Les Décombres

autonome du Xinjiang, ce territoire en cours de transformation. Les photos montrent les restes de décors architecturales intérieures, très colorés, on peut deviner les ruines d'une cuisine ou les motifs orientaux d'un salon. Devant ces décors de décombres, Edith Roux fait poser les anciens habitants devant leurs maisons qui ont été détruite, leurs vêtements sont très colorés. Ils apparaissent comme des fantômes, détachés du contexte et du lieu de la photographie, ils posent fièrement, résistant

aiguilles menaçantes qui vont s'enfoncer dans son corps, en tirer le suc de la vie, et le laisser vide comme une enveloppe morte... Soudain, une explosion retentit, et un inconnu libère Joe qui parvient à s'enfuir. La salle de conférence n'est plus que décombres, les horribles mamies ont été pulvérisées... sauf Bonne-Maman, qui est encore là, et qui déclare à Jordan qu'elle sera toujours à ses côtés, à hanter son quotidien, même quand elle sera morte... Une fois rentré à Thattlebee Hall, une vie d'angoisse

recherche de son manuscrit. En passant à coté de la maison d'édition dévastée, il trouve une machine à écrire, une seule touche ayant été arrachée lors du choc. Il repart ensuite chez lui, la machine sous le bras,son manuscrit resté sous les décombres. Deux semaines que ce foutu champignon est apparu dans le ciel. Il est tard. Richard Allen Shaggley est allongé dans son fauteuil. Il regarde une tasse de thé par terre. Avec effort il la ramasse et fixe le visage de Marylin Monroe imprimé

couple. Le champ lexical des ruines, des vestiges et de la mort  revient souvent dans la première page de la première séquence : ‘’des ruines récentes qui furent des demeures…’’ -‘’ces maisons de pierre sèche…..ne sont plus qu’un amas de décombres.’’ -‘’Les anciens habitants des lieux disparus depuis longtemps…’’ -‘’Une de ces ruines dresse des pans de murs difformes par-dessus un buisson touffu.. ;’’ Le lecteur doit bien vite corriger son horizon d’attente orienté vers la lecture

ne voient rien ou presque rien : yeux fermés par la mort ou le sommeil, regards obturés par les bandages ou les masques à gaz… Sur le volet droit, tandis que des corps inertes sont présentés au premier plan, un seul homme vivant parmi les décombres apparaît. Il tente en vain de soutenir un compagnon inerte, la tête ensanglantée. Le regard fixe, il scrute le spectateur, tel un appel qu’il sait déjà vain. L’arrière-plan présente une fournaise infernale L’arrière-plan montre un paysage dévasté

qu’il est mort. A sa gauche, on distingue des sacs gris, surement de terre pour se protéger des tirs ennemis ; eux aussi sont pleins de sang. -au troisième plan, on distingue des ruines, surement d’un village victime des bombardements, et des décombres, le tout sous la brume. Les couleurs utilisés sont frappantes (rouge, noir, gris). La technique utilisée est la tempera, fait de peindre à l’œuf et à l’eau sur du bois. Le peintre évacue par ce tableau toutes les horreurs de la guerre dont il

promet alors les merveilles de la natures que l'on retrouvent dans les pays voisins, il espère lui même que cette nature se répare. Mais l'espoir de voir cette nature ressusciter se fais à travers cette enfant,seul et meurtri au milieu des décombres. qui est comparé à plusieurs éléments, tout d'abord, au saule pleureur auquel ses cheveux font penser. Il est ensuite décrit comme un ange avec ses cheveux blond, ses yeux bleues et son innocence et il est enfin comparé à une aubépine, comme si

Notre -Dame qui émergent des fumées du dernier plan. Une foule d'émeutiers franchit une barricade. Au premier plan, apparaissent les corps de soldats morts . L'un d'eux est nu .Un ouvrier ou un paysan blessé, avec un foulard sur la tête, sort des décombres, le corps et le regard tendus vers une femme du peuple, coiffée d'un bonnet phrygien dont on aperçoit quelques boucles s'en échappées . Celle-ci est représentée en pied et occupe de fait la place principale. Elle brandit par la hampe un drapeau tricolore

aucune sensation. Je réalise peu a petit que mes parents et mon frère ne souffrent plus, ils ne sont déjà plus de ce monde. J’agonise tranquillement. Je suis mort. Quelques instants plus tard, des mains soulèvent mon corps inerte et me retirent des décombres de notre maison anéantie. Les corps de mes parents et de Wissam, sont tous étendus à mes cotes. Je suis à la fois triste et heureux, car ma famille est enfin libérée de toute cette violence qui nous entoure et elle pourra vivre une vie plus paisible

prolongemen,t de sa vie d’enfant fondée sur l’idéal, la pureté  sur l’absolu ( le rêve en quelque sorte) L 1661 et 1670 = 2 fois elle avoue : «  Je ne sais plus pourquoi je meurs »   CONCLUSION : Antigone se suicide au milieu de ses contradictions et des décombres de ses rêves.         Autres sujets sur Antigone  :   -        On a dit de Créon qu’il proposait l’acceptation sous « l’aspect le plus intelligent et le moins impossible » mais qu’il n’arrivait pas à persuader  Qu’en pensez-vous ? -          -        La