Les Femmes en blanc

du travail qui leur était imposé, et je frémissais des excès de cruauté que l'avarice peut inspirer aux hommes.  Je revenais chez mon ami, l'âme abattue de tristesse, mais j'y reprenais bientôt la joie ; là sur les visages noirs, sur les visages blancs, je voyais le calme et la sérénité.  Wilmouth n'exigeait de ses esclaves qu'un travail modéré ; ils travaillaient pour leur compte deux jours de chaque semaine ; on abandonnait à chacun d'eux un terrain qu'il cultivait à son gré, et dont il pouvait

‘sans titre’ Germaine Krull épreuve argentique (17*23cm) exposée à New York au Museum of Art . C ette photographie date de 1928, elle est en noir et blanc avec un virage sepia. A cette époque, la modernité industrielle matéria- liasée par le triomphe de la machine, par exemple, libère hommes et femmes de nombreuses fatigues physiques.On est dans le coeur de la révolution industrielle. Au niveau historique, Staline lance sont premier plan quinquennal pour industrialiser rapidement

immense tableau horizontal extrêmement allongé réunit 7 figures ou groupes de figures. L’agencement est clair et raffiné. La composition forme un grand triangle (...) qu’on appelle composition pyramidale. Couleur : L’œuvre est peinte en noir et blanc avec le jeu des valeurs de gris. La monochromie du tableau s’explique de plusieurs façons : la gravité du sujet et l’évocation de la presse. C’est par elle que Picasso a été informé de ce tragique évènement. Significations : LE CHEVAL BLESSE :

Bakayoko-so s’étaient réunis dans la cour (…) Assise un peu à l’écart… la vieille Niakoro… » (pp.13-14) Le mouvement est le suivant : de l’immensité du ciel, puis le regard descend dans les collines, enuite dans les maisons, et puis sur un groupe de femmes, et de celui-ci se détache la vieille Niakoro. Sembène est sobre dans la description, à peine mentionne-t-il l’essentiel pour la suite du récit : « Derrière la palissade qui la clôturait, on apercevait une grande baraque peinte en ocre qui reposait

dans le prêt à porter féminin moyen et haut de gamme. (rechercher ce qu’ils vendent exactement) 3.1) Quelle cible ? Qui achète ? Quel segment de marché ? Pourquoi ? 1997 : concept mère fille, moment d’achat Début :15-35, puis 15 50, mtn toutes les femmes qui veulent porter du créateur portable. Voir diapo téléchargé pour 3.3 3.2) Eléments relatifs à la marque elle-même . Comptoir des Cotonniers appartient au marché du prêt à porter féminin, moyen et haut de gamme. Le chiffre d’affaire de la marque

1/ Les formes · Les couleurs : 3 couleurs dominantes: bleu, blanc, rouge · La composition: - partage du tableau avec les vivants en haut et les morts en bas - position des personnages (la Liberté …à gauche, les 3 combattants … à droite) - le poing de la Liberté est au sommet du triangle dont la base est le bas de la toile et le sommet, le milieu du haut du tableau · La lumière est sur le personnage de la Liberté, la lumière vient du ciel · Les plans : arrière plan [pic] Paris, 1er plan [pic]

qu'on atteste la présence des femmes sur l'île. Cette colonie naissante était composée d'une vingtaine de personnes dirigées par Étienne Regnault de la Compagnie des Indes, le premier «commandant» officiel de Bourbon. En 1667, plus de 200 Français débarquèrent sur l'île et, en 1671, un nouveau contingent de 13 nouveaux colons arriva de Madagascar; ils étaient accompagnés de quelques Esclaves noirs et cinq d'entre eux avaient une épouse malgache. La pénurie des femmes d'origine française fut signalée

ses pièces en accordant par ailleurs un grand soin au maquillage qu’il conçoit, comme un prolongement expressif et signifiant du costume. À propos d'un personnage des Paravents, il écrit : « Le visage tout blanc. On le peint sous les yeux du spectateur. Je la vois verte. Dans un grand cotillon blanc, pas fait avec des pièces rajoutées, mais fait dans un bon tissu, peut-être rose. On lui mettra un grand manteau doré. Comme une chape de Saint-Sacrement. » Genet parle tout simplement du costume de la salle :

des femmes, cette stratégie est très rapidement contestée par une partie des militantes abolitionnistes et féministes. C'était difficile d'accepter que les femmes de “race anglosaxonne” (Elizabeth C. Staton) soient reléguées plus bas que les noirs. Les associations féministes se scinedent sur la question de la préminience “legitime” des femmes blanches sur les noirs, et par conséquent sur les femmes noires. Dans un certain sens, elles excluaient les femmes noires de la catégorie de femmes.

nouvelles écoles, nouveaux amis, nouveaux lieux de travail, décrivant ainsi leurs nouvelles expériences. Nous n’en voulons pour preuve que les œuvres de Terry Mc Millan, Andrea Lee, Connie Porter ou Tonni Morrison. Pour mieux cerner ce combat des femmes, nous nous proposons d’étudier deux des œuvres de ces auteurs illustrant cette nouvelle orientation de la littérature féminine en Afrique et aux EtatsUnis : Seul le DIABLE le savait de Calixthe Beyala et Au bord de la rivière Cane de Lalita Tademy