Les Grands Courants De La Pensée Moderne

L’art contemporain commence dés la fin de deuxième guèrre mondiale,fin du 1945 ,mais d’après ce qu’on dire l’art moderne ,avec Picasso,Kandinsky…qui s’achève pendent cette guèrre(l’art modern).précisement l’art contemporain peut distinguer au début des années 1960,qutre décennie de création artistique.plusieurs mouvement s’en dégagent : _le Nouveau Réalisme _l’art Conceptuel _l’art Minimal _le land art _le Pop art _l’Hyperréalisme L’art contemporain marque une rupture avec le cadre classique

donc une sorte de résumé de toutes les connaissances qu'il possède. b) Description historique, description naturaliste (MA → début XIXème). Monde arabe Géo arabe s'épanouit de 800 à 1050. Grâce à la Conquête, le monde arabe découvre la pensée grecque (jusque là connaissance arabes = orales) Après l'an 1000, traces de bcp d'écrits dans le monde musulman + progression des instruments d'observation et de mesure grâce au savoir-faire arabe. remarque : à ce moment il existe 3 espaces

de témoigner de la dimension spirituelle de l’humanité, puisque c’est d’elle, de ses projets, de ses choix, de ses décisions, que dépend le travail. Le dualisme classique | Lorsque Descartes caractérise le corps par l’étendue et l’âme par la pensée, il officialise philosophiquement l’opposition intuitivement perçue entre matière et esprit. Dans la mesure où il considère que l’âme n’est présente, parmi les vivants, que chez l’homme, il en conclut que les animaux ne sont que des "machines", assemblages

Partie : Le Classicisme 1. Présentation 2. Définition 3. Poètes 2ème Partie : Le Baroque 1. Présentation 2. Définition 3. Poètes 3ème Partie : Comparaison des ces deux mouvements I/ : Le Classicisme 1. Présentation : Le classicisme, courant esthétique regroupant l'ensemble des ouvrages qui prennent comme référence esthétique les chefs-d'œuvre de l'Antiquité gréco-latine. Le terme a une définition esthétique mais aussi historique, puisqu'en France l'«époque classique» est la période

satisfaire ses plaisirs est un caractère inéluctable de la civilisation moderne. En effet, si nous sommes en voie d’être le « dernier homme » voire si nous avons déjà atteint le caractère du « dernier homme », cela veut-il dire que le régime libéral et démocratique représente l’aboutissement de notre civilisation dans lequel l’homme est entièrement satisfait ? Afin de répondre à cette question, nous verrons que l’homme moderne répond en apparence aux critères du « dernier homme » de Nietzsche par

Idéologies politiques modernes Le peuple dans la pensée politique du XVIe au XVIIIe siècle Nos vies politiques modernes sont encore organisées autour de la relation de commandement à obéissance à laquelle nous soumet la souveraineté étatique. Cette notion d'obligation à un pouvoir politique centralisé est une forme particulière de soumission qui apparaît au XVIe siècle à travers la pensée de Bodin, et se développe plus précisément encore

qui puise ses fondements dans le nombreux courants de pensées : courant néoclassique, théorie des organisations, etc. et qui par bien des aspects rejoint l’idéologie du Public Choice reposant sur l’individualisme méthodologique (cad sur l’idée selon laquelle les intérêts d’une organisation publique doivent avant tout être analysés au travers des individus qui la compose et des stratégies qui leurs sont associés), le recours aux privatisations et une grande souplesse et décentralisation des unités

arguments antifatalistes 2.2.1 L’argument paresseux 2.2.2 L’argument moral 2.3 Réponses de Chrysippe à ces arguments antifatalistes 2.3.1 La distinction entre causes externes et causes internes 2.3.2 La liberté au sein du fatum 3 Le fatalisme moderne 3.1 Le fatalisme des matérialistes français 3.2 La loi, élément de détermination du comportement 4 Citation 5 Voir aussi 5.1 Articles connexes 5.2 Bibliographie 5.3 Liens externes 5.4 Notes La connotation négative du fatalisme[modifier

Henri BERGSON “ LA PHILOSOPHIE FRANÇAISE” 1 (Tableau récapitulatif destiné à l’Exposition de San Francisco) La Revue de Paris, livraison du 15 mai 1915, pp. 236-256. Le rôle de la France dans l’évolution de la philosophie moderne est bien net : la France a été la grande initiatrice. Ailleurs ont surgi également, sans doute, des philosophes de génie ; mais nulle part il n’y a eu, comme en France, continuité ininterrompue de création philosophique originale. Ailleurs on a pu aller plus loin dans

expression de la société : signes / symboles - transformation de la société : conflits / contradictions Mais, Comte, a apporté à cette doctrine, un nouveau tour en montrant ce qu’elle n’était pas. Pour lui, le positivisme est un ensemble de courants qui considère que seules l’analyse et la connaissance des faits réels vérifiés par l’expérience peuvent expliquer les phénomènes du monde sensible. De plus, Comte va énoncer un autre concept (la loi des trois états) selon lequel l’esprit humain