Les Fenêtres Apollinaire

"Le Pont Mirabeau" Apollinaire, Alcools (1912 Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante

détourne résolument du réel : Je fuis et je m’accroche à toutes les croisées D’où l’on tourne l’épaule à la vie et, béni, 2 Dans leur verre, lavé d’éternelles rosées, Que dore le matin chaste de l’Infini Je me mire et me vois Ange !… (Les Fenêtres) Il pense que l’on fait de la poésie « avec des mots et non avec des idées » ; lire sonnet en –yx (Voir exemplier) où se constate sa tendance à l’hermétisme ; la poésieest ce qui ‘absente’ le monde. (Fleur) Mallarmé est hanté par le non-être,

dresse le portrait du peintre Eloge d’autres peintre ds le recueil « Georges Braque » « nouveaux poèmes » , légèreté du peintre, sa sérénité qui inspire Eluard Eluard met en avant le domaine du regard qui est souverain « zone » alcools, Apollinaire, 1913, du vers 1 a 24 Intro : Poème publié en 1912 ds une revue intitulée « les soirées de Paris » Dernier avant la publication du recueil « Alcools » Alcool-> occasion de se liberer des contraintes +ref a son addiction à l’écriture poétique

Byzance, rive occidentale du Bosphore et de l'empire romain d'orient. L’art n'était pas règlementé, Art byzantin très compliquer, pas uniquement un art de feuille d'or est symbolique Période symbolique et réaliste * Ravenne en Italie Sant apollinaire 9 520 av JC, basilique * 6eme siècle après JC * plusieurs cicle du premier testament * Partie narrative la plus importante Contienne pas de statue les tessères en pierre fabriqué et colorée et au troisième siècle av JC

 : que chaque « fleur du mal » devienne un objet d’art dont la contemplation nous emporte. Ce n’est plus la Nature qui est le refuge, c’est l’œuvre d’art elle-même… Ceux qui viendront après lui (Verlaine, Rimbaud, Cendrars, Apollinaire, les surréalistes…), tous s’inspireront de la liberté qu'il a fait souffler sur la poésie et donneront à la poésie la fonction de transmuter le langage par la place et le travail des mots et du rythme, se libèreront de la versification régulière

l’Art comme remède : que chaque « fleur du mal » devienne un objet d’art dont la contemplation nous emporte. Ce n’est plus la Nature qui est le refuge, c’est l’œuvre d’art elle-même… Ceux qui viendront après lui (Verlaine, Rimbaud, Cendrars, Apollinaire, les surréalistes…), tous s’inspireront de la liberté qu'il a fait souffler sur la poésie et donneront à la poésie la fonction de transmuter le langage par la place et le travail des mots et du rythme, se libèreront de la versification régulière

ANTHOLOGIE DE TEXTESLYCEE VICTOR HUGO CARPENTRASPREMIERE AMME PONCETYSESSION 2023 Apollinaire, Alcools , « Les Colchiques », 1913. 51015Le pré est vénéneux mais joli en automneLes vaches y paissantLentement s’empoisonnentLe colchique couleur de cerne et de lilasY fleurit tes yeux sont comme cette fleur-làViolâtres comme leur cerne et comme cet automneEt ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonneLes enfants de l’école viennent avec fracasVêtus

ses maîtres bâtisseurs. Jusqu’à cette époque, les cathédrales avaient été construites dans le style roman : un style médiéval dérivé de l’architecture romaine. Elles étaient basses et sombres avec des murs épais, et les voûtes de leurs portes et fenêtres étaient semi-circulaires. En 1140, une cathédrale fut construite à Saint-Denis dans un style nouveau : le style gothique. Les populations de l’époque eurent une telle admiration face à sa nouveauté qu’elle déclencha la construction de nombreuses

haut de ma mansarde, Je verrai l'atelier qui chante et qui bavarde ; Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité, Et les grands ciels qui font rêver d'éternité. Il est doux, à travers les brumes, de voir naître L'étoile dans l'azur, la lampe à la fenêtre, Les fleuves de charbon monter au firmament Et la lune verser son pâle enchantement. Je verrai les printemps, les étés, les automnes ; Et quand viendra l'hiver aux neiges monotones, Je fermerai partout portières et volets Pour bâtir dans la nuit mes

en un acte ne sera représentée que beaucoup plus tard, le 11 février 1894, à Paris, dans la salle de Géographie, située boulevard Saint-Germain. L’année où Feydeau écrit Notre futur, il réussit à faire jouer sa première pièce en un acte, Par la fenêtre, dans une petite station balnéaire près de la frontière belge. Ses débuts sont remarqués par le vieux Labiche, qui l’encourage dans cette voie. En 1883, Feydeau part à l’armée. Il profite de ses loisirs pour composer sa première grande pièce