Les Fausses Confidences Commentaire Composé

Beckett, En attendant Godot, 1948 (ou) Ionesco, Le Roi se meurt, 1962 Représentations : (facultatif) Heiner Müller Macbeth, mise en scène d’ Angela Konrad Racine, Phèdre, mise en scène de Renaud Marie Leblanc Marivaux, Les Fausses Confidences, mise en scène de D. Bezace Lectures personnelles (à compléter éventuellement) 3ème Séquence : Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie, 1788 Lectures analytiques : Œuvre intégrale, édition au choix Lectures cursives

Phèdre, mise en scène de Renaud Marie Leblanc | | | |Marivaux, Les Fausses Confidences, mise en scène de D. Bezace | | | |

n’a plus d’existence (la vie est sur scène). Mais il arrive qu’il « participe » un peu à l’action, ou que, au moins, il soit lié à un des personnages, c’est-àdire qu’il ait des informations que certains personnages n’ont pas, qu’il soit dans la confidence et voit ce que certains personnages ignorent. Il occupe alors une position privilégiée. • Dans ce domaine, la double énonciation au théâtre est importante. La double énonciation au théâtre Au théâtre, le discours est marqué par une double énonciation

que Sganarelle n’est pas médecin, mais ne savent pas que Lucinde n’est pas muette. - Du côté des personnages, Géronte ne sait pas que Sganarelle est un faux médecin ni que Lucinde est une fausse malade. Lucinde ne sait pas que Sganarelle est un faux médecin, et Sganarelle ne sait pas que Lucinde est une fausse malade. Il se joue donc un jeu complexe de relation à l’information à la fois entre personnages et entre personnages et spectateurs. Une des spécificités du théâtre est de jouer de cet accès

qui promettait l'immortalité, conféraient ainsi au groupe ses lettres de noblesse. Si Ronsard s'imposa aussitôt comme un chef incontesté, si c'est lui qui apporta des modifications à la liste des « étoiles », il faut rejeter comme tout à fait fausses l'idée d'une école organisée autour de lui et celle d'une réunion de poètes collaborant à l'exécution d'un programme commun au nom d'un même idéal littéraire. Les meilleurs spécialistes, Henri Chamard, Raymond Lebègue et l'Italien Enea Balmas l'ont

et sa foisonnante descendance. Quand - enfin - le règlement des examens de la Faculté de droit de Paris permit aux candidats d'utiliser les codes de droit privé, on s'aperçut que les étudiants qui devaient composer en droit administratif subiraient une discrimination injustifiée si, par une fausse analogie, on ne leur ouvrait que le seul « code administratif ». Il fallait leur donner aussi, sinon le Lebon, du moins un recueil des grands arrêts. Entre un droit législatif et un droit jurisprudentiel

fond très peu comique, mais le traitement théâtrale la rend comique (caricatures des personnages). L’enjeu réel reste la séduction de Charlotte par de fausses promesses. Certains aspects de la scène (vie en société, opposition des sexes, des classes et des langages sous des dehors comiques) dépendent de la mise en scène. Plan pour un commentaire composé. - 1 • Un paysan en colère (graduée, généralisée et réfutation du droit du seigneur). • Le mépris du seigneur (physique puis il se tait). • La

l’intérêt littéraire (page 12) l’intérêt psychologique (page 13) l’intérêt philosophique (page 17) la destinée de l’œuvre (page 18) des commentaires de passages (pages 19, 20, 22) Bonne lecture ! Résumé Première partie “Livre premier” (1712-1728) Un “Avertissement” précise les intentions de Rousseau : «Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple, et dont l'exécution n'aura

19) - l’intérêt psychologique (page 21) - l’intérêt philosophique (page 27) - la destinée de l’œuvre (page 30), enfin des notes et des commentaires de toutes les scènes (page 33 et suivantes). Bonne lecture ! Résumé Acte I Scène 1 : Lisette, femme de chambre de Silvia, encourage sa maîtresse au mariage avec le jeune homme, Dorante, que son père, M

poètes dont il avait retenu la candidature. D'abord entraînés et dirigés par les auteurs eux-mêmes, ils ont été confiés vers la fin du Vè siècle à des chefs de choeur professionnels (8). Les prix, qui étaient décernés à bulletin secret par un jury composé de dix membres tirés au sort parmi des citoyens représentant toutes les tribus athéniennes (9), étaient primitivement attribués aux chorèges et aux poètes. Les pièces n'étant pas publiées, c'était pour les auteurs tragiques la seule façon de faire