Les Femmes Savantes Thème

nécessaire/recommandé/impératif de »...etc. Pour aller plus loin 16. La pruderie a souvent été dénoncée par Molière, notamment celle des femmes face au mariage. Précisez le sens de ce terme et comparez l’attitude de Cathos (scène 4, l. 97-100) à celle d’Armande dans Les Femmes savantes (v. 9-12). La pruderie est une affectation de retenue, de modération et de décence. Ce substantif ne s'applique qu'aux femmes. - Citations : « La pruderie est une imitation de la sagesse » (La Bruyère) ; « Tout bien considéré, franche coquetterie/

critiques : les Lettres persanes de Montesquieu raconte ainsi le voyage de deux Persans, Uzbek et Rica, qui, au cours de 2. Corollaire : lié par le sens. 3.  ’exploration des Lumières fera plus précisément l’objet de la seconde séquence sur le thème, autour de l’étude L intégrale de Micromégas, que vous pouvez commencer avec profit à lire en parallèle avec cette première séquence. 4 Séquence 1 – FR10 © Cned – Académie en ligne leur voyage, parviennent à Paris  ; ce roman épistolaire4

] [ ] des habitants du pavillon de l’oreille [ ] des eldoradiens. 62. Au moment d’embarquer sur la rivière qui va les mener au pays d’Eldorado, Candide dit « recommandons-nous à la Providence ». Se trouvent ainsi discrètement liés le thème de l’Optimisme et le providentialisme, c’est-à-dire la croyance en une providence qui serait attentive à quoi ? (de même le narrateur précise peu après : « les deux voyageurs eurent la hardiesse de s’abandonner aux flots » : [ ] une providence

que rarement, pour lancer une boutade ou une réplique amicale, bien que peu raffinée ; le reste du temps, il est englobé dans le couple « les Verdurin », où il s’efface inévitablement derrière sa femme. Le docteur Cottard est, selon l’hôtesse, un savant doué et intelligent, il a « plus de diagnostic que Potin ». Il lui arrive même de mettre son talent au service de la petite société, comme, par exemple, « il dut un jour remettre sa mâchoire qu’elle [Mme Verdurin] avait décroché ». Du pianiste, on

recherches, précisément à travers le travail bigarré de ce premier troubadour. Elles contiennent des éléments folkloriques et latins, et l’influence andalouse n’est pas non plus en reste. Au XIIe siècle existaient des traditions déjà bien établies: savantes d’une part (comme le chant liturgique par exemple), et populaires d’autre part (comme les fêtes de mai). Puis petit à petit apparurent les influences de la poésie exotique, dont est empreinte celle de Guillaume IX[3]. Ce qui est certain, c’est que

se dévoile à travers ses paroles, et c’est un personnage comique qui s’offre aux regards des spectateurs. Il se lance en effet dans une argumentation, voulant impressionner Gusman, mais énonce des sottises : la référence à Aristote, si elle paraît savante, car ce philosophe grec était considéré dans le XVIIème siècle classique comme une autorité, est en fait ridicule, car le tabac n’existait pas dans l’Antiquité. De même, il inverse les causes et les effets : les « honnêtes gens » offrent du tabac

qui revient assez fréquemment. Les auteurs de comédie usent et abusent des bons mots en jouant sur des jeux de mots, de déformations possibles... En jouant sur les mots, sur la langue, les auteurs provoquent le rire du spectateur. Dans Les Femmes savantes, Molière l'évoque tout en faisant rire, Bélise à la bonne: Veux-tu offenser toute ta vie la grammaire? Martine lui répondant, « Qui parle d'offenser grand-mère ni grand-père ? ». Le comique des mœurs est moins atypique au théâtre comique. Plus

machines. Elles trouvent toutes leur unité dans le rire. Le comique moliéresque a traversé les siècles, mais surtout, il était impitoyable pour le pédantisme des faux savants, le mensonge des médecins ignorants, la prétention des bourgeois enrichis. Quelques exemples de ses écrits : le bourgeois gentilhomme (1670), l'école des femmes (1662), Tartuffe (1664), Les fourberies de Scapin (1671), l'Avare (1668), Le médecin malgré lui (1666), Dom Juan (1665),  le Misanthrope (1666). Contrairement à la légende

une lecon de perseverance et de constance « mais tot ou tard elle a ... » l54 CONCLUSION Cette intrigue tres simple structurée par une serie de repetitions et d'analogies ( ressemblances) mets en scene des personnages type du conte de fée. Le theme de l'enfant maltraité est tres frequent dans les contes de perrault et le merveilleux egalement propre au conte aboutit tout naturellement a une metamorphoses des personnages. Cette histoire plaisante porte la marque de la rapidité et de la concision

passions » (préface de Tartuffe).     Molière est impitoyable pour la préciosité (femmes savantes, pédants, précieuse) ; il s’en prend à leurs affectations de langage et de leurs mœurs.     L’éducation des jeunes filles est un sujet que Molière affectionne particulièrement. Il dénonce l’éducation dans les couvents. Molière revendique une éducation par la douceur. Néanmoins, il ne souhaite pas que la femme soit trop savante parce qu’elle perd son charme et ses qualités de maîtresse de maison. La