Marx, il faut bouleverser les choses. Religion conduit hommes à supporter leurs conditions

d'arguments douteux et le détournement de la religion. L'auteur en écrivant cette œuvre veut faire réagir le lecteur. L'auteur écrit des contes certes fantastique mais en analysant bien ces histoires, elles parlent toutes d'un événement grave. Par exemple le Petit Poucet de Charles PERRAULT : les parents abandonnent les enfants. Et l'inceste avec Peau d'Ane. Ces contes ont traversé tous les siècles car ils sont encore d'actualité. Les textes dénoncent la cruauté de certaines personnes qui provoquent

procédés de caractérisation. 3 a. orale 1h -présentez oralement d'autres contes ou nouvelles fantastiques. - s'exprimer oralement. - raconter oralement une histoire. 4 a. production écrite le portrait d'un personnage …………………….. - brosser le portrait d'un personnage en investissant les différents procédés de caractérisation. ii 1 a. lecture 2h extrait 2: «le jeune oluf est un enfant bien étrange (...) cruel comme celui du maître chanteur de bohême.»; pp: 12 – 13. -identifier les

recueils de Contes et Nouvelles en Vers publiés en 1665, 1666 et 1671. En 1668, La Fontaine publie son premier recueil de Fables qui connaît un immense succès. Il rassemble 124 fables dédiées au dauphin. Le poète y met en scène des animaux pour critiquer les hommes et dénoncer les grands problèmes de son époque. Après la mort de la duchesse en 1772, La Fontaine se place sous la protection de Madame de La Sablière. Il publie alors des œuvres variées, notamment un recueil de contes licencieux

donc peu de pause. En plus il arrête les phrases en pleins milieu des vers, c’est pour relancer son récit. Cela donne de la rapidité et de la souplesse. Ainsi la Fontaine capte l’intérêt du lecteur en l’amusant mais l’auteur ne veut pas « conter pour conter » à travers sa fable s’exprime une critique sociale et une morale. Ce qui montre qui est une fable c’est l’art du détour (argumentation indirecte). II. La portée critique, la satire de la cour et l’loge de la femme Passage du conte à

Fiche de lecture : Jeannot et Colin Présentation de l'œuvre : Titre : Jeannot et Colin : et autres contes philosophiques de Voltaire (1694-1778), auteur français, Publication : 1764 Édition : Librio Genre : Contes philosophiques Composition : Plusieurs histoires dans le livre, dont Jeannot et Colin qui fait 9 pages. N'est pas divisé en chapitres, ni actes ou scènes. I) Résumé de l'histoire : Jeannot et Colin sont deux amis qui vont ensemble à l'école dans la ville d'Issoire en Auvergne

devant laquelle s’arrange Claire [ « elle s'arrange dans la glace » «  elle se mire encore »]. Ce thème du miroir fait implicitement référence à 2 contes : Cendrillon et Blanche-Neige ; et souligne du même coup le caractère archaïque et cruel de la relation d’autorité (les marâtres). Donc par le biais de ce miroir on est renvoyé à deux autres contes. Toute cette scène, bien que paraissant réaliste, n’est en réalité jouée que par deux bonnes. Ce jeu montre qu’elles ont intégré ce qui les révolte

torture éloquente : - Une critique ironique : • Voltaire fait appel à l’ironie tout au long du texte afin de mieux montrer et dénoncer l’absurdité et l’inhumanité de cette pratique. • Ligne7 « la comédie des plaideurs…ou deux » • Ligne9 « va conter» • Figures de style : Ligne 6  hyperbole : « jusqu'à ce qu’il soit en danger de mort » Ligne21 Epanorthose «encore » montre l’insistance. - Une dimension historique et politique : • Voltaire prend le prétexte

l'étalon pour enfin donner le majestueux cheval blanc à la corne d'or que l'on connaît aujourd'hui. Au moyen-âge, on considérait que la licorne était le plus beau et le plus fier animal connu sur la terre. C'était un animal redoutable, invincible et cruel. Nul ne pouvait l'attraper, sa défense était imparable et elle était dotée d'une force inouïe grâce à sa corne, qui pour les médiévaux amortissait les chocs, captait les énergies et guérissait les blessures. On racontait que seule une vierge pure pouvait

par débauche, devenir corrupteur et cruel. Tiré des Misérables d'Hugo (1862) , Jean Valjean représente par excellence le héros à la bonté médiocre semblable aux personnages de tragédies. Après sa sortie du bagne, son état d'esprit change et devient davantage positif. Conclusion : Nous aimons imaginer qu'il existe des héros. Pour les admirer sans doute et aussi pour les donner en exemple aux enfants. C'est pourquoi nous leur racontons des histoires, des contes dans lesquels le héros est malin, généreux