Les Courants Liberal Keynes

Les grands courants de la pensée économique | | Section 1 : La pensée économique du XVIème siècle au XIXème siècle Jusqu'au XVIe siècle environ, la pensée économique n'a pas d'autonomie, elle n'existe qu'à travers d'autres champs de pensée, comme la philosophie ou la théologie. À partir du moment où les interrogations sur l'enrichissement de la Nation se sont faites plus pressantes, la pensée économique a pu se développer de façon autonome. §1 Le mercantilisme (XVIème et XVIIème siècle) :

KALDOR -Croissance économique (mesurée par le PIB) -l 'emploi(plein emploi)mesurée par le taux de chômage -stabilité des prix(mesurée par le taux d'inflation)qu'elle soit le plus bas possible -équilibre des échanges extérieurs (balance des paiement courants)mvt de capitaux a CT LT et MT En Europe,la France et le R Unis attirent les capitaux Les États Unis attirent énormément les capitaux contrairement a la Chine Les instruments: Instrument de connaissance:Permettre de préparer la décision et

politique budgétaire de relance ? Quelles en sont les conséquences ? Bref Rappel sur Keynes et la théorie Keynésienne : John Maynard Keynes : économiste et mathématicien britannique (05-06-1883 et 21-04-1946) : inspirateur du keynésianisme, courant de pensée économique : intervention active de l'État, à certains moments précis, au sein de l'économie, pour assurer le plein emploi. « Définition » du courant keynésien : a. Système économique : le capitalisme b. Moteur de l’activité économique

d'économie (Science Po 1ere année) I Texte de Keynes A - Objectif de la politique de Keynes et les moyens de sa mise en place J.M Keynes rédige sa théorie de l'emploi entre 1930 et 1939, pendant la crise des années 30 et à l'amorce de la seconde guerre mondiale. Il s'intéresse donc à la relance de l'économie puis au financement de la guerre. Le but de la politique keynésienne est de résoudre le chômage sans déclencher d'inflation. Ainsi, Keynes souhaite à tout prix empêcher la formation de

s’est intéressé à une question, particulière : qu’es ce qui fait la richesse d’une nation. Il est un représentant des « lumières » et du plus grand courant libéral. Lumières : c’est le raisonnement rationnelle c.-à-d. cette capacité des hommes à chercher ce qui est vrai haut de là de ce que l’Eglise, la religion affirme. Le libéralisme est l’un des courants philosophique qui traverse tous le 18e sicle. Il a plusieurs signes, sur le plan politique, c’est le plus répartisme, le plan moral c’est l’acceptation

distinguées et affrontées. Au bout de deux siècles de réflexion, nous en sommes toujours là. D’un côté, la tradition libérale, immuable dans son dogme : le chômage est lié à un mauvais fonctionnement du marché du travail. La solution est simple : rendons au marché sa fluidité, sa liberté de fonctionnement et le chômage disparaîtra spontanément. De l’autre, la tradition critique à l’économie libérale, plus ou moins keynésienne ou marxiste, qui considère que le chômage est, au contraire, au cœur même de l’incapacité

prend l’exemple d’un entrepreneur qui anticipe une demande faible (demande effective ou anticipé selon Keynes), il ne va pas produire suffisamment pour embaucher et donc il va contribuer au chômage. C’est à ce niveau que l’Etat doit intervenir pour améliorer le climat économique. Grace à cette initiative, dans un contexte de demande plus forte, l’entrepreneur pourra embaucher. Pour cela Keynes met en place l’idée d’un multiplicateur : lorsque l’Etat injecte des ressources supplémentaire dans l’économie

importante après la Grande Dépression de 1929. Le krach boursier s’étend sur le continent européen en 2008, après avoir débuté aux Etats-Unis en 2007. La France n’entrera en récession qu’en 2009. La réponse à cette crise a suivi massivement l’approche de Keynes, qui disait lui-même: "Les hommes d’action qui se croient parfaitement affranchis des influences doctrinales sont d’ordinaire les esclaves de quelque économiste passé". Le but est de résoudre le problème de la dette publique accumulée depuis la crise

pauvreté des nations, Edition Flammarion * Stiglitz, La grande désillusion, édition Fayard * Christian Chabagneux, Les dernières heures du libéralisme, édition Perrin L’objectif de ce cours est : * Montrer la diversité des différents courants de pensée, savoir distinguer entre les classiques, les néo classiques, les marxistes des keynésiens * Savoir caractériser les modes de fonctionnement du système économique : le libéralisme économique et l’économie planifiée * Présenter les

de pensée économique fondée par l'économiste britannique John Maynard Keynes. Pour les keynésiens, les marchés laissés à eux-mêmes ne conduisent pas forcément à l'optimum économique. En outre, l'Etat a un rôle à jouer dans le domaine économique notamment dans le cadre de politique de relance. Toutefois l'importance de ce rôle varie avec les courants keynésiens et avec les traditions étatiques des différents pays. Les courants dominants actuels sont la synthèse néo-classique nommée aussi néo-keynésianisme