Les Deux Magots

Breton, Janine Kahn. Brouillé avec Breton, il quitte le groupe en 1930, travaille dans une banque, voyage en Grèce, commence une psychanalyse, écrit son premier roman, Le Chiendent, qu’il publie chez Gallimard, en 1933, et qui obtient le prix des Deux Magots. La machine à créer est lancée. En 1936, il s’installe à Neuilly et publie désormais un livre tous les ans : roman, poésie ou essai. Présenté comme un « roman en vers », son premier recueil de poèmes, Chêne et chien, paraît en 1937. Avec ce recueil

ses comédie. La scène six de l'acte III dans le jeu de l'amour et du hasard est d'ailleurs un exemple de pièce où Marivaux allie batifolage et comique. La scène fait partie du dénouement de l'enjeu de la pièce, en effet, l'enjeu était le mariage de deux jeunes nobles (Silvia et Dorante) réticents à l'engagement. Pour s'assurer que s'ils se mariaient leur décision serait la bonne, ils décident d'échanger de place avec leurs valets respectifs (Lisette et Arlequin), en ne mettant en courant que ceux-ci

de tendresse que pour Jacques auprès duquel elle a été élevée. - Misard : C’est lui qui va empoisonner sa femme pour tenter de trouver le magot qu’elle cachait. Pecqueux : Le chauffeur de Jacques Lantier. - Philomène : La maîtresse de Pecqueux, qui va devenir à la fin du roman la maîtresse de Jacques, ce qui va indirectement causer la mort des deux hommes. - Grandmorin : Président de la compagnie ferroviaire. C’est lui qui a causé la mort de Louisette, soeur de Flore. Thèmes : - Démarche

aussi des hyperboles comme « tout est fini pour moi » (l.10) ou « je n’ai plus que faire au monde » (l.10-11) ainsi que le champ lexical de la mort composé de « meurt », « mort », « enterré », « ressusciter », « tout est fini » qui symbolisent tous deux la douleur et la tristesse liées à la « ruine » d’Harpagon. La personnification de l’argent ; que l’on repère par l’expression « mon cher ami » (l.9) ou par l’emploi du pronom personnel « toi » dont on note 2 occurrences (l.9 et 11) et le « tu » (l

Roman publié à Paris en feuilleton dans la Vie populaire du 4 novembre 1889 au 2 mars 1890. Depuis longtemps, Zola médite deux sujets que l’ouvrage, le dix-septième de la série des Rougon-Macquart, réunit progressivement : • D'une part le thème du meurtre et de l’institution judiciaire, inspiré de Dostoïevski et des recherches de Lombroso sur l’"homme criminel"; outre les faits divers, en 1888 les assassinats commis par Jack l'Eventreur à Londres suggèrent à Zola le thème de d'obsession criminelle

allusion à la fable de la Fontaine qui regroupe deux idées opposées mais complémentaires : la médiocrisie et la faiblesse de l’enfant puis la grandeur et la puissance de la révolution en marche. Dans les extraits de Flaubert et de Zola, le peuple forme un personnage collectif. On trouve des points communs reliant ces deux textes notamment la métaphore de l’eau puis on a également le Chant de la Marseillaise et une description du bruit. Cependant, les deux extraits divergent sur la vision qu’ils donnent

Synthèse du livre « Le voilier de l’aventure » de Richard De Boeck Patrick, Cécile, Lénick, Guy et Eric sont en vacances. Patrick et Cécile sont des cousins, ils ont tous les deux dix-huit ans. Lénick est la sœur de Patrick et elle a seize ans. Puis il y a encore Guy et Eric. Guy est le frère de Cécile, Eric est le frère de Patrick et Lénick. Ils ont quatorze ans. Les cinq ont décidé de partir en vacances sans leurs parents. Ils voyagent en camionnette aménagée. Le but, c’est de retourner à la

mais tous deux pensent alors aimer un être d’une condition supérieure. Dans cette scène, les deux personnages sont amenés à révéler leur véritable condition sociale. Lorsqu’Arlequin soulève son masque, Lisette se sent trahit et le traite de « Faquin », de « magot », ainsi que « d’animal » et quand c’est au tour d’Arlequin de découvrir que Lisette n’est que la coiffeuse de la maîtresse qu’il pensait être en train de courtiser, il fait de même en l’insultant de « Masque » et de «magotte ». Ici les

vie Raymond Queneau travaille successivement comme employé de banque, professeur de français et journaliste. En 1933 Raymond Queneau publie à la Nouvelle Revue Française son premier livre, Chiendent, immédiatement récompensé du premier Prix des Deux-Magots. Exercices de style, roman composé de 99 mini-romans différents racontant la même anecdote, publié en 1947, est son premier grand succès public. En 1954 il prend chez Gallimard la direction de l'Encyclopédie de la Pléiade qu'il assurera jusqu'à

surréaliste, aux cotés d’André Breton, cependant il en sera exclu en 1930 et écrira un texte appelé « Dédé » où Queneau raconte de manière satirique son expérience du surréalisme Son premier roman, « Le chiendent » paru en 1933 lui vaut le pris des Deux-Magots. Mais c’est avec Pierrot mon ami, paru en 1942 qu’il connaît son premier succès. Il publiera ensuite quelques romans sous le nom de Sally Mara, un auteur totalement fictif. Queneau est un amoureux des sciences et intègre donc la « Société mathématique