Les Faux-monnayeurs

du « blason », en vogue au xvie siècle, dans lequel l'auteur fait une description détaillée d'une personne ou d'un objet. Cependant il applique ce principe dans son roman Les Faux-Monnayeurs construit sur une mise en abyme puisque l'oncle Édouard, écrivain, est présenté en train d'écrire un roman intitulé Les Faux-Monnayeurs, dans lequel il cherche à s'éloigner de la réalité, et qui a pour personnage principal un romancier. Bien qu'attestée par l'Académie française dans la dernière édition de son

théâtre) LE TEXTE POÉTIQUE BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal (édition indifférente) ; Le Spleen de Paris (Le Livre de Poche) LE TEXTE ROMANESQUE CYRANO DE BERGERAC, Les États et Empires de la Lune (Folio) BALZAC, Le Père Goriot (Folio) GIDE, Les Faux-Monnayeurs (Folio) LE TEXTE AUTOBIOGRAPHIQUE ROUSSEAU, Les Confessions (Folio, livres 1 à 6) LEIRIS, L’Âge d’homme (Folio) LECTURES COMPLÉMENTAIRES A. COMPAGNON, Le démon de la théorie (Points Seuil) [En confrontant les acquis de la théorie littéraire

gravité du crime : après quelques coups pour un vol à main armée, après plusieurs heures pour un assassinat (affaire Jean Calas). Pour les crimes les moins graves, on étranglait l'homme avant de le fracasser ; -L'huile bouillante : pour les faux-monnayeurs ; -L'écartèlement, avec ensuite exposition des restes aux quatre portes de la cité : pour la haute trahison, pour les parricides, dans la pratique, il n'était utilisé que pour les régicides (le Roi étant le père de la Nation) ; -La tête cassée

Mais la vie c'est comme au foot on attaque et on défend Dans la misère Tu les aides mais quand tout va bien tes potos s'arrachent AH AH J'parle a toi qui crache Tu t'sens Concerné? T'es qu'une pute faut qu'tu l'sache T'es un faux? Je te lache Tu postillonnes tellement dans mon dos qu'toutes les 5 minutes faudrait qu'je me lave A c'qui parait qu'tu connais mieux ma vie qu'moi ??? Tu vois la f'nêtre à coté d'toi ? S'toplait suicide toi ! Si ce couplet t'a touché C'est

pouvait confondre le bien avec le mal » l.12 Molière mets donc en oeuvre ce qu’il dit dans ses ecrits, notamment, on l’a vu avec la référence aux anciens, mais aussi en dénonçant l’hypocrisie relieuse « toutes les friponneries couvertes de ses faux monnayeurs en dévotion » l.7 Il fait aussi appel à la raison du Roi « On a profité Sire, de la délicatesse de votre âme sur les matières de la religion » l.15 qui nous amène donc à faire un parallèle avec Boileau « Le jour de la raison » l.19 L’auteur

à expériences littéraires (romans de Robbe-Grillet ; La Disparition de Perec ; Les Fleurs bleues de Queneau) : cela apprend peu de chose sur le cœur humain. Le nouveau roman : mort du personnage. • Cas où les cartes sont brouillées (ex. : Les Faux-Monnayeurs de Gide), d’où ambiguïté. 2. Mais le roman n’est pas la réalité, il en est l’image… • De toute façon, le roman est illusion littéraire, c’est une œuvre d’art ; ce n’est pas la réalité. Cf. Balzac : « L’auteur a déjà souvent répondu qu’il est

théâtre : Lorenzaccio et poésie, les poètes : Victor Hugo, Lamartine, Verlaine, Rimbaud,  Baudelaire : Les fleurs du mal  et Edgar A .Poe, Oscar Wilde, Charles Dickens, Dostoïevski, Pouchkine, Tolstoï… XXème siècle André Gide : les faux Monnayeurs, au moins un extrait Marcel Proust : connaître la scène de la madeleine extraite de « A la recherche du temps perdu » Colette  François Mauriac : Thérèse Desqueyroux Blaise Cendrars : L’or Albert Camus : L’étranger Boris Vian : L’écume

avec la politique Activités complémentaires : - étude d’un corpus de textes pour percevoir l’évolution du personnage romanesque : * La Princesse de Clèves, Mme de Lafayette * Le Père Goriot, Balzac * L’Education sentimentale, Flaubert * Les Faux-Monnayeurs, Gide * Voyage au bout de la nuit, Céline * Le Procès, Kafka. - étude du réalisme en peinture. - visionnage du film sur Bel Ami (extraits correspondant aux passages étudiés)

l’ordre des Templiers, de justifier la démarche du roi qui les a fait arrêter en octobre 1307. Ni le recours que Philippe IV a pu avoir aux légistes dont il fait le relais de son pouvoir, ni les mutations monétaires qui font passer le roi pour un faux-monnayeur, ni l’expulsion des Juifs en 1306 ne permirent au roi de trouver toutes les ressources nécessaires. Lorsque Philippe IV le Bel meurt et que son fils Louis X lui succède, les grands — que le roi a écarté des affaires du royaume avec les légistes

déterminée selon la gravité du crime : après quelques coups pour un vol à main armée, après plusieurs heures pour un assassinat). Pour les crimes les moins graves, on étranglait l'homme avant de le fracasser ; • L'huile bouillante : pour les faux-monnayeurs ; • L'écartèlement, avec ensuite exposition des restes aux quatre portes de la cité : pour la haute trahison, pour les parricides (assassiner mère ou père ou parent proche). Adoption de la guillotine Le premier débat officiel sur la peine de