Les Figures De Styles Dans Le Malade Imaginaire

les  actions  de  « capacitation »  (gain  en  autonomie,  émancipation…) sur le terrain, pour changer d'échelle et s'adresser à tous.  Même si elles sont encore jeunes ou émergentes, les initiatives qui ont su mobiliser l’effet cumulatif  d’un imaginaire social audacieux outillé du numérique, démontrent que le constat redondant depuis  une vingtaine d’années des insuffisances de la démocratie représentative n’est pas une fatalité. Sans  attendre  nécessairement  une  transformation  institutionnelle

les  actions  de  « capacitation »  (gain  en  autonomie,  émancipation…) sur le terrain, pour changer d'échelle et s'adresser à tous.  Même si elles sont encore jeunes ou émergentes, les initiatives qui ont su mobiliser l’effet cumulatif  d’un imaginaire social audacieux outillé du numérique, démontrent que le constat redondant depuis  une vingtaine d’années des insuffisances de la démocratie représentative n’est pas une fatalité. Sans  attendre  nécessairement  une  transformation  institutionnelle

7 Chapitre 8 Chapitre 9 Chapitre 10 II - Les légitimités égarées Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 Chapitre 4 Chapitre 5 Chapitre 6 Chapitre 7 Chapitre 8 Chapitre 9 Chapitre 10 Chapitre 11 Chapitre 12 III - Les certitudes imaginaires Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 Chapitre 4 Chapitre 5 Chapitre 6 Chapitre 7 Chapitre 8 Chapitre 9 Chapitre 10 ÉPILOGUE Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 NOTE © Éditions Grasset & Fasquelle, 2009. 978-2-246-68159-5 DU MÊME

; on le chanta dans les cafés, on le bafoua dans les journaux, on le joua sur les théâtres. Les canards eurent là une belle occasion de pondre des œufs de toute couleur. On vit réapparaître dans les journaux — à court de copie — tous les êtres imaginaires et gigantesques, depuis la baleine blanche, le terrible « Moby Dick » des régions hyperboréennes, jusqu’au Kraken démesuré, dont les tentacules peuvent enlacer un bâtiment de cinq cents tonneaux et l’entraîner dans les abîmes de l’Océan. On reproduisit

chanta dans les cafés, on le bafoua dans les journaux, on le joua sur les théâtres. Les canards eurent là une belle occasion 10 de pondre des œufs de toute couleur. On vit réapparaître dans les journaux – à court de copie – tous les êtres imaginaires et gigantesques, depuis la baleine blanche, le terrible « Moby Dick » des régions hyperboréennes, jusqu’au Kraken démesuré, dont les tentacules peuvent enlacer un bâtiment de cinq cents tonneaux et l’entraîner dans les abîmes de l’océan. On

on le chanta dans les cafés, on le bafoua dans les journaux, on le joua sur les théâtres. Les canards eurent là une belle occasion de pondre des œufs de toute couleur. On vit réapparaître dans les journaux, – à court de copie, – tous les êtres imaginaires et gigantesques, depuis la baleine blanche, le terrible « Moby Dick » des régions hyperboréennes, jusqu’au Kraken démesuré, dont les tentacules peuvent enlacer un bâtiment de cinq cents tonneaux et l’entraîner dans les abîmes de l’Océan. On reproduisit

théâtres. Les canards eurent là une belle occasion de pondre des œufs de 1 Environ 106 mètres. Le pied anglais n’est que de 30,40 centimètres. 9 toute couleur. On vit réapparaître dans les journaux – à court de copie – tous les êtres imaginaires et gigantesques, depuis la baleine blanche, le terrible « Moby Dick » des régions hyperboréennes, jusqu’au Kraken démesuré, dont les tentacules peuvent enlacer un bâtiment de cinq cents tonneaux et l’entraîner dans les abîmes de l’océan. On

SOMMAIRE SOMMAIRE ______________________________________________________________________________________ 3 INTRODUCTION ________________________________________________________________________________ 8 PREMIERE PARTIE. MOBILITES ET ENGAGEMENTS : DES FIGURES CONTEMPORAINES DU SAVOIR____________________________________________________________ 20 CHAPITRE 1. APPRENTISSAGES ET VOLONTARIAT SOLIDAIRE A L’INTERNATIONAL ________________ 21 I. Les enjeux des apprentissages bénévoles et volontaires __________________

on le chanta dans les cafés, on le bafoua dans les journaux, on le joua sur les théâtres. Les canards eurent là une belle occasion de pondre des œufs de toute couleur. On vit réapparaître dans les journaux, – à court de copie, – tous les êtres imaginaires et gigantesques, depuis la baleine blanche, le terrible « Moby Dick » des régions hyperboréennes, jusqu’au Kraken démesuré, dont les tentacules peuvent enlacer un bâtiment de cinq cents tonneaux et l’entraîner dans les abîmes de l’Océan. On reproduisit

comme des entités statiques, en raison même de leurs interférences, mais comme des réalités organiques et vivantes, douées d’histoire et s’affrontant sur la conception même qu’ils ont de leur histoire. En SERGIO BUARQUE DE HOLANDA et GEORGE BOAS, des styles de pensée s’affrontent et, à travers eux, les passés européens dont restent imprégnées les Amériques anglo-saxonne et ibérique. Un autre affrontement : celui de ROBERT JUNGK et ANDRÉ MAUROIS. Il permet de mesurer la part d’angoisse et la part de confiance