Les Etats Degrades Du Systeme

de l’observation suivante : Les États-Unis exportent beaucoup de produits fortement intensif en facteur travail alors qu’on devrait s’attendre au contraire à savoir l’exportation de produits fortement intensif en capital plutôt qu’en travail. 1966 : Keesling explique que des pays qui ont une intensité capitalistique forte exportent aussi des produits relativement intensifs en travail ( parce que ce travail est plus qualifié et plus productif ; cas des États-Unis), ce qui est conforme aux prédictions

d’un monde bipolaire, des années 1970 au début des années 1990 Sujet tombé en septembre 1997 (Antilles-Guyane) - Correction © Annales Vuibert Bac 2005 Introduction La bipolarisation du monde autour de chacune des deux superpuissances que sont les États-Unis d'une part, et l'Union soviétique d'autre part, est née au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Au début des années 1970, le monde est toujours divisé en deux blocs antagonistes. Ces deux blocs vivent en état de paix armée. C'est la détente

ses anciens alliés : Boukharine, Rykov et Tomski sont accusés d’« opportunisme de droite » à cause de leur critique du système économique soviétique et jugés trop dangereux aux postes qu’ils occupent (Boukharine, qui lui aussi fera son autocritique, dirige la Pravda [« la Vérité »], organe aux ordres du parti). Grâce à cette politique du vide et par la mise en place du système de la nomenklatura, grâce aux purges, au Goulag et à l’hyperbureaucratisation délatrice du PCUS qui domine l’État, Staline

climat = prod agricole risque de baisser de 15 à 50% d'ici 2080, Pendjab souffre remontées de sel A-S : chgt climatique = risque de forte perte de prod, conflits et guerres : destru des récoltes, désorganisation de vente, mvt de pop E-U : sols dégradés, aridité et froid sur une partie du territoire Monde : étalement urbain (immeuble, parking, bitume) dc terres arables en baisse, pop urbaine = 50% monde, 65% en 2050, manque croissant en eau (lié à l'urb), dépendance au climat aléatoire, épuisement

courage de dire non au pouvoir il doit être détaché du giron maternel, de l’autorité paternelle et être pleinement développé. De plus, un individu peut se rendre libre en désobéissant, mais cette condition n’est pas la seule à la liberté. Donc, tout système qui proclame la liberté et condamne la désobéissance est dans le tort. Il n’est pas question ici de la désobéissance sans cause, mais celle dans laquelle l’homme désobéi pour respecter ses principes et sa conscience. Page 5 : Tout les gens d’une

une récession touchant l'ensemble de la planète. Les finances publiques ont été lourdement sollicitées pour résoudre cette crise. Le déficit public s'est creusé dans de nombreux pays, après un recul du produit intérieur brut mondial de 2,2% en 2009. Les États-Unis, sous la pression de l'opinion publique et d'experts tels Paul Volcker, envisagent une réforme structurelle du secteur financier destinée à éviter qu'une crise du même type ne se reproduise. Parallèlement, dans certains pays comme la Chine, les

productions non destinées à l’alimentation humaine (café, sucre, soja, tabac, coton…). De plus, une grande partie de celles-ci (donc elle ne sert pas à nourrir les Brésiliens). Enfin, la population brésilienne a fortement augmenté (×5 depuis 1940). B. Deux systèmes agricoles opposés qui cherchent à produire plus Etude de cas : « Les paradoxes de l’agriculture brésilienne » (questions 4, 5 et 6) • Petites exploitations Localisation au Brésil Sudeste, Centre-Ouest, Nord Nordeste et Sud Minoritaires ou majoritaires

1997                                                1 Introduction       Durant la première moitié de la décennie 1990, et notamment sur la période 1993-1997, les marchés de capitaux d'Asie du Sud-Est ont occupé une place prépondérante dans le système financier international. En dégageant des performances élevées, basées notamment sur des perspectives de croissance économique considérables, ils ont contribué à faire de la zone une référence boursière incontournable, tout en occultant momentanément la

France n’est pas à l’écart de la crise mondiale, et ça des contre-pousses de l’industrie = cas industriel qui s’effondre : textile, sidérurgie automobile, industries mécaniques = une véritable crise industrielle, c’est moins brutale par rapport aux états Unis. b- des signes trompeurs : Ces signes qui viennent relativiser la crise en France sont les conséquences de la politique éco de POINT CARRE, qui ont masqué le retournement conjoncturel. Cette politique a permis de gonfler le stock d’or

posent à eux, en même temps qu’aux économies dans lesquelles l’automobile a à s’intégrer. La première de ces questions est celle du mode de croissance passé, de son entrée en crise et des capacités conjointes des politiques macroéconomiques et des systèmes automobiles à y faire face. Elle peut elle-même donner lieu à des interprétations différentes selon que l’on considère que l’automobile était fortement solidaire du régime de croissance passé aujourd’hui en crise ou relativement autonome par rapport