Les Fausses Confidences

au procès, propose un autre intendant. Scène 12 : Araminte reproche à Dubois son zèle : il lui faut ménager Dorante puisqu’elle sait qu’il l’aime. À moins qu’il n’aime Marton. Mais Dubois l’assure du contraire, car, dit-il, Dorante lui fait des confidences. Elle cherche le motif d’un renvoi, et veut lui tendre un piège. Scène 13 : À Dorante, qui se sent mal à l’aise dans la maison, Araminte réaffirme son appui, mais lui annonce aussi son mariage avec le comte. Elle lui fait même écrire le billet

Nous sommes en présence de trois textes théâtrale. Deux des textes relèvent du 18e siècle celui de Marivaux, les fausses confidences de 1737 et celui de Beaumarchais, le Barbier de Séville de 1775. Le dernier texte Ruy Blas de Victor Hugo, a était écrit au 19 e siècle. D’abord nous allons voir quel est le rôle de la lettre dans l’histoire dans les textes de Marivaux, Beaumarchais et de Victor Hugo. Dans la pièce de Marivaux la lettre est utilisée comme outil par Araminte pour

du langage, l’opposition de l’être et du paraitre et les inégalités sociales, tout en amusant un public bourgeois. Les fausses conf est une comédie en prose et en trois actes.Dorante est un jeune bourgeois honnête mais ruiné. Il est engagé comme intendant par la riche Araminte, qu’il aime en secret. Le valais Dubois orchestre leur union amoureuse par une série de fausses confidences. Cette scène 2 de l’ acte 1 expose l’ intrigue de la pièce : Dorante aime Araminte et l’ ingénieux Dubois met en place

Séquence II, LA n° 4 Marivaux, Les Fausses Confidences, II, 12, « il n’y a pas moyen »…fin de la scène ARAMINTE Il n'y a pas moyen, Dorante ; il faut se quitter. On sait que vous m'aimez, et on croirait que je n'en suis pas fâchée. DORANTE Hélas Madame ! Que je vais être à plaindre ! ARAMINTE Ah ! Allez, Dorante, chacun a ses chagrins. DORANTE J'ai tout perdu ! J'avais un portrait, et je ne l'ai plus. ARAMINTE À quoi vous sert de l'avoir ? Vous savez peindre. DORANTE Je ne pourrai

Corpus : « La lettre, accessoire de jeu » | MARIVAUX, Les fausses confidences, 1737 BEAUMARCHAIS, Le barbier de Séville, 1775 VICTOR HUGO, Ruy Blas, 1838 Mise en scène des Fausses Confidences par Didier BEZACE,2010 Identifiez les registres de ces scènes. Appuyez vous sur les textes et l’image. Marivaux , Beaumarchais et Hugo ont choisi des registres variés pour des situations qui diffèrent . En effet , dans les trois extraits, ils utilisent la lettre comme accessoire de jeu mais cet accessoire

Saison 2009/2010 Compagnons Création Les Fausses Confidences de Marivaux mise en scène Didier Bezace avec Pierre Arditi, Alexandre Aubry, Christian Bouillette, Jean-Yves Chatelais, Anouk Grinberg, Robert Plagnol, Isabelle Sadoyan et Marie Vialle collaboration artistique Laurent Caillon assistante à la mise en scène Dyssia Loubatière scénographie Jean Haas costumes Cidalia Da Costa lumières Dominique Fortin perruques et maquillages Cécile Kretschmar construction décor Atelier François Devineau

Les fausses confidences à l’Odéon Cela commence par une leçon de tai-chi. Au fond du plateau jonché d'escarpins, tandis que s'installe le public, on reconnaît la silhouette gracile d'Isabelle Huppert. Araminte, dans la version de Luc Bondy, est une veuve sans abandon à la mélancolie, une veuve toujours de blanc vêtue, et même une veuve assez joyeuse. C'est la couleur dominante de ce spectacle heureux qui met en valeur, dans les -lumières subtiles de Dominique Bruguière, la ¬langue étincelante de

nobles déguisés: Le Télémaque travesti (1724), le Triomphe de l'amour (1732). Marivaux est surtout connu ce qu'on a appelé le marivaudage: La Surprise de l'amour (1722), la Double Inconstance (1723), le Jeu de l'amour et du hasard (1730), les Fausses confidences (1737). Marivaux a été l'auteur le plus joué de la première moitié du XVIIIème siècle, avec voltaire. Personnages : * Iphicrate, général athénien. * Arlequin, son esclave. * Euphrosine, dame athénienne. * Cléantis, son esclave

Caroline Caffier Programme CPGE 2012-2013 : La Parole LES FAUSSES CONFIDENCES, MARIVAUX (1737) MARIVAUX (1688-1763) « J’ai toujours regardé M. De Marivaux comme le Racine du théâtre comique ; habile à saisir les sensations imperceptibles de l’âme, heureux à les développer. Personne n’a mieux connu la métaphysique du cœur ni mieux peint l’humanité » auteur anonyme, le Mercure, juin 1735 « L’écrivain qui résume le mieux la grâce et l’esprit du XVIIIème siècle français…Certain

HYPERLINK http//www.comptoirlitteraire.com www.comptoirlitteraire.com Andr Durand prsente Les fausses confidences (1737) comdie en trois actes de MARIVAUX pour laquelle on trouveun rsum des notes puis successivement lexamen de les sources (page 11) lintrt de laction (page 12) lintrt littraire (page 16) lintrt documentaire (page 17) lintrt psychologique (page 18) lintrt philosophique (page 24) la destine de luvre (page 25) la scne I, 14 (page 27) la scne II, 15 (page 29). Bonne lecture Rsum