Les Délocalisations Sont Elles Responsables De La Désindustrialisation

La création de monnaie était donc limitée par le stock d’or : M1 ($ mis en circulation grâce au crédit des banques)= k x H (monnaie créer par la FED) Lorsqu’on abandonne ce système la monnaie crée par les banques commerciales n’est plus limitée, elles peuvent crée autant d’argent qu’elles veulent au travers de leur crédit. ⇒ Excès de $ ⇒ favorise la spéculation (achat de maison, de mat 1ère,…) qui n’a rien à voir avec les besoin de la Δ éco 2. Les deux chocs pétroliers (1973 1979) a. Le premier

l’énorme production nationale réclame de vastes marchés extérieurs aussi ouverts que possible pour s’écouler sans heurts.  Le système monétaire international (SMI) de Bretton Woods préconisant la libre convertibilité de toutes les monnaies entre elles et avec le Dollar, ainsi que le GATT qui recommande la suppression douanière tolérant néanmoins certaines dérogations, et enfin l’ONU et ses institutions financières, notamment le FMI et la Banque mondiale, constituent les piliers de la reconstruction

Kellog’s a fêter son centenaire en 2006 : c’est une entreprise qui a démarré en lançant 2000 paquets par jour en 1906. C’est en 1938 que la marque démarre en Europe. En 1968 est lancé le produit Special K. Pourquoi et comment les entreprises arrivent-elles à durer et à résister à la concurrence d’autres entreprises ? Toute la question de l’historien et des entrepreneurs permet de réfléchir aux constituants de la réussite, ce que l’on appelle la stratégie d’entreprise, aux business models, c’est-à-dire

commercial pour l'économie hexagonale. Ces chiffres, et cette situation somme toute assez complexe relance en cette période électorale le débat du protectionnisme qui pourrait limiter la concurrence étrangère montrée comme principale responsable de la désindustrialisation, et du manque de dynamisme de l'industrie française. Face à ce constat il pourrait sembler utile de mettre les pensées libre-échangistes face à celles protectionnistes et d'en tirer une synthèse. Les théories du libre échange et

dans la production mondiale de 1913 ne sera dépassée qu'en 1970 et stagne depuis lors », et d'autre part « les mouvements nets de capitaux sont actuellement plus modestes qu'au début du XXe siècle »7. Ainsi, pour l'éditorialiste Martin Wolf, responsable des rubriques économies au Financial Times, « la mondialisation relève sinon d'un mythe, du moins d'un abus de langage »8. Mondialisme Si la mondialisation est un processus qui se traduit dans les faits, le mondialisme est une idéologie. Celle-ci

même manière à des coûts relativement bas6. La firme multinationale doit s'adapter aux différences nationales, mais seulement à regret, dans la mesure où elle n'est pas parvenue à circonvenir ou à recomposer les demandes spécifiques qui s'adressent à elles. La globalisation des marchés tend en ce sens à évacuer la vision antérieure d'un cycle de vie du produit qui consiste à vendre aux pays les moins avancés les produits devenus obsolètes dans les pays les plus riches. Globalisation selon Kenichi

du crédit et des grandes surfaces. (Supermarchés). La période de croissance économique facilité sur les achats. 1970-80’s : 3ème révolution industrielle : Automatisation, fin des 30 glorieuses, on sort l’ouvrier remplacé par des machines. Délocalisation, vers de la main d’œuvre moins couteuse (ex : machines) et vers différents pays. Mondialisation, mise en réseau du monde. * Progrès dans les transports (+vite, + de transport,- cher) * Ouverture des marchés : on peut vendre partout dans

chinoises1 à la « thérapie de choc » utilisée en URSS. Ces perspectives, toutes intéressantes qu’elles soient, en restent à un niveau macro-économique. Or, il faut aller plus loin et regarder le fonctionnement des institutions et des acteurs économiques responsables de la génération de la richesse : entreprises chinoises, institutions publiques, investisseurs étrangers ou organismes de développement technologique2. Nous proposons de réinterpréter la croissance de la Chine en regardant de plus près le fonctionnement

des quotas et des prix minima, mais aussi des salaires minima, une réduction du temps de travail et l’interdiction du travail des enfants. Mais ces lois échouent politiquement (non-adhésion des chefs d’entreprise et des agriculteurs) et légalement (elles sont invalidées en 34 par la Cour Suprême). Il y a pourtant des succès : la renaissance de la négociation collective, l’établissement du Civil Work Administration (emploie 4 millions de personnes en 34), la politique des grands travaux avec notamment

l'explosion du chomage ,en 1973 France = 500.000 chomeurs 2 millions 500.000 en 1981 Cette explosion s'explique a la fois par le ralentissement de la croissance éco par l'afflux de jeunnes et femmes sur le marchés du travail mais aussi par la désindustrialisation A partire des annés 1980 , la part des + de 60 ans ne cessent d'augmenter C'est le debut de l'augmentation de la dette pblc en 1973 elle ne représente que 10% du PIB contre 100 % aujourd'hui en définitive le triangle Ford Berveridge Keynes