Les Évadés

le cliché d’un superbe paysage, calme et reposant, en s’imaginant à cet endroit, et ainsi fuir un quotidien souvent pas facile. Cette photographie, qui est une forme d’art, va donc nous transporter dans un autre monde, nous permettant ainsi de nous évader, de rêver, et qui va donc constituer un refuge pour l’homme. Mais la photographie peut aussi nous replonger dans la réalité, encore moins agréable que celle que nous vivons. En regardant la photographie d’un enfant frappé par la famine en Afrique

vous voir, parce qu’enfaite comme vous savez que je suis innocent et que bah là ils vont me mettre en prison j’ai un plan à vous proposer. M : Je vous écoute M. Guy.G : Je veux m’évader et j’ai besoin de votre aide pour ça. M : Vous n’allez pas vous évader, c’est inconcevable. Faite confiance en la justice je suis persuadé qu’elle vous innocentera.G : impossible, y’a trop de famille et de témoins en plus je comprends pas pourquoi on m’a mis ici, moi j’ai rien fait wsh. On est là on me met dans la sauce

permet de nous remettre en question et de rééquilibrer nos propos et nos pensées les plus fondamentales. Comme l’observe Julien Green dans son journal « Un livre est une fenêtre par laquelle on s’évade » . Mais, sommes nous réellement entrain de nous évader ou alors de nous renfermer dans les convictions personnelles de l’auteur ? De même à qui profite cette évasion ? À nous lecteur ? À l’auteur ? Ou partageons-nous les merveilleux fruits de cette évasion culturelle, spirituelle, finalement intellectuelle

(1900-1977) dans la calme Belle-Ile-en-Mer, entend parler d'un fait divers révoltant. Une trentaine d'enfants se sont évadés d'une maison de redressement afin d'échapper aux mauvais traitements et à une nourriture infecte. Ne pouvant quitter l'île, ils sont repris par les gendarmes aidés par des estivants désoeuvrés auxquels a été offerte une prime de vingt francs par fugitif. Les évadés, tous repris, sont tabassés et mis au pain sec et à l'eau pendant plusieurs semaines. Ulcéré, Jacques Prévert écrit

nous avons comme objectif de nous changer les idées, nous évader de notre monde, pour cela nous choisissons des romans accessibles au grand public, c’est à dire qui ont une certes simplicité dans le vocabulaire. Ces romans peuvent être sentimentaux, policier, de science fiction, d’espionnage ou encore d’horreur, tout dépend du goût du lecteur, mais ils ont tous le même but, nous transporter dans un nouveau monde, permettre de nous évader, et pour l’espace de quelques heures nous faire oublier la

Dissertation Le rôle de la littérature est-il de nous permettre de nous évader ou au contraire de mieux comprendre le monde ? Dans les bibliothèques, les librairies, les écoles, les livres sont partout. Romans, essais, nouvelles, contes, ils se déclinent en tous genres. L’écrivain français Charles Du Bos a écrit « la littérature c’est la pensée accédant à la beauté dans la lumière ». Mais à quoi sert finalement la littérature ? Existe-t-elle pour nous distraire ? Ou au contraire pour transposer

nous avons comme objectif de nous changer les idées, nous évader de notre monde, pour cela nous choisissons des romans accessibles au grand public, c’est à dire qui ont une certes simplicité dans le vocabulaire. Ces romans peuvent être sentimentaux, policier, de science fiction, d’espionnage ou encore d’horreur, tout dépend du goût du lecteur, mais ils ont tous le même but, nous transporter dans un nouveau monde, permettre de nous évader, et pour l’espace de quelques heures nous faire oublier la

labyrinthe. La couverture nous laisse aussi croire que ce livre donne froid aux yeux, qu’il est rempli d’évènements inattendus et inimaginables. Le titre peu révélateur, concorde très bien avec toute l’histoire. Oniria est la villa où les quatre évadés de prisons passeront une nuit mouvementée. De plus, cet endroit cache des personnages oniriques que l’on s’amuse à découvrir lorsqu’on lit ce livre. Le titre en dit donc peu, mais beaucoup à la fois, ce qui, selon moi, nous pousse à s’aventurer dans

roman, c’est un miroir qu’on promène le long d’un chemin ». Le roman prend ses racines dans le réel, il est l’imitation du réel. Le roman en outre, nous apporte une vision de la réalité, il a aussi pour fonction de nous en évader. Certains romans ont aussi pour but de nous évader divertir et assument cette fonction d’illusion et de rêve et nous offrent ainsi une manière de s’évader de la réalité pendant l’espace d’un temps, d’une lecture. C’est le cas des romans de fictions comme Le Seigneur des

célèbre romans  « Harry Potter » de J-K Rowling qui emporte le lecteur dans un autre monde dont la magie et l’extraordinaire en occupent une grande partie. Où les lieux, les personnages, les aventures transportent le lecteur dans un monde où il peut évader. Et qui ne révérai pas d’avoir à l’âge de onze ans un destin « magique ». Mais aussi les romans peuvent intriguer, captiver le lecteur et également lui donner le choix entre le bien et le mal , dans la vrai vie une personne n’a pas toujours le choix