Les Corons

pourtant rêvasser aux histoires que Zacharie racontait sur le maître-porion3 et la Pierronne, car elle entrebâilla la porte d’entrée et jeta un coup d’œil dehors. Le vent soufflait toujours, des clartés plus nombreuses couraient sur les façades basses du coron, d’où montait une vague trépidation de réveil. Déjà des portes se refermaient, des files noires d’ouvriers s’éloignaient dans la nuit. Était-elle bête, de se refroidir, puisque le chargeur4 à l’accrochage5 dormait bien sûr, en attendant d’aller prendre

Hooverville : rafles et expulsions organisées par les shérifs adjoints les propriétaires terriens s'organisent en Associations de Protection Mutuelle pour se protéger des révoltes d'Okies Chapitre XX : suite à la mort de GM, passage chez le coroner pour déterminer la cause de la mort et signer le certificat de décès → GM enterrée dans le terrain du comté (autre chose = trop cher) description de la misère dans un Hooverville : page 339 installation des Joad dans ce campement il faut se méfier

manière irrationnelle. Ce crime collectif semble aussi insensé que la fièvre acheteuse qui s’empare de la Bourse de Paris dans L’Argent. L’avidité des acheteurs, la panique des vendeurs démontrent l’irrationalité des tractations financières. Comme les corons, la Bourse est le lieu de la folie groupale. Zola ne dénonce pas uniquement la misère sociale, il stigmatise également la misère sexuelle d’une époque. La perversion sexuelle est relatée dans Nana où l’on découvre l’amour fou que les bourgeois du

mémorable. La descente des Reistres[29] en diverses saisons, les batailles données contre le service de nos Roys, les conspirations contre leur personne, furent approuvées pour services bien signallés[30] faicts en faveur de leur jeunesse et de la coronne[31]. Durant ce mauvais mesnage[32], les princes qui aspiroyent au gouvernement des affayres commencèrent à s’esmanciper et à suivre soubs la faveur de cette novelle secte[33] plus chaudement la régeance de l’Estat[34]. La Royne, comme j’ay dict, qui

l’adjectif indéfini tout, surtout employé au féminin ou au masculin pluriel. On disait : tote gent (tout le monde), totes terres (toutes les terres), tote nuit (toute la nuit), etc. Cf. infra, Pronoms indéfinis. Ex. : De trestoz[4] reis vos present les corones. (Rol., 2625.) De tous les rois je vous présente les couronnes. Article employé comme pronom démonstratif. Parmi les emplois de l’article propres à la langue du moyen âge, il faut citer le suivant. L’article défini peut remplacer un pronom démonstratif

years of imprisonment. – “Magistrates’ Courts”: the same as “District Courts” with a limit of 60 000$ and 2 years of imprisonment. – “Juvenile Courts”: deals with offences committed by persons below 16 years of age. – “Coroners Courts”: inquiries to ascertain the cause of a person's death and whether anyone is criminally responsible – “Small Claims Tribunals”: small claims limited to 20 000$ – “Family Courts”: divorces, maintenance, custody and adoptions

exportateurs de bois du Cameroun, les entreprises de taille moyenne qui transforment une partie significative de leur production se réunissent au sein du GITAF-Cam (groupement des industriels transformateurs et aménagistes de la forêt camerounaise) : Coron, Pallisco, SIBAF, SOTREF, SFIL, Forestière de Campo, SEFAC. Chacun des deux syndicats engage un secrétaire général (11/10/95 pour le SPEBC). Cette sortie de la tutelle du GICAM (sous laquelle le GITAF-Cam vient de retourner) et la scission en deux

- surpopulation, entassement des familles dans des logements très exigus. Parfois plusieurs familles dans une pièce, grenier, caves, baraquements= manque d’hygiène, promiscuité, risque de propagation des maladies. - Logements ouvriers : corons - Nourriture de mauvaise qualité, pain a une place très importante, alcoolisme (conséquence des conditions de travail et de logement), prostitution G. Noiriel, les ouvriers dans la société française, XVIIème et XIXème Promiscuité, absence

également le théâtre de grandes batailles pendant la Première Guerre mondiale, et le berceau d’industries textiles très anciennes : coton, laine, lin, dentelle (Calais), jute ; des mines de charbon6 au XIXè s. : les mineurs habitaient alors dans les « corons », petites maisons ouvrières qui appartiennaient à la mine. De grands ports, à Dunkerque (marchandises), Calais (voyageurs), Boulogne (pêche), la station balnéaire du Touquet et la station climatique à Berck-plage7, qui soigne notamment les maladies

e de M édicis cou sin et su ccesseu r d'A lexan dre Le cardin al Valori envoyé offi ciel du pape S ire M au rice ch an celier des H u it G iom o écu yer du du c J u lie n S alviati allié d'A lexan dre, en n em i des S trozzi Tebaldeo peintre S coron con colo h om m e d'épée de Loren zo Lo re n zo d e M é d icis (Loren zaccio) cou sin , am i, espion et assassin d'A lexan dre L a m arq u ise d e C ib o belle-sœ u r du cardin al, m aîtresse d'A lexan dre M arie S oderin i m ère de Loren