Les Guêpes Aristophane

succès populaire de la démocratie (qui est, rappelons-le, à l'origine une invention de politiciens aristocrates pour faire face aux revendications d'une petite bourgeoisie naissante) est critiqué. Pour Aristophane, qui critiqua notamment le passage à trois oboles du misthos sous Cléon dans sa pièce les Guêpes, mais aussi Aristote, les pauvres, de plus en plus impliqués dans l'exercice du pouvoir, sont plus sensibles aux arguments des démagogues. Ainsi la foule des citoyens, sous l'influence de la vindicte

particulier sur les emprunts et les réécritures. • Textes échos de l’Antiquité Ils permettent d’établir des liens entre théâtre antique et théâtre classique et d’étudier le traitement littéraire de figures historiques et / ou légendaires. – Aristophane, Les Guêpes (vers 422 av. J.-C.), p. 133 – Euripide, Hippolyte (428 av. J.-C.), p. 162 – Sénèque, Phèdre (ier siècle ap. J.-C.), p. 163 – Sénèque, Médée (ier siècle ap. J.-C.), p. 181 – Euripide, Iphigénie à Aulis (406 av. J.-C.), p. 210 • Choix

être spectateurs en compagnie des citoyens. Peu à peu, le chant diminua au profit du dialogue. A partir de cette origine religieuse, le théâtre a conservé des scènes rituelles: deuil, sacrifice et supplications ainsi que des chants religieux. Aristophane, Eschyle, Euripide, Ménandre, Sophocle respectivement poète comique, auteur tragique, poète tragique, auteur comique et auteur tragique de l’antiquité grecque sont les plus reconnus de leur époque. B) Le théâtre romain Au départ, les romains

succès populaire de la démocratie (qui est, rappelons-le, à l'origine une invention de politiciens aristocrates pour faire face aux revendications d'une petite bourgeoisie naissante) est critiqué. Pour Aristophane, qui critiqua notamment le passage à trois oboles du misthos sous Cléon dans sa pièce les Guêpes, mais aussi Aristote, les pauvres, de plus en plus impliqués dans l'exercice du pouvoir, sont plus sensibles aux arguments des démagogues. Ainsi la foule des citoyens, sous l'influence de la vindicte

succès populaire de la démocratie (qui est, rappelons-le, à l'origine une invention de politiciens aristocrates pour faire face aux revendications d'une petite bourgeoisie naissante) est critiqué. Pour Aristophane, qui critiqua notamment le passage à trois oboles du misthos sous Cléon dans sa pièce les Guêpes, mais aussi Aristote, les pauvres, de plus en plus impliqués dans l'exercice du pouvoir, sont plus sensibles aux arguments des démagogues. Ainsi la foule des citoyens, sous l'influence de la vindicte

comparées des Guêpes d'Aristophane et Les femmes savantes -Les Guêpes d'Aristophane : Cette comédie s'inscrit dans la vaste campagne qu'Aristophane entreprit de mener contre la pourriture du régime politique de l'époque. « Il faut, disait-il, soumettre Athènes à un lavage de cerveau pour la guérir de Cléon. » Un démagogue, dans l'Antiquité grecque, était un chef du parti populaire ; ce n'est que plus tard que le terme prit le sens péjoratif qu'on lui connaît. Dans cette comédie, Aristophane s'en prend

succès populaire de la démocratie (qui est, rappelons-le, à l'origine une invention de politiciens aristocrates pour faire face aux revendications d'une petite bourgeoisie naissante) est critiqué. Pour Aristophane, qui critiqua notamment le passage à trois oboles du misthos sous Cléon dans sa pièce les Guêpes, mais aussi Aristote, les pauvres, de plus en plus impliqués dans l'exercice du pouvoir, sont plus sensibles aux arguments des démagogues. Ainsi la foule des citoyens, sous l'influence de la vindicte

revint à Athènes, vraisemblablement en 388. Il avait quarante ans. La guerre durait encore ; mais elle allait se terminer l’année suivante par la paix d’Antalkidas. À ce moment, Euripide était mort et n’avait pas eu de successeur digne de lui. Aristophane venait de faire jouer son dernier drame, remanié, le Ploutos, et le théâtre comique ne devait retrouver son éclat qu’avec Ménandre. Mais si les grands poètes faisaient défaut, la prose jetait alors un vif éclat avec Lysias, qui écrivait des plaidoyers

discours logique et démonstratif (Platon, Aristote)   Et encore, les Grecs ont inventé la logique, l’induction, la déduction, le syllogisme, le principe d’identité,…le théâtre, le rapsode,…la tragédie (Eschyle, Sophocle et Euripide) et la comédie (Aristophane), l’Histoire (Hérodote, Thucydide)   Les Grecs ont l’idée de changer le système de gouvernement, ils ont supprimé le Roi et ont créé une organisation de la cité où chaque citoyen peut intervenir et discuter à égalité avec les autres (eunomia

revint à Athènes, vraisemblablement en 388. Il avait quarante ans. La guerre durait encore ; mais elle allait se terminer l’année suivante par la paix d’Antalkidas. À ce moment, Euripide était mort et n’avait pas eu de successeur digne de lui. Aristophane venait de faire jouer son dernier drame, remanié, le Ploutos, et le théâtre comique ne devait retrouver son éclat qu’avec Ménandre. Mais si les grands poètes faisaient défaut, la prose jetait alors un vif éclat avec Lysias, qui écrivait des plaidoyers