Les Diaboliques Personnages

des personnages ? Qu’apprenons-nous sur eux ? que symbolisent ces portraits ?a. Dans les deux textes de Balzac. (12 pts)b. Dans le texte de Mérimée, puis dans celui de O. Wilde. (6 pts)2. Quel lien peut-on faire entre les 4 textes du groupement ? (2 pts)Réponses :1. a. Dans le texte de Balzac « Le Chef d’œuvre inconnu » de 1831 le personnage est amené avec le narrateur qui l’aperçoit au loin et l’identifie comme « « le protecteur ou l’ami du peintre » ligne 3 ». La description du personnage se

au-dessus avec quatre cors et trois trombones mais avec de plus brèves valeurs. -Enfin, la troisième représentation jouée par les cordes en pizzicato et les bois sur un rythme de saltarelle, dans un registre suraigu, donne l’impression d’une danse diabolique. En plus au début de ce même mouvement, Berlioz invente un nouveau mode de jeu : le « con legno » qui consiste à frapper les cordes avec le bois de l’archet. La symphonie a un gigantesque orchestre de 95 musiciens alors que les orchestres

parle souvent du comte de Valmont et de la marquise de Merteuil ; mais pour autant, pouvons-nous oublier des personnages à l’apparence secondaire comme Madame de Rosemonde ou Madame de Volanges ? « Quel est le rôle de ces deux personnages dans l’œuvre de Laclos ? » Quel est leur place dans le roman ? Nous verrons dans une ……………. I- Des personnages secondaires Il s'agit de personnages effacées, en retrait de Valmont,Madame de Merteuil ou la Présidente; elles comptabilisent trés peu de lettres

courbée en avant. Le fait qu’elle porte des haillons nous invite à penser qu’elle représente l’avarice. Sur son dos se tient un personnage de petite taille portant un masque moustachu. Il agrippe le dos de la sorcière d’une main tandis qu’il porte l’autre à sa poitrine dans un même geste qui semble symboliser la frustration, et donc l’envie. Le troisième personnage est central. Il arbore un costume de squelette tout en brandissant une faux : il symbolise donc bien évidemment la mort. Une large

dresse le portrait d’un personnage, Georges Duroy. L’auteur plonge immédiatement le lecteur dans l’action, sans référence à des évènements antérieurs. Nous analyserons cet extrait autour de deux axes : l’incipit présentant le héros et l’incipit annonciateur de la thématique du roman. I – Un incipit présentant le héros : L’incipit de Bel Ami est centré sur la description du héros, Georges Duroy. Au delà de la description physique, Maupassant évoque l’état d’esprit du personnage, annonçant son ascension

une propriété humaine rien moins que spontanée comme le montrent, après Narcisse, les contes philosophiques récurrents décrivant l'égarement du personnage qui se regarde sans se reconnaître,faute de savoir s'objectiver. En effet, il a fallu des siècles d'évolution culturelle pour apprivoiser le reflet, depuis le Moyen-âge, où le miroir était diabolique, avant de porter à réfléchir sur les auto-représentations, inspirer sentiments ou ironie, et enfin rassurer chaque jour le sujet romantique sur

Dix petits nègres Agatha CHRISTIE Personnages Edward Georges Amstrong E.G. Amstrong est un médecin très en vogue, d’une intégrité indiscutable et très compétent d’un point de vue professionnel. Il travaille à l’hôpital de Leithmore. Il a opéré d’une péritonite Louisa Mary Glees, le 14 mars 1924, alors qu’il était en état d’ivresse. Celle-ci est alors décédée sur le billard. Il a été invité sur l’île par Mr Owens, s’inquiétant de la santé de sa femme. Le juge Wargrave en a fait son

cousin Pons» de Balzac La littérature au milieu du 19ème est marquée par le roman réaliste. Balzac, qui incarne le romancier des moeurs ne fait pas d’exception pour ce roman. Cet extrait raconte en effet l’histoire d’un héros écrasé par des personnages convoitant sa collection qui représente des richesses considérables. Il retrace également une séparation déchirante entre deux amis. Nous verrons dans un premier temps la douleur provoqué par cette séparation entre Schmucke et le Cousin Pons, puis

Roberto Zucco, 24 ans, vénitien: un assassin, un parricide et matricide élevé au rang de personnage mythique (Goliath, Samson). Cette '' héros'', sans jugement moral, trouble et fascine en même temps, un être qui demeure inexplicable. Pourtant, son aspect sublimé présentes des facettes contradictoires: sa brutalité et sa colère ( meurtre, combat) face a ses paroles poétiques (il cite Hugo et Dante) bouleverse et perturbe le lecteur. Son raisonnement et sa lucidité mène à la constatation de son intelligence

magnificence de son rabat(1) de dentelle, à la prépondérante sécurité de la démarche, le jeune homme devina dans ce personnage(2) ou le protecteur ou l'ami du peintre ; il se recula sur le palier pour lui faire place, et l'examina curieusement, espérant trouver en lui la bonne nature d'un artiste ou le caractère serviable des gens qui aiment les arts ; mais il aperçut quelque chose de diabolique dans cette figure, et surtout ce je ne sais quoi qui affriande(3) les artistes. Imaginez un front chauve, bombé