Les Diaboliques

savoir. Seulement il faut éviter ici plusieurs erreurs que fonde le terme inconscient. La plus grave de ces erreurs est de croire que l'inconscient est un autre moi, un moi qui a ses préjugés, ses passions, et ses ruses, une sorte de mauvais ange, diabolique conseiller. Contre quoi il faut comprendre qu'il n'y a pas de pensées en nous sinon par l'unique sujet, Je, cette remarque est d'ordre moral. " Dans ce texte, Alain opère une critique de la conception freudienne de l'inconscient. Il résume dans

actes. L’inconscient peut nous suggérer énormément d’actes cependant nous gardons la faculté de les juger, non pas sur leurs origines mais sur leur valeur morale. Ainsi, l’homme n’est pas un animal sous l’emprise de son inconscient possiblement diabolique, mais un être rationnel qui possède la capacité de choisir après jugement les actes qu’il est en capacité de faire. Nous ne portons non pas notre responsabilité sur les racines inconscientes de nos actes qui demeureront inconnues mais sur notre

d’autobus » -> personnification, les autobus sont comparés à des animaux avec le mot « troupeau » qui peut faire référence à des troupeaux d’animaux. Vers 77 : « comme le feu de l’Enfer » -> comparaison : le feu de l’Enfer est comparé au rire qui serait diabolique en rapport avec les caractéristiques de l’Enfer. Vers 79 : « tableau pendu » -> personnification, le tableau est assimilé à un être vivant. Thèmes développés et champs lexicaux : Le thème de la mort, notamment avec le champ lexical de la

de travail. Le commentateur avait annoncé qu'un fou s'était enfui de l'asile psychiatrique de la ville voisine et s'amusait à pénétrer chez les gens habillé en policier pour y assassiner tout le monde … Le faux policier se tourna et eut un rire diabolique. - A qui le tour ?

le chat allait lui sauter au visage pour venger Camille. [Selon lui], cette bête devait tout savoir […]». (l.4290-4291.) De plus, l’écrivain explique que Laurent a peur du chat, car François regarde Laurent « avec de gros yeux ronds et une fixité diabolique.» (l.6564-6565). Bref, le fantastique est présent dans ce roman, car plusieurs éléments surnaturels gravitent autour de la mort de Camille. De plus, les conduites du chat son étranges. Ce roman est aussi fantastique, car le doute et la peut sont

de Labitt à Paris en 1845. 3 ans plus tard, Charles Baudelaire devient membre de la Société Républicaine centrale de Blanqui. En 1854, le poète fait connaissance 2) de l’écrivain Barbey d’Aurevilly, auteur d’ «Une vieille maîtresse » et des « Diaboliques ». En 1857, il y eut la première édition des Fleurs du Mal, un recueil de poèmes en vers écrit par Charles Baudelaire. La Deuxième édition des Fleurs du Mal, augmentée de trente-cinq nouveaux poèmes fut 1861. C’est en 1867, le 31 août à 11 heures

charnelle (Une vieille maîtresse, 1851), filiale (Un prêtre marié, 1865 ; Une histoire sans nom, 1882), politique (Le Chevalier des Touches, 1864) ou mystique (L’Ensorcelée, 1855). Son œuvre la plus célèbre aujourd'hui est son recueil de nouvelles Les Diaboliques, paru tardivement en (1874), dans lesquelles l’insolite et la transgression, plongeant le lecteur dans un univers ambigu, ont valu à leur auteur d’être accusé d’immoralisme. Son œuvre a été saluée par Baudelaire et plusieurs écrivains ont loué

| |( le rire manifeste une acceptation positive du destin) |provocation | | | |- rire diabolique | |- rassembler, unir, séduire, souder... | | |( vision chrétienne où rire est

contemporain. Il raconte le calvaire d'un homme qui devient son propre corps, un corps refaçonné en oeuvre d'art au mépris de tout respect pour son humanité. Malléable, transformable, il n'est plus qu'un corps sans âme entre les mains d'un esprit diabolique dont le génie tient avant tout à son manque de scrupule. En partant, je vous le dis, ce livre est un chef d'oeuvre, sans jeu de mots. On se met à la place d'un homme dont on a retiré l'humanité. Il est réduit à n'être qu'un simple jouet, un

pouvoir s'en défaire, il voit tout et si le diable a un regard… C’est bien celui-là ! Lorsqu'il veut séduire et réduire l'autre à sa merci, avec des lueurs câlines, il joue le jeu à sa façon. Il inquiète. Il cultive d'ailleurs cette domination diabolique. Il joue de son violon comme un dieu, il fascine par sa présence autant qu'il m'est mal à l'aise. Tout en muscle, il est énergique comme un grand fauve. Brusque dans ses paroles, tendre dans ses gestes, un sourire de loup, irrésistible pour les