Les Déterminations Religieuses Du Vote

nombreuses que les hommes, les femmes y étaient souvent cantonnées dans des rôles subalternes. Ils étaient issus de toutes les couches sociales. Toutes les sensibilités politiques de gauche comme de droite, toutes les sensibilités philosophiques et religieuses étaient représentées au sein de la résistance. Des étrangers ont combattu aux côtés des résistants français: antifascistes italiens, antinazis allemands et républicains espagnols réfugiés en France; immigrés polonais et arméniens; juifs apatrides

recettes de l'État inscrites dans le projet de budget soumis au vote du Parlement. En pratique, le Gouvernement prépare une part importante des projet de loi soumis à la discussion et au vote du Parlement. Ces projets de loi sont modifiés par les députés et les sénateurs, par le biais d'amendements.  Le Gouvernement est responsable devant l'Assemblée nationale (et non devant le Sénat) qui peut le contraindre à démissionner par un vote de plus de la moitié des députés. Les députés ou les sénateurs

qui en avaient naturellement. Cela dit, j’ai écouté, bien entendu avec la plus grande attention, les paroles qui ont été prononcées ici […]. Nous croyions, je l’ai prouvé quand il le fallait, que les peuples africains sont appelés à leur libre détermination. Je crois aujourd’hui que ce n’était qu’une étape, qu’ils continueront leur évolution et ce n’est pas moi, ce n’est pas la France qui le contestera jamais. […] ©HATIER On a parlé d’indépendance. Je dis ici plus haut encore qu’ailleurs que

centre-droit. - Républicains modérés (110) : la représentation politique de la bourgeoisie des professions libérales. On y trouve les « Jules » (Ferry, Fabre, Grévy…). Partisans de la république et persuadés que, d’une part l’instruction et d’autre part le vote, permettent d’assurer les libertés et l’émancipation des citoyens. - Les plus à gauche de « l’Union Républicaine », radicaux et socialistes. Derrière Gambetta, Clemenceau ou Louis Blanc. Elus des villes ayant reçu les suffrages des ouvriers, petit-bourgeois

Chapitre 1 – Le droit Le droit se compose de règles de droit, concerne des situations diverses. Section I – la règle de droit 1) Les finalités du droit a) Considérations générales Les manifestations du droit sont très nombreuses (mariage, vote). Il faut donc mettre en place des règles juridiques. Ces règles ont pour objectif de faciliter la vie en société, et plus fondamentalement d’organiser cette vie en société, de la réguler. Car il va de soit qu’aucun corps social ne peut subsister sans

peut décider d'accorder des délais de paiement aux débiteurs défaillant au nom de l'équité. Par exemple, a l'issu d'un procès le juge peut décider ou non de mettre à la charge du perdant les frais du procès. B) Le droit et les valeurs morales et religieuses 1) Droit et morale Le droit est homogène, alors que la morale est hétérogène. Il est homogène car la règle de droit a pour but de s'appliquer a tous de manière uniforme, elle est claire et précise. La morale est hétérogène car elle varie en fonction

exécutions. Cette résolution (comme les autres résolutions de l'ONU) n'a pas de valeur contraignante mais peut être vue comme le signe que la majorité des États souhaitent remettre en cause la peine de mort. Cependant 8 des 10 pays les plus peuplés ont voté contre. I. Peine de mort : historique Les historiens s'accordent sur l'origine de la peine de mort. Celle-ci représente la punition du groupe envers un individu qui ne respecte pas les règles de vie de sa communauté. Son rôle originel est essentiellement

magistratures. 17 § 1 : Les pouvoirs des magistrats romains. 17 § 2 : La nomination des magistrats romains. 17 SECTION 3 : Les assemblées du peuple ou « comices ». 19 § 1 : L’origine des « comices ». 19 § 2 : Le vote. 19 § 3 : Quels sont les pouvoirs des « comices » ? 19 SECTION 4 : Le sénat de Rome. 20 § 1 : Sous la république romaine. 20 § 2 : Le sénat sous l’empire romain. 22 CHAPITRE 3 : LE REGIME REPRESENTATIF

mal). Le désenchantement du monde (WEBER) : Nous sommes rentreé s dans une peé riode d'un salut provenant de l’EÉ glise. L'expression deé senchantement du monde renvoie, dans son sens strict, aè un pheé nomeè ne social : le recul des croyances religieuses ou magiques comme mode d’explication des pheé nomeè nes. Dans une acception plus large, l'expression recouvre le sentiment diffus d'une perte de sens, voire d'un deé clin des valeurs censeé es participer aè l'uniteé harmonique des socieé teé s humaines

la nature du régime (monarchie ou république) ce qui pose la question du rôle du peuple (1848 : suffrage universel masculin et émergence de la question sociale) □ et la place de l’église dans la société (soumission aux autorités notamment religieuses et à la tradition ou émancipation et acceptation du monde moderne et des principes individualistes de 1789 : voir par exemple en 1864 l’encyclique de Pie IX Quanta Cura et le Syllabus qui condamnent le monde moderne). Les clivages qu’ils entraînent