Les Glaneuses Millet

résidus. Elles sont donc condamner à se contenter de « miettes » pour pouvoir manger. Ceci illustre la misère de la population rurale. - La lumière rasante (on est au coucher du soleil) accentue les volumes au 1er plan et confèrent aux glaneuses l’aspect de sculptures. Ceci souligne leur dignité. - Cette lumière met en relief les mains et les nuques et avive les couleurs des tissus. En arrière-plan : - Le changement d’échelle est brutal - Atmosphère dorée

mais, peu à peu, il s'est imposé comme un style véritable et une esthétique à part entière. Trois artistes français peuvent être qualifiés de représentants du réalisme social : Gustave Courbet, Honoré Daumier et Jean-François Millet. [pic] Des Glaneuses de Millet (1857) [pic]La Toilette de la Morte de Courbet Le réalisme laisse ensuite place au naturalisme, école et doctrine fondée par Émile Zola. Le naturalisme s'est fortement inspiré du réalisme. Ce dernier visait l'imitation

première fois en 1874. Tout en prenant en compte que malgré leurs liens, l’approche de la figure humaine diffère d’un artiste à l’autre. Une transfiguration de la figure humaine apparaît dés le réalisme avec Courbet et plus particulièrement avec Millet qui seront les intermédiaires entre deux genres, académique et moderne. Ils créent une rupture avec l’académie qui va se renforcer avec le groupe impressionniste. En effet, les principes académiques imposés par Félibien en 1667 se voient rejetés par

les personnages ont des sentiments vraisemblables et le milieu ainsi que le physique des personnages sont évoqués avec objectivité. Flaubert (1821-1880) : Eugénie Grandet, Le colonel Chabert Zola (1840-1902) : Germinal Jean-François Millet (1814-1875) : Des glaneuses (1857) Naturalisme : Le naturalisme est un mouvement littéraire (vers 1860-1890) qui prolonge le réalisme et qui s’attache à peindre la réalité en s’appuyant sur un travail minutieux de documentation et en s’inspirant notamment de

Et cela ne découlait pas du hasard ....I848 avec ses mouvements sociaux et politiques avait fortement marqué les esprits. C'est dans la lignée des peintres réalistes que se place Léon Lhermitte , très influencé qu'il fut par Jean-François Millet ( "Les glaneuses").Et c'est ainsi que très naturellement , ce fils d'instituteur , né dans l'Aisne en 1844, se fit le continuateur de son ainé en se spécialisant dans des compositions ( au pastel , au fusain , ou à l'huile )mettant en scène la vie rurale

œuvre raconte l’histoire de Frédéric Moreau, jeune bachelier, il a le coup de foudre pour Madame Arnoux, femme d'un spéculateur qui finira ruiné. Si elle lui avoue, fort tard, qu'elle partage son amour, elle ne lui cédera jamais. Jean-François Millet est né le 4 octobre 1814 et meurt le 20 janvier 1875. Il est un peintre réaliste mais aussi pastelliste, graveur et dessinateur français du XIXe siècle, et l’un des fondateurs de l’école de Barbizon. Il est particulièrement célèbre pour ses scènes

sociale des paysans. Les artistes représentent ce qu’il voient réellement et non plus des sujets académiques avec des modèles posant dans un atelier. Il existe trois peintres fondamentaux , Jean Baptiste Corot , Gustave Courbet et Jean Francois Millet. Jean-Baptiste Corot est né le 16 juillet 1796 à Paris et meurt le 22 février 1875.Ses œuvres se caractérisent par des paysages idylliques c’est à dire paysages merveilleux étoffés par de petits personnages. PAGE 2 Ses principales œuvres sont 

de l'auteur est Henri Fantin-Latour , elle a était créer vers 1864, elle fait 160 cm de hauteur et 250 cm de longueur, la technique utiliser est huile sur toile. la troisième œuvre se prénomme Des Glaneuses dit aussi Les Glaneuses, le nom de l'auteur est Jean-François Millet, elle a était créer en 1857, elle fait 83,5cm de hauteur et 110cm de longueur, la technique utiliser est huile sur toile. a)Définition du surréalisme : Courant littéraire et artistique du début du XX ème siècle

fenêtre" (1875) Gustave Courbet : "Un enterrement à Ornans" (1849-1850) qui a inspiré à Pascal Mérigeau le début de sa nouvelle Quand Angèle fut seule. Il y a également les œuvres telles que "La femme au puits" (1858-1860) et "Des glaneuses" (1857) de Jean-François Millet ,  

rejeté et critiqué car il choquait le bon goût de l’époque. . L’exemple de Jean François Millet (1814-1875) Son tableau «Des Glaneuses» (1857), est une des oeuvres phares de la fin du siècle, peinte sur un fond clair, dont le rendu final est lumineux. Il représente trois femmes, pauvres, ramassant les restes d’un champ moissonné par des paysans que nous apercevons dans le fond du tableau. Millet peint de façon à ce que toute personne puisse s’identifier à ces paysans, qui chaque jour, luttent