Les Fusillés lillois

quelques modifications. Les scènes historiées doivent représenter les épisodes les plus dramatiques de la guerre à Lille : les fusillés lillois, l’explosion des Dix-huit Ponts, les otages civils et l’exécution du Belge Léon Trulin. Or dans la perspective de créer une sorte de circuit commémoratif de la Grande Guerre, on décide aussi de multiplier les monuments : aux Fusillés lillois au débouché des boulevards Vauban et de la Liberté, aux Pigeons voyageurs à l’entrée du Bois de Boulogne, à Louise de Bettignies

personnelle : sport et violence « Pratiqué avec sérieux, le sport n’a rien à voir avec le fair-play. Il déborde de jalousie haineuse, de bestialité, du mépris de toute règle, de plaisir sadique et de violence ; en d’autres mots, c’est la guerre, les fusils en moins. » Pensez-vous, comme l’affirme Georges Orwell, que le sport soit le reflet de la violence des sociétés humaines ? Début 2012, un affrontement lors d’un match en Egypte fait plusieurs dizaines de morts. Cette bagarre générale dans les

avait des ancêtres irlandais (les MacCartan[5], Jacobites réfugiés en France après la Glorieuse Révolution), écossais (les Fleming), et allemands (les Kolb, du Duché de Bade). Le grand-père maternel du général de Gaulle était un industriel textile lillois. Bien que la famille de Gaulle vécût à Paris, la mère du général de Gaulle se rendit dans sa famille à Lille pour donner naissance à son fils, en accord avec la tradition familiale. Éducation et famille Charles André Joseph Pierre-Marie de Gaulle

», dont le bruit est entendu jusqu'au milieu des Pays-Bas. C'est à Lille que fut mis en place le principal réseau de renseignement à l'arrière des lignes allemandes. Créé fin 1914, il est dirigé par Louise de Bettignies. Un monument lillois rend hommage aux fusillés de ce réseau de résistance. Les Anglais du général Birdwood entrent dans Lille le 17 octobre 1918. Au sortir de l'occupation, la ville est ruinée, l'essentiel des équipements industriels ayant été pillés ou détruits, les infrastructures

Introduction Le poète-ouvrier Eugène Pottier écrivit les paroles de l’Internationale en juin 1871. Elle était dédiée à Gustave Lefrançais membre de la commune. Le chant était chanté sur l’air de la Marseillaise avant que Pierre Degeyter, un ouvrier Lillois la mette en musique en 1888. L’internationale est devenue le chant des organisations d’extrême gauche puis l’hymne officielle de l’URSS de 1917 jusqu’en 1944. II/ Contexte historique A) Son apparition en France Eugène Pottier écrit l’Internationale

Lille par les allemands pour habiller les allemands pendant l'hiver. Réquisition de produits, d'argent, de nourriture également.. Sur les 30 millions de chevaux utilisés, 5 millions sont morts. Certains Lillois ont voulu faire passer des messages aux anglais sur les allemands et ont été fusillés. Ville de Dinant en Belgique, 674 personnes ont été enfermés dans une église et ont été brûlés. => acte de violence sur les civils. Pénuries alimentaires car la nourriture était réservé aux occupants

en guerre contre la France le 10 juin 1940, peu de jours après que de Gaulle fût entré au cabinet de Paul Reynaud. De Gaulle vécut ainsi de très près la déclaration de guerre de l’Italie contre la France. Mussolini eut une fin lamentable : il fut fusillé le 28 avril 1945, et contrairement à Pétain, il ne fut pas jugé par un tribunal national. L’écrivain de Gaulle est apte à brosser tantôt un éloge émouvant, tantôt un blâme sans compassion. Loin d’affirmer abruptement son point de vue, il suggère ses

mort ! La mort est symbolisée par le corps qui flotte au dessus d’eux. Les couleurs sont froides, le rouge n’est pas une couleur franche. Il n’y a pas de couleur (les couleurs rabattues, gris mélangé, noir sale) = la non vie En premier plan : le fusil second plan : les personnages troisième plan : les cheminées LES JEUNES GENERATIONS De la toile à la gravure, à l'affiche, la bande dessinée, la photographie, le photomontage, ou le montage vidéo... en passant par la performance ou l'oeuvre

aristocratique en progression, la population décide de s'armer. La présence de membres des Gardes françaises est encore une fois attestée durant la nuit du 13 au 14 juillet, et certains des invalides, acquis à la Révolution, n'hésitent pas à fournir fusils et canons au matin. Les troupes qui stationnent sur le Champ-de-Mars restent passives. Leur chef, le baron de Besanval refuse d'intervenir pour secourir la Bastille, arguant que ses instructions lui interdisent de verser le sang. Dans l'après-midi

Gaulle avait des ancêtres irlandais (les MacCartan[7], Jacobites réfugiés en France après la Glorieuse Révolution), écossais (les Fleming), et allemands (les Kolb, du Duché de Bade). Le grand-père maternel du général de Gaulle était un industriel lillois. Bien que la famille de Gaulle vécût à Paris, la mère du général de Gaulle se rendit dans sa famille à Lille pour donner naissance à son fils, en accord avec la tradition familiale de la famille Maillot[1]. Éducation et famille [modifier] Issu