Les Femmes Dans Le Pere Goriot

fragile néanmoins avec un caractère séduit et passionné. Il cherche un amour maternel dont il a été privé durant son enfance aux cotés de Mme de Rénal. Il noue une liaison amoureuse avec Madame de Rénal mais aussi avec Mathilde de La Mole. Ces deux femmes ont des caractères totalement opposés : Mme de Rénal est une femme douce, réservée, proche de ses enfants et Mathilde de la Mole est plutôt orgueilleuse. Dans ce devoir nous allons nous demander si Julien Sorel est vraiment un personnage brave, courageux

courage, l’abnégation et le désir de réussir, mais aussi la ruse, sont à la base de l’action du héros homérique. C’est ce qui lui permet de revenir chez lui. C’est également le cas deRastignac dans Le Père Goriot. Rastignac l’ambitieux veut intégrer la haute société parisienne grâce à son charme et aux femmes. Le cynisme de son attitude est certes condamnable, mais il se justifie par lecontexte qui lui est fait à l’époque. Toutefois, il existe des cas particuliers de héros romanesque qu’on qualifie d’antihéros

avec Les Chouans, le roman philosophique avec Le Chef-d'œuvre inconnu, le roman fantastique avec La Peau de chagrin ou encore le roman poétique avec Le Lys dans la vallée. Mais ses romans réalistes et psychologiques les plus célèbres, tels Le Père Goriot ou Eugénie Grandet, qui constituent une part très importante de son œuvre, ont induit, à tort, une classification réductrice d'« auteur réaliste », aspect qui a été attaqué et critiqué par Nathalie Sarraute et le mouvement du Nouveau roman dans

de l'apaisement qu'il avait tant rêvé. Le Père GORRIOT Balzac né le 20 mai 1799 Rastignac est un jeune homme de petite noblesse. Il vient à Paris espérant y rencontrer la fortune. Mais il n'a ni l'argent, ni la connaissance de la société parisienne nécessaire. Une de ses cousines lointaines, Madame de Beauséant, une des dernières grandes dames, le prend sous son aile pour l’aider à appréhender ce monde qu'il ne connait pas. Grâce aux femmes, il va apprendre les mœurs de cette société

apprises en exerçant ma charge! J’ai vu mourir un père dans un grenier, sans sou ni maille, abandonné par deux filles auxquelles il avait donné quarante mille livres de rente !3 J’ai vu brûler des testaments4; j’ai vu des mères dépouillant leurs enfants, des maris volant leurs femmes, des 1. médiateur : intermédiaire. Le prêtre est l’intermédiaire entre Dieu et les croyants. 2. curer : racler, nettoyer en profondeur. 3. Allusion au Père Goriot, autre roman de Balzac. 4. Allusion à la tentative

Le Roman axes essentiels Le roman vient de l'adjectif qui signifiait, au moyen-Age, la « langue vulgaire » ce qui peut en dire long sur les débuts de ce genre littéraire, assimilé pendant longtemps à une littérature de femmes oisives (→ connotation péjorative). -Le roman a connu une grande évolution. Au 17eme et 18eme, il est toujours considéré comme un genre mineur, loin derrière le théâtre et la poésie. C'est au 19eme siècle que le roman va obtenir ses lettres de noblesse (→ siècle

gravé sur le front « Ce qu’il a entreprit par l’épée, je l’accomplirai par la plume ». 1) Naissance et enfance Honoré de BALZAC est né en 1799. Il est le fils d’un notaire et d’une bourgeoise. Sa mère a trente-deux ans de moins que son père et est une femme très dure : BALZAC disait d’elle « Ma mère me haïssait avant que je fusse né ». Son enfance fut traumatisante. 2) Etudes et rencontres En 1816, BALZAC entame des études de droit mais suit aussi le métier de clerc de

Biographie de Balzac Naissance le 20/05/1799 à Tours, fils d’un couple mal assorti : son père = un autodidacte d’origine paysanne, devenu notable d’Empire, sa mère = une « demoiselle » (32 ans de – que son mari), qui rejette son fils Honoré, placé en nourrice. Enfant mal-aimé qui se rapproche de sa sœur. 1807/1813 : pensionnaire chez les Oratoriens à Vendôme. Années difficiles. 1814 : installation de la famille à Paris. Etudes de droit // Clerc chez un avoué, puis chez un notaire. Connaissance

| |Eugénie Grandet, 1833 | |Le Père Goriot, 1835 | |Le Colonel Chabert, 1835

Dans le passage du Père Goriot, Balzac traduit ce désir du personnage à travers la parole d'un autre de ses personnages, représentant la tentation maléfique dans le roman. Celui-ci met en relief le goût prononcé pour la richesse et la vie fortunée d'Eugène de Rastignac : « vous y avez flairé le luxe […] vous y avez flairé la Parisienne. » Le narrateur, toujours à travers cet autre personnage, Vautrin, associe alors ce désir de réussite du personnage à une vie frauduleuse et malhonnête. Il compare