Les Enfers Latin

sur le chemin de l’Initiation. Le symbolisme du cabinet de réflexion cherche, en effet, ses sources dans les enseignements impérissables des temps les plus reculés. (Platon et le mythe de la caverne) Il figure dans son ensemble la « descente aux enfers », la mort apparente qui toujours précède la résurrection, la renaissance à une vie « nouvelle ». Il est donc une antichambre du voyage comme on en trouvait dans des temps anciens. Les Égyptiens puis les Grecs devaient passer la nuit soit dans

sa lyre, instrument de musique semblable à la harpe et très populaire dans les civilisations antiques, donnant naissance à la notion de lyrisme. Ses pouvoirs surnaturels lui viennent de son chant, qui charme la nature entière, endort le chien des Enfers Cerbère afin d’aller retrouver sa bien-aimée. En outre, les grandes œuvres poétiques sont chantées : L’Enéide de Virgile, suscitant l’admiration de générations de lettrés de l’Antiquité jusqu’à nos jours, et source d’inspiration récurrente pour les

Exposé sur l’Enéide de Virgile L’Enéide est une épopée de Virgile, est surement le plus prestigieux exemple de ce genre littéraire en langue latine. Au même titre que l’Iliade et l’Odyssée l’ouvrage a suscité l’admiration de générations de lettrés de l’Antiquité jusqu’à nos jours et fut une source d’inspiration pour les artistes et les poètes. L’Enéide écrit entre le 29ème et le 19èmeav. J.C., est le récit des épreuves du Troyen Enée, fils d’Anchise et de la déesse Aphrodite, depuis la prise

MERIMEE. Cette Nouvelle est une version rare du mythe de Don Juan. MERIMEE se réfère au personnage de Don Juan de Marana • Don Juan de Marana ou la chute d’un ange : pièce de théâtre en cinq actes écrit par Alexandre DUMAS en 1836. • Don Juan aux enfers : poème XV extrait du recueil de poèmes « Les Fleurs du Mal » de Charles BEAUDELAIRE (1857) • Don Juan : (1884) Poème dramatique de l’écrivain romantique allemand Nikolaus LENAU • Don Juan : (1889) Poème symphonique de Richard STRAUSS, inspiré

le dieu de la mer, de la navigation, des tempêtes, et des tremblements de terre dans la mythologie hellénique. Il était le fils de Cronos et de Rhéa. Le nom de Poséidon semble dériver de la racine Ποτ, "être le maître", que l'on retrouve dans le latin potens "pouvoir". Les anciens le rattachaient mot boisson ou fleuve mais cela semble plus douteux. Cette divinité essentiellement marine fait partie des douze Olympiens. il fut assimilé à Neptune chez les Romains. Quand les trois frères se partagèrent

diverses ruses. Autrement dit, leur avidité mise à part, l'expression fait allusion à l'apparence trompeuse de leurs arguments sophistiques. En outre, Marot a employé l'adjectif « ravissants ». Etant donné que la verbe ravir tire son origine du mot latin rapio, l'adjectif en question signifie rapace et se dit souvent d'une bête féroce qui emporte sa proie. Mais, en même temps, le mot ravir signifie ravir l'esprit ou exalter. Le double aspect de l'adjectif reflète donc le caractère des « Loups » qui

à la fin du Xxeme sicèle (1485). L'aristocratie découvre les mythes gréco-latins dans tous les hauts lieux qu'elle fréquente car tous les artistes français, à leur exemple, ont peuplé leurs oeuvres de dieux, de héros, de faunes ou encore de nymphes. Etres surnaturels qui peuplent le recueil de Ronsard. C'est son précepteur Dorat (on a déjà parlé auparavant), qui traduisant à ses élèves des poètes grecs et des poètes latins a appris la mythologie au futur « Prince des poètes ». Un mythe, une légende

évoque les souvenirs de son cher Valois, paru dans la revue des 2 mondes, ce récit sera inséré dans « les filles de feu » recueil de nouvelles accompagné des sonnets des « chimères » * Il rédige Aurélia= l’histoire de son amour, des descente aux enfers, des obsessions qu’il a eu….il croit au rachat des péchés ( à la Rédemption) façon de purifier l’âme ! * On le trouve pendu en 1855 * L’ART DE NERVAL * Son langage poétique nous fait nous transporter dans un autre univers, celui du rêve…

introspectif, pour un tête à tête avec moi-même. Premier pas intérieur, en solitaire, pour un long séjour dans un endroit funèbre et obscur, à la lueur d‘une simple bougie. Lieu propice à la méditation, pour - d’après les anciens - une descente aux enfers et ce, afin de pénétrer jusqu’au centre des choses, pour en connaître l’essence intime. Dans la pièce, objets et messages symboliques interrogent et intriguent, ils sont et vont êtres nos guides tout au long du chemin ; on y retrouve entres

l’île de Naxos :"Ariane ma soeur, par quel amour blessé * Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée." *   * Comble d'infortune, Phèdre est la fille de Minos, qui a été désigné par les dieux, après sa mort,  pour juger les âmes aux Enfers et Phèdre se voit donc condamné d'avance par son propre père à une peine éternelle. *   * Le destin et la fatalité se définissent dans Phèdre comme hérédité : le mot "sang", employé une quarantaine de fois dans la pièce et presque toujours