Les Fusilles Victor Hugo

plus directe, plus insistante, quand les poètes s'engagent et choisissent le langage le plus touchant, le moins narratif, pour exprimer une prise de position, un engagement humain, ou politique; René-Guy cadou dans les Fusillés de Chateaubriand cherche à communiquer au lecteur que "toute liberté se survit." Le lecteur d'un poème de Résistance éprouve, sans trouver parfois les mots qu'il pourrait mettre sur ce qu'il ressent, cette foi en la liberté malgré

exprime par ailleurs la condition des misérables "qui ne sont pas notaires" et reproche aux "notaires" et aux bourgeois de la Garde Nationale qui lisent Voltaire et Rousseau d'avoir trahi leurs idées. A travers l'image de l'enfant mort en chantant, Hugo dénonce une société injuste qui préfère tuer ses enfants que de partager ses richesses. "Le temps des cerises, paroles et musique de Jean-Baptiste Clément et Antoine Renart (1866-1868), n'est pas, à l'origine, une chanson engagée. Mais après

du poète ; objets (animés et inanimés). Sommaire Premier thème : L’amour page 2 - Charles Cros : Soir - Geoffrey Chaucer : Canticus Toili Deuxième thème : La révolte page 7 - Emile Verhaeren : La révolte - Victor Hugo : Bêtise de la guerre Troisième thème : Les paysages page 11 - Paul Verlaine : Dans l’interminable Quatrième thème : La fuite du temps (tempus fugit) page 14 - Paul-Jean Toulet : Aimez-vous le passé - Louis Aragon : Je chante pour

Français célèbres qui sont contre la peine de mort : Voltaire / Diderot / D'Alembert / Dupont / Marquis de Sade/ Frédéric Bastiat / Robert Badinter / Albert Camus / Jean Ferrat / Victor Hugo / Jean Jaurès / Aristide de Briand / Gaston Leroux/ François Mitterrand / Maximilien de Robespierre / Jacques Chirac / Victor Schoelcher / Georges Brassens / Léo Ferré / Jean-Paul Sartre * Cinq argument des abolitionnistes de la peine de mort : - La peine de mort est une sentence irréversible, pourquoi

enfant et le mot gentillesse | | |Un homme est mort qui n’avait d’autre route | |Et certains noms de fleurs et certains noms de fruits | | |Que celle où l’on hait les fusils. | |Le mot courage et le mot découvrir | |5 |Un homme est mort qui continue la lutte | |

siège à de ville ; élection d'un conseil municipal (90 m, dont 71 révolutionnaires) qui prend le nom de Commune ; les Fédérés attaquent vers Versailles mais sont arrêtés par le canon du Mt Valérien ; le Général Emile Duval né en 1840 pris et fusillé avec son chef d'état-major ; les Versaillais attaquent Neuilly, prennent Courbevoie et Châtillon ; prise de 74 otages par les communards (dont l'archevêque de Paris Mgr Darboy) ; institution d'un comité de salut public ; 70 000 versaillais entrent

d’années porte deux pistolets. L’artiste n’a rien laissé au hasard : la présence de ce petit garçon qui rappelle beaucoup le Gavroche de Victor Hugo dans les Misérables est également symbolique. * L’ETUDIANT ARME D’UN FUSIL. Derrière la Liberté, un homme coiffé d’un haut chapeau et habillé de manière plus élégante que ses compagnons, tient dans ses mains un fusil. Il peut faire songer à un bourgeois mais Delacroix a voulu représenter sous ses traits le monde étudiant. Paris est à l’époque une ville

du couteau, de l’épée ou de la guillotine. De nos jours elle n’est plus utilisée qu’en Arabie Saoudite à l’aide d’un sabre. La troisième le peloton d’exécution, l’idée se consiste de placer le condamné à distance des tireurs généralement équipés de fusils. Il est attaché d’un poteau, ses yeux sont bandés, une marque (croix rouge) est placée sur son cœur désignant l’endroit oû les tireurs doivent viser. Dernièrement, la pendaison est la technique la plus pratique, son outil est sous forme d’une corde

dans son époque, et son œuvre a pour lui une utilité immédiate. A l'opposé, les écrivains de « l'art pour l'art » récusent cette attitude. Les polémistes comme Agrippa d'Aubigné, Voltaire, Chénier ou Hugo sont des écrivains engagés : souvent, ils participent physiquement aux conflits de leur époque (Hugo descend sur les barricades, Agrippa d'Aubigné combat dans les guerres de religion etc...). De plus, ils mettent leur art au service d'idées sur lesquelles ils cherchent à éclairer l'opinion (telle est

taillée. Ce garçon est un romantique. Il représente la jeunesse bourgeoise qui réfléchit. Les enfants participent aussi au soulèvement. L’enfant qui brandit deux pistolets a peut-être inspiré le personne de Gavroche dans Les Misérables (1862) de Victor Hugo. Il porte un besace, une casquette, un pantalon de toile. Sa bouche est ouverte et il regarde vers le spectateur. Jambe droite en avant, bras droit en l’air, bras gauche en arrière. Il incarne la jeunesse passionnée par le liberté. Figure de l’avenir