Les Fausses Confidences

cousin ». Bartholo, prend le change et  passe ainsi de la colère à la sollicitude. Tout comme Rosine, Araminte organise ici une scène de théâtre à laquelle elle assiste en spectatrice ainsi que le souligne la mise en scène de Didier Bezace des Fausses confidences : Anouk Grinberg y observe Robert Plagnol, troublé, et absorbé dans l’écriture du billet. Il s’agit pour elle de mettre l’amoureux à l’épreuve en le forçant à avouer ses sentiments. Elle joue ainsi sur un phénomène de triple énonciation : le

inspiré par la commedia dell ‘arte, écrit surtout pour la Comédie-Française et la Comédie-Italienne. Ses pièces de théâtres remportent pour certaines un grand succès populaire : La Surprise de l'amour en 1722, La Double inconstance en 1723 et Les Fausses confidences en sont quelques exemples. Il y est le plus souvent question d'amours légères, ce que l'on appellera plus tard le "marivaudage". Cependant, à cette apparente légèreté s'ajoute dans ses pièces une subtile critique des inégalités sociales.

chaînes de télévision matérialisent un « nous » que le plateau afin que nous nous sentions impliqués dans les présentateur. Le voyeurisme est l’accroche beaucoup d’émissions, le public aime briser les règles de la confidence pseudo privée : on retrouve cet étalement de fausse confidence privée dans les télés-réalités par exemple . Une attente est créée avant chaque publicité afin de faire attendre le spectateur et de l’inciter à regarder des marques et produits promu, le but final étant de rapporter

qui en est l’inventeur, Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux (1688-1763). Il est l’auteur de comédies dans lesquelles le discours amoureux occupe une grande place (La double inconstance -1723-, Le jeu de l’amour et du hasard -1730-, Les fausses confidences -1737). Cependant, ce contemporain de Voltaire et des philosophes des lumières expose également des idées révolutionnaires dans des comédies plus sociales comme « L’île des esclaves -1725- et La colonie -1750- ». Il est élu à l’Académie française

On peut donc se demander si il est bien rationnel de faire confiance à la parole. Faut-il croire à la parole ? Nous répondrons à cette question grâce au dialogue philosophique de Platon intitulé Phèdre, la pièce de théâtre de Marivaux Les Fausses Confidences et le recueil de poème de Paul Verlaine Romances Sans Paroles. La parole faisant partie de notre identité, nous sommes, en apparence, obligés de croire en la parole ; ce qui nous pousse à y attacher une valeur de vérité de tel sorte que nous

BROUILLONQUESTIONS POUR CONDUIRE L’ENTRETIEN- Pourquoi est-ce de cette œuvre que vous avez souhaité parler lors de votre oral ?choix roméo et j car fausses confidences plus paroles pr exprimer amour roméo et juliette plus actions pr prouver sentiments - Qu’a provoqué chez vous la lecture de cette œuvre ? (Vous a-t-elle fait changer ? En quoi ? Vous a-telle fait réfléchir ? À quoi ? Vous a-t-elle ému(e) ? Pourquoi ?)lecture remise en cause de façon exprimer amour malgré dif ds cpl comme fam ds r

travers une citation de son ouvrage Les Yeux ouverts cherche à faire entendre ce rôle du lecteur et la manière dont il doit appréhender un texte. « Le public qui cherche des confidences personnelles dans le livre d'un écrivain est un public qui ne sait pas lire. » Le lecteur ne doit pas ouvrir un livre pour y chercher les confidences personnelles de l'auteur : des éléments sur son vécu, ses sentiments. Il n'y a pas derrière chaque texte des éléments, des messages cachés de la vie de son créateur qu'il

trouve place Marivaux (1688 -1763) avec ses comédies qui associent la finesse de l’analyse du sentiment amoureux et la subtilité verbale du marivaudage aux problèmes de société en exploitant le thème emblématique du couple maître-valet. Les Fausses Confidences (1737), le Jeu de l'amour et du hasard (1730), ou l'Île des esclaves (1725) constituent quelques-unes de ses œuvres majeures. Regnard et Lesage (1668-1747) ont eux aussi marqué la comédie de mœurs avec le Légataire universel (Regnard, 1708)

extraits, classés par ordre chronologique : le XVIIIème et le XIXème. Nous observons deux extraits de comédie du XVIIIème siècle (Les Fausses confidences de Marivaux doc 1 et Le Barbier de Séville de Beaumarchais doc 2) et un extrait d’un drame romantique (Ruy Blas, Victor Hugo doc 3). L’image, quant à elle, représente un extrait de la mise en scène des Fausses Confidences de Marivaux faite par Didier Bezace en 2010 au théâtre de la Commune à Aubervilliers. Trois questions nous invitent à nous faire

aténuationpar contre/ à l’inverse → oppositionConclusion :1er § → synthèse/ bilan des deux parties → réponse à la problématique2e § →ouverture → par comparaison/ analogieLe Théâtre :Marivaux : Les fausses confidencesparcours : théâtre et stratagèmeSéance 0 : « révisions »théâtre → notion de spectacle qui inclus de nombreuse règle :- lieux spécifique (permanent ou dédie)-professionnelle du théâtre (comédiens, metteur en scène, décorateurs, accessoires