Les Fleurs Du Mal Poeme N 25

bien qu’il le qualifiât de « titre pétard », c’est-à-dire de titre destiné à choquer le public. On peut cependant se demander pourquoi rendre ce thème éponyme, alors que les poèmes consacrés au saphisme ne sont que très peu nombreux dans les Fleurs du Mal : il s’agit essentiellement de Lesbos et de deux poèmes de Femmes damnées : Delphine et Hippolyte et le Léthée. C’est que Baudelaire retrouve en elles l’expression de plusieurs thématiques qui lui sont chères. Celles que le poète en éternelle quête

» et imprimé ici dans ce poème par l’interjection « ö » et les point d’exclamation qui ponctuent le poème et qui rappellent le lecteur à une sorte de catharsis : le poème devient ainsi une expérience initiatique relavant du

« MAI » 64 « LA LORELEY» Le crime et l’absolution Le débat entre l’évêque et Loreley Le destin de Loreley 65 66 66 67 « LA TZIGANE » 68 « LES COLCHIQUES» 70 CHAPITRE 3 : LE CYCLE D’ANNIE 73 1. « LA CHANSON DU MAL-AIMÉ » : MÉMOIRE ET ERRANCE 73 L’ORGANISATION DU POÈME 73 LA DÉDICACE ET L’ÉPIGRAPHE 76 FRAGMENT 1 : « UN SOIR DE DEMI-BRUME À LONDRES » Les fausses apparences L’idéal féminin : entre les frontières de la fantaisie et de la réalité La mémoire et l’oubli La rêverie 76 77

d’une image : |………………………………………………………………………………………………………………………….27 | |Activités orales : lecture diction d’un poème |………………………………………………………………………………………………………………………..29 | |Langue : le registre pathétique |…………………………………………………………………………………………………………………………

employait, il n’hésitait pas a qualifier ce dernier, dans la méme lettre, de « vrai Dieu ». @ « Marine » est un poéme de Rimbaud tiré de son recueil Illuminations (1875). C’est un poéme en vers libre (« Les chars d'argent et de cuivre/Les proues d'acier et d'argent/Battent l'écume ») superposant des images de la mer et de la campagne dans un mouvement vertigineux. Pp @ « Adieu » est un poéme en prose de Exemple Rimbaud qui cléture le recueil Une Saison en enfer (1873). Il s’agit d’un texte optimiste

ne publia jamais ses poèmes. En novembre 1871, Théodore de Banville logea chez lui Arthur Rimbaud, mais dès le mois de mai, ce dernier dans ses lettres dites « du voyant » exprime sa différence et, en août 1871, dans son poème parodique, « Ce qu’on dit au poète à propos de fleurs », exprime une critique ouverte de la poétique de Banville. En 1872, avec son « Petit Traité de poésie française », Banville rompt avec le courant symboliste. Il publie presque une œuvre par an tout au long des années 1880

érudition pleine et entière. Les références à Ovide et Lucrèce sont constantes. Ces poètes entre eux s’influencent aussi beaucoup et se plagient dans le style ainsi que dans les contenus. La science telle qu’elle est envisagée est parfois un prétexte au poème lui-même, parfois un vrai travail de naturaliste. La science n’est pas entendu tout à fait dans le même sens qu’on peut l’entendre actuellement. Intégrés dans une vision religieuse, les objets de la nature ne sont pas étudiés pour eux-mêmes mais comme

LA ROSE ET LE RESEDA- LOUIS D’ARAGON Nous allons vous parler d’un poème de Louis Aragon qui est né en octobre 1897 à Neuilly-sur-Seine et mort en décembre 1982 à Paris. Il est connu pour son engagement et son soutien au parti communiste pendant la Seconde Guerre Mondiale. Il entre dans la résistance et publie des poèmes. L’Œuvre littéraire que nous avons choisi de cet auteur est «  La rose et le réséda. »  Ce poème raconte un épisode type de la résistance des français contre l’armée Allemande

ils était rapporté à l’intermédiaire des personnages qui les racontaient). Mise en scène : ------------------------------------------------- Les Fleurs du mal Auteur : Baudelaire (1622- 1673) ( il a mené une vie de bohème et de Dandy= le culte de soi- même, ne pas ressembler aux autres…….) Genre : recueil de poèmes Les Fleurs du mal, intégrant la quasi-totalité de la production poétique de l’auteur depuis 1840 Date de publication: 1857 Structure : *  Spleen et idéal (85 poèmes)

nombreuses fois le champ lexical de la mer : “cordages” v.2,”navire” v.3, “mers” v.11, “brises passagères” v.24, “la côte” v.25. Le champ lexical de la nature est aussi présent,de façon explicite comme avec ; “terre” v.8 , "arôme" v.11 , “îles aux myrtes vertes” v.13 , “fleurs écloses” v.13 ,, "jardins de roses” v.16 , “désert rocailleux” v.19, “fleur” v.22, “la côte” v.25, “trois branches” v.27, “cyprès” v.28 et enfin "pâture" v.29. Mais le champ lexical est aussi présent de façon plus subtile,