Les Cycles Kondratiev Portée Et Limites

de dessert » liée à la forte baisse du pouvoir d'achat en Europe et en Amérique du Nord. Au Brésil, pour limiter la mévente et faire grimper les cours, le café est brûlé dans les locomotives. Le monde entier est touché excepté l'Union soviétique de Staline, protégée par son système économique autarcique. Les causes de la crise économique [modifier] La réflexion économique a posteriori a porté d'une part sur les causes immédiates de la crise et d'autres part sur les raisons de la transformation de

monopole, le verrouillage de la concurrence par des concentrations d’entreprises (exemples : l’aéronautique, l’assurance, la grande distribution…). Les stratégies des entreprises, qui définissent leur développement à long terme, ont aussi pour objet de limiter la concurrence : Innovation, différenciation (exemple : les A.O.C.) Intégration, création de filières, concentration, recherche de synergie, de tailles critiques, de taille minimale optimale. Recentrage, spécialisation sur des niches, des segments

Cette diminution peut être contrariée par du progrès technique ou par une ouverture internationale permettant de repousser les limites de l’état stationnaire (document 4). Karl Marx va reprendre à son compte la vision pessimiste des premiers classiques en l’analysant de façon différente et en lui donnant une autre dimension. Pour lui l’économie capitaliste porte en elle ses propres contradictions et, s’il reprend à son compte la conception «classique» de la valeur travail, il avance que

financier, le secteur automobile, la sidérurgie, la construction…Rares sont les entreprises et les secteurs qui réussissent à tirer leur épingle du jeu. Sans aucun doute, cette crise financière américaine, est due au capitalisme financier sans limites qui s’est développé outre-Atlantique : des banquiers véreux ont prêté de l’argent à des personnes qui n’en avaient pas les moyens. Puis les banques se prêtent entre elle sur de telles opérations complètement risquées. L’endettement des ménages américains

méthode inductive, en établissant des lois générales à partir de l'observation des faits (J.-B. Say), ou hypothético-déductive, en construisant des modèles à partir d'hypothèses simplifiées (D. Ricardo). • Elle établit des lois naturelles dont la portée est universelle : loi de l'offre et de la demande, loi des débouchés, loi de la surpopulation... 2. L'analyse du fonctionnement du système capitaliste. • L'unité d'analyse est l'individu calculateur qui cherche à satisfaire son intérêt

monde industriel et urbain. 2 La théorie des cycles économiques Même si la croissance est globalement positive au cours du 19e siècle, le détail de la conjoncture montre des alternances régulières de crises et de reprises, de phases de dépression et de phases de croissance. Deux économistes ont analysé cette évolution et en ont tiré une théorie des cycles économiques. Juglar s'est intéressé aux cycles courts : il a ainsi repéré des cycles de 6 à 12 ans composés d'une phase de crise, chute


Pour
cela,
la
nation
doit
s’enrichir
(car
le
roi
s’enrichit
en
taxant
ses
sujets).
 Le
point
de
départ
de
cette
approche
est
d’assimiler
la
richesse
du
pays
à
la
quantité
de
métaux
précieux
détenue.
 Aussi
appelé
le
Bullionisme.
 Les
Espagnols
vont
se
limiter
à
cela.
 En
France,
Antoine
de
Montchrestien
va
expliquer
dans
le
«
traité
d’économie
politique
»
que
l’activité
économique
se
met
 au
service
de
la
nation
et
du
roi.
 L’activité
marchande
est
bénéfique
à
la
société
car
le
marchand
fait
du
profit
et
ce
profit
sert
la
société

le modèle keynésien explique les variations de l'emploi durant les années 60s et sert à mener des politiques monétaires inflationnistes qui ont fait diminuer le chômage. On parle d'un arbitrage entre inflation et chômage. Ce modèle montrera ses limites avec les chocs pétroliers, l'application des préconisations keynésiennes ne faisant qu'augmenter toujours plus le chômage. Cela permettra l'ascension des monétaristes. D'autres modèles néo-keynésiens, plus radicaux dans la remise en cause de l'équilibre

CROISSANCE ET CYCLES Alexis Direr, professeur à l'Université de Grenoble, dernière mise à jour mars 2004 INTRODUCTION GÉNÉRALE ............................................................................................ 4 Caractéristiques de l’analyse macroéconomique .................................................................. 4 Questions méthodologiques ..................................................................................................... 5 La décomposition cycle-croissance

monnaie et de la création monétaire (programme de 1ère année) Plan : Introduction : Définitions et enjeux du sujet. I- La mesure de l’inflation A- L’indice des prix à la consommation (IPC) 1- Définition 2- Calcul 3- Utilisations B- Les limites de l’IPC 1- Les problèmes de calcul de l’IPC 2- L’écart entre inflation perçue et inflation constatée 3- Les autres indices II- L’histoire de l’inflation A- Les périodes d’inflation avant le 20ème siècle 1- La hausse des prix au 16ème siècle