Les Diaboliques Personnages

merveilles du 21e siècle, elle croise sur son chemin de curieux personnages qui, comme dans tous les contes de fées (et nous savons combien les contes de fées sont cauchemardesques) vont la faire grandir. C'est d'abord Zoran, le fils ogre de son mari. Une mater dolorosa ensuite, qui parle de ses quatre chiens aux noms d'apôtres comme de ses fils. Suivront, passeront et reviendront : un voisin flic à la fois infantile et diabolique ; un SDF attaché à une chienne comme au giron de sa maman ; une

est rapidement pris par l’histoire. Montée par Frédéric Bélier Garcia, l’affaire est bien jouée. Les facéties du diabolique juge Adam (Jan Hammenecker), de son greffier Lumière (David Migeot), et de Ruprecht (Emmanuel Guillaume), fiancé à la victime Eve (Noémie Dujardin), sont parfaitement grotesques, on en redemande encore. On aime les regards fuyants entre les personnages qui comblent des dialogues bien interprétés, tout comme la possession de la servante Louise (Christelle Comil) par le diable

Finlas, en Castille ». c Des mots qui renvoient à l’Espagne : * nom de famille : v.18 « Le chef de la maison de Bazan » * noms de l’organisation juridique espagnole : v.16 « alcades de la cour », « alguazils v.58 3. Des personnages de cour a DS : * mu par l’ambition, œuvre de longues années pour assoir son pouvoir : « mon règne est passé » v.3 ; « 20 ans d’ambition, de travaux nuit et jour » v.15 ; « charge, emplois, honneur, tout en un instant s’écroule » v.21

formes le bien et le mal se mélangent dans une pièce de théâtre ? Est-ce un problème de personnages ? Ou bien est-ce un problème de situation ? Souvent, l’intrigue d’une pièce de théâtre pourrait très bien se passer s’il n’y avais pas tel ou tel personnage pour tout gâcher : un personnage qui a pour but ou sans intérêt, de semer la pagaille dans la situation. On trouve plus fréquemment ces personnages dans les comédies, comme par exemple Harpagon dans l’Avare , ou bien Scapin dans Les fourberies

pour cela il en fait une description vivante. Dans un premier temps Balzac décrit son personnage comme un personnage que l’on peut qualifier de riche : « à la magnificence de son rabat de dentelle » à la ligne 2 montre que le personnage porte un costume d’une certaine valeur et qu’il appartient à une autre génération que Nicolas Poussin. Sa richesse fait de lui un personnage important et les relevés : « à la prépondérante sécurité de sa démarche » ligne3 qui révèle que le vieillard

la versification) -Exclamation, Interjections, Ponctuation expressive ( ! ? ) ROMANTISME : * Présent dans plusieurs formes d’art tels que : la LITTÉRATURE, la PEINTURE, la MUSIQUE (Chopin, Beethoven) * Éléments romantiques : créature diabolique, couleur pastel, rapport rêve à l’occasion, la gargouille, intérêts romantisme pour l’exotisme et l’évasion, Étude de «Le lac» de La Martine Caractéristiques thématiques du romantisme : * Lyrisme : l’expression des expressions personnels

lapin a quelque chose de spécial. En entrant derrière lui dans son terrier, elle fait une chute presque interminable qui l'emmène dans un monde aux antipodes du sien. Elle va rencontrer une galerie de personnages retors et se trouver confrontée au paradoxe, à l'absurde et au bizarre… Le personnage d'Alice « Aimante comme un chien », ainsi que la décrit Lewis Carroll dans Alice à la scène, Alice est également « curieuse, extravagamment curieuse ». Ce trait de caractère en fait l’exploratrice idéale

démontrer l’influence des milieux et de l’hérédité sur ses personnages. Des personnages ancrés dans leur médiocrité : Zola se veut réel. Alors, peut-on vraiment reprocher à Zola de peindre dans Thérèse Raquin, ce qu’il y a de plus sordide dans la réalité et de plus bestial dans l’homme ? Finalement, l’œuvre de Zola, se limite-t-elle à ce seul aspect ? Ceci revient à se demander si Thérèse Raquin reflète un tableau d’abjection ou prônent des personnages au tempérament sauvage, animal. Ainsi, nous verrons

intoxiqué par ce breuvage qu’il vient de mettre au point, il subit alors une métamorphose monstrueuse en devenant son infâme alter ego, Mister Edward Hyde, un personnage terrifiant, vicieux et sans pitié. Doctor Jekyll et Mister Hyde sont deux personnalités différentes luttant pour posséder l’âme d’un même homme. Stevenson fait de son personnage principal un être tourmenté, un scientifique dépassé par sa découverte et obsédé par une dualité qui le ronge. Jekyll & Hyde est double mais constitue une

Heinrich, qui remporte tous les soirs un succès considérable dans le rôle du démon. Une nuit, pourtant, au Gasthof de l'Aigle à deux têtes, un inconnu conteste la vérité de son interprétation et, pour convaincre l'assistance, part d'un rire vraiment diabolique. Quelques jours plus tard, il surgit pendant un entr'acte dans les coulisses du théâtre, fait disparaître Heinrich et se substitue à lui sur la scène : toute la salle acclame son jeu éblouissant. On l'a deviné : cet inconnu est le diable en personne