Les Filiales Des Firmes Multinationales

Les FMN sont des firmes qui possèdent au moins une unité de production à l’étranger, souvent par le biais de filiales : si une firme possède une prise de participation d’au moins 10% du capital d’une entreprise étrangère, on peut considérer que celle-ci est une filiale de la firme. Ceci leur permet de mieux contrôler leurs marchés et leurs sources d’approvisionnement. Aujourd’hui, il existe environ 82.000 firmes multinationales dans le monde, qui possèdent 810.000 filiales localisées dans divers

pénétration du marché : importateur, succursale, vendeurs locaux ou expatriés… §3 - La stratégie des firmes face à la mondialisation Les entreprises subissent de fortes contraintes et peuvent bénéficier d’opportunités intéressantes. Alors elles croissent, s’internationalisent et de firmes multinationales (FMN) elles tendent à devenir mondiales puis globales. La firme multinationale est une entreprise installée dans plusieurs pays et à ce titre c’est toujours une grande entreprise et

Au regard des divers modes de mondialisation qu’elles peuvent adopter, les firmes ont-elles une nationalité. Introduction. Le conglomérat GE participe à travers 36 filiales, dans l’économie de 142 pays, d’origine américaine, et son siège social est au Etats-Unis, est-il américain ? Il est aussi canadien, et compte plusieurs nationalités dans la liste de ses actionnaires. L’OREAL est-il toujours français, alors que plus de 23% de son capital est détenu par Nestlé ? Encore un autre agroalimentaire

analysé: C.-A. Michalet, «États- nations, firmes multinationales et capitalisme mondial», Sociologie et sociétés, Vol. XI, no 2, 1979. Le but: «Amorcer une réflexion sur le statut de l’État nation dans le cadre de la problématique du capitalisme mondial» (Michalet, 1979. p.39) La thèse: «L’internationalisation de la production, largement due au FMN, puis la transnationalisation des circuits monétaires et financiers réalisée par les banques multinationales (BMN) ont remis fondamentalement en cause

solidarité à l’échelle mondiale. II/ Les moyens d’actions employés par les Firmes multinationales, les ONG et les Etats pour s’affirmer dans la mondialisation. Le cas des firmes multinationales Le cas des ONG Le cas des Etats III/ Les différentes contraintes et limites que rencontrent ces acteurs lors de leurs investissement dans le phénomène de mondialisation. Les contraintes liées aux Etats. Les limites des firmes Des relations conflictuelles entre Etats et ONG. Conclusion La mondialisation

qui peut parfois contrer le pouvoir des Etats. Les pays d’origine, tout comme les pays d’accueil, ont une attitude partagée à l’égard du phénomène de la multinationalisation. Nike intensifie sont implantation dans le monde. Les impacts de cette multinationale sont variables sur le plan économique et politique. Nous allons étudier dans un premier temps les avantages et dans une deuxième partie les limites pour les pays d’accueil (les pays en développement) et le pays d’origine (USA). Cliquez pour

la I. De l'économie internationale à la logique de la globalisation : L'attitude des pays d'accueil vis-à-vis des investissements étrangers et, des firmes multinationales est au cœur de la problématique nouvelle de l'attractivité; désormais, les firmes et les gouvernements jouent conjointement la logique de la globalisation, Il est en effet, extrêmement difficile pour un pays de rester isolé en refusant de suivre le mouvement de Libéralisation; la mondialisation est un phénomène multidimensionnel

des firmes. Ils consistent en des achats de titres d'entreprises par des agents non-résidents afin d'obtenir "un intérêt durable et la capacité d'exercer une influence dans la gestion". Ils peuvent prendre la forme d'une création d'entreprise, du rachat d'une entreprise existante, ou encore d'une simple prise de participation dans le capital d'une entreprise, à  condition que cela permette d'obtenir un pouvoir de décision effectif dans la gestion. Ainsi, la création par Danone d'une filiale en Chine

comparatifs 3 B. Les théories fondées sur les différences internationales de technologie 3 II. Les nouvelles théories du commerce international 3 A. Les économies d’échelle 4 B. La différenciation des produits 4 C. Les stratégies des firmes multinationales 4 Conclusion 4 Le libre échange est unedoctrine économique qui préconise la liberté des échanges internationaux de biens, de services et de capitaux. Il s’oppose donc à toute forme d’entrave qui limiterait le commerce international

Grâce à la libéralisation de l'économie, les firmes multinationales peuvent mettre davantages de stratégies en place afin d'assurer leurs avenir. Pour les FMN, la localisation des entreprises est très importante. C'est à dire qu'elles choisissent les pays dans lesquels elles s'implanteront en fonction de plusieurs facteurs. En ce qui concerne les FMN, se sont des grandes entreprises implantées dans plusieurs pays, ce qui leurs permet d'avoir donc plusieurs stratégies possibles. Les investissements