Les Femmes Savantes Classicisme

la fin du IXe siècle, date des tout premiers textes littéraires en langue romane. A partir de cette date, la langue romane est perçue comme une langue pouvant rivaliser avec le latin dans l'expression littéraire, même si le latin demeure la langue savante de la communication internationale. La littérature médio-latine reste féconde. Mais, peu à peu, la nouvelle langue suscite des formes neuves. | Les textes de cette période, toutefois, ne relèvent pas à proprement parler de l'écrit, dans la mesure

les peuples d’Afrique, d’Asie et d’Australie qui sont souvent aussi impitoyablement exploités que les ressources de leurs continents. Accompagnant l’industrialisation européenne, les progrès scientifiques et technologiques sont considérables. Des savants comme Volta, Ampère, Ohm, Davy, Henry et Faraday développent les recherches sur l’électricité. Leurs découvertes commencent à être appliquées dès les années 1830. En 1866, Ernst von Siemens invente la dynamo. Mais l’usage de l’électricité pour l’éclairage

lorsqu'ils renoncent, expient, se retirent.Il cherche à répandre les valeurs humanistes de son époque.Bilan :Dans cette œuvre l’auteur se moque mais délivre un savoir précieux (comme décrit dans le prologue), mais ils se moquent aussi des faux savants, des mauvais savants et se permet de comparer leurs façons d’éduquer à celle proposé par les humanistes. Il dénonce le savoir prôner par la religion. Et ce en essayant de faire rire le lecteur. Ce livre entre donc très bien dans le parcours : rire et savoir

galerie Pierre, à Paris. Agé à l'époque de 26 ans , ce peintre français s'affiche à l'époque où la peinture abstraite des avant-gardes acquière autorité sur l’esthétique picturale. En quête d'une vérité dans la peinture, Balthus peint la nature, des femmes, très jeunes, des paysages, des chats jusqu’aux natures mortes et s'inscrit dans la lignée des peintres traditionnels. Un académisme qui ne fait pas toujours bonne critique au près des institutions, mais sa singularité tient en son extrême attention

perçu de façon non linéaire comme si le monde n’avait plus cette homogénéité qu’a toujours fait valoir le roman traditionnel. L’essai, genre polymorphe, se présente dans une grande variété de formes allant de l’écrit journalistique aux études savantes et aux analyses documentées, en passant par l’expression d’une pensée qui s’assume comme telle dans un « Je » énonciateur. D’abord victime de la censure, puis de la loi sur les écrits moraux votée par le gouvernement Duplessis en 1950, l’essai sera

s’achèvera vers 1685. Le XVIIe siècle est donc, en schématisant, double : baroque et instable dans sa première moitié, qui correspond à peu près au règne de Louis XIII, il voit dans sa seconde moitié, coïncidant avec le règne de Louis XIV, naître le classicisme, cet idéal d’équilibre et de clarté qui devait concerner tous les domaines de l’art et de la pensée. I. Histoire et pouvoir politique II. Les courants de pensée III. La littérature IV. Les arts V. Les découvertes scientifiques du siècle

Deux dramaturges obtiennent la reconnaissance du roi et de la cour : il s'agit de Pierre Corneille et de Jean Racine. 3 La tragédie après le XVIIe siècle Au XVIIIe siècle, plusieurs auteurs continuent d’écrire des tragédies selon les codes du classicisme, notamment Thomas Corneille, fils de Pierre Corneille, puis Voltaire. Leurs pièces restent cependant peu lues ou représentées de nos jours. Mérope (1754) ou Œdipe (1718) sont des pièces de Voltaire, très célèbres au XVIIIe siècle. Avec la Révolution

Deux grands thèmes dans l’œuvre de Paul Éluard se font écho : la poésie amoureuse et la poésie de résistance, celle-ci ne faisant au fond que prolonger celle-là. Le ton y est celui d’une savante simplicité, dégagé des influences dadaïstes et surréalistes dont Éluard n’aura finalement retenu qu’un souveraine leçon d’émancipation du langage. Par ailleurs, la poésie, pour lui, ne se conçoit pas sans la collaboration avec ses amis peintres, ainsi que l’œuvre tout entière en porte témoignage. On envisagera

marge de souplesse à l'interprétation L'histoire même du théâtre marque une évolution dans le domaine des objets, décors, costumes : on passe de l'absence de contraintes et d'exigences des dramaturges (tragédie et comédie grecques, dramaturgie du classicisme) à l'hypertrophie des didascalies dans le théâtre contemporain. 1. La nature même du théâtre : un texte inchangé, mais des représentations en renouvellement constant Le théâtre est une création continue, une pièce est en perpétuelle évolution

comme l'écrit Perrault dans son poème à la gloire du roi soleil ? 1697 : Réconciliation, mais avantage des modernes. 1713 - 1714 : querelle homérique. Homère était-il un génie ? Conséquences : Le public perd en partie sa ferveur dans le classicisme : l'esprit critique de Perrault ou Thomas Corneille a gagné. La doctrine classique n'est plus aussi solide après la mort de Louis XIV, en 1715. III. L’ histoire de la querelle : Au XVII° siècle éclata une vive querelle qui