Les Diérèses Dans L Invitation Aux Voyages

---------------------------------------------------------------------------------- “L'albatros” Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. À peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté

Nostalgie : nostos  : voyage du retour algos  : souffrance : expression de la souffrance d’un état vers lequel on voudrait faire retour  : ce qui la nourrit par excellence c’est l’enfance comme motif de paradis perdu cf les regrets DB, odyssée d’Ulysse = ostos = poème de retour= voyage du retour dans sa patrie« qui m’est une province

“Frêles” → “muscles” → Alchimie poétique de la boue vers l’or.· Dernière strophe= chant de célébration du Vin, dimension sacrée et mystique · Nombreuses références à Dieu· “Ambroisie” → boisson des Dieux· “Eternel semeur” → Dieu → Parodie biblique· Diérèse “Pré/cieux” → Appuie sur son authenticité· CC but “Pour que de notre…” → Ce grain va faire naître la poésie de l’union du poète et du vin.· “Rare fleur” → Référence à la poésie. Possiblement une fleur du mal, née de sa souffrance. L’ivresse aiderait

premier plan : le tumulte douloureux est renforcé par le hiatus (« affreux hurlement », v. 14). Les « cloches » appellent au secours, cherchent une transcendance. La continuité de ce hurlement sourd et prolongé est rythmiquement marquée par la diérèse d’« opiniâtrement », v. 16. Finalement, ces cloches sonnent pour prévenir de l’invasion : le spleen risque d’envahir l’esprit. • Après la déchirure que marque le tiret, le cinquième quatrain est celui de l’accablement. La lenteur est suggérée

par la Révolution, ne voulant pas servir «l’usurpateur», il mena à Milly la vie d’un aristocrate oisif, consacrée à la rêverie, à la lecture, à la poésie chrétienne (1808-1811). Pour dissiper son ennui, il entreprit avec son ami Aymon de Virieu un voyage en Italie (1811-1812) où il noua une charmante idylle avec une jeune Napolitaine dont il allait faire l’héroïne de “Graziella”. L’Empire s’écroulant, cette épopée vite foudroyée lui fournissant les coordonnées morales de son romantisme et de son

intellectuels se retournent sur eux-mêmes, sur leur « moi intérieur ». Ils utilisent alors toutes les formes d'art pour exprimer une réflexion sur ce « moi », les plaintes et les sentiments de l'individu ou de l'auteur lui-même et ouvrent sur le rêve, le voyage et le fantastique.Mouvements du XVIIIe :Idées politiques :· Les philosophes rejettent l'idée que le roi soit le maître de ses sujets et puisse gouverner en ayant tous les pouvoirs, sous le seul « contrôle de Dieu ». · Cependant beaucoup de ces

à faire de ces tours » on a une vision fluctuante et peu rassurante de l’avenir Groupe nominal « ces coups » renvoie au retournement de situation C/ Appel à la prudence 4 impératif dans la morale  invitation à la prudence, à la modération  « défions nous du sort, prenons » Diérèse « défions »  mis en avant, allongement syllabique Tout pousse les hommes à rester sur leur garde. Mise à l’épreuve des « insolents » et de ceux qui gagnent la bataille Ver 23 expression « tout cet orgueil »

Questions pour l'entretien 15 19 23 28 31 35 38 42 Montaigne (1) Montaigne (2) Diderot, Bougainville Voltaire, L'Ingénu Nouveau Apollinaire, « Zone » « Le Pont Mirabeau » « Mai » « La Prose du Transsibérien » Nouveau 47 Baudelaire, « Invitation au voyage » 51 Rimbaud, « le Bateau ivre » Nouveau 55 « Tu es plus belle… » 59 63 67 71 Dom Juan I, 2 III, 2 IV, 3 V, 2 76 Le Jeu de l'Amour et du Hasard I, 6 81 Amphitryon I, 2 (extrait) 87 Les Liaisons dangereuses 92 Bel-Ami (incipit) 94 Le Rouge

groupement sur « le voyage et l’ailleurs » : – Saint-Amant : « La solitude », p. 192 ; – Rimbaud : « Les Poètes de sept ans », p. 212 ; – Mallarmé : « Brise marine », p. 217 ; – Michaux : « La Cordillera de los Andes », p. 230. • Un groupement sur « l’inspiration poétique » : – Boileau : « Art poétique », p. 195 ; – Fourcade : « Cache-toi objet », p. 237. • Un groupement sur « la femme dans le poème » : – Malherbe : « Sonnet à Caliste », p. 194 ; – Baudelaire : « L’Invitation au voyage », p. 208 ; – Apollinaire

adoptée Verlaine. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- VIII Commentaire La composition du poème est rattachée traditionnellement au voyage de Verlaine en décembre 1871. Même en admettant, ce qui n'est pas certain, que le paysage qu'elle évoque soit bien celui qu’il contempla alors dans les Ardennes, rien n'empêche que le poème soit né d'un souvenir, cinq ou six mois plus tard. ---