Les Hauts Murs

Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan, l’Afghanistan, le Pakistan, au sud par l’Inde, le Népal, le Bhoutan, la Birmanie, le Laos et le Vietnam. La moitié ouest du pays est constituée de montagnes et de plateaux (Xinjiang, Tibet) qui sont les plus hauts du monde (4000 à 8000 m). Les deux tiers du pays sont d’ailleurs situés à plus de 1000 mètres d’altitude. On distingue au nord-est la plaine de Mandchourie encadrée de massifs boisés ; au nord la grande plaine de Chine, la vallée du Yang Tse Kiang

: le second hémistiche contient un rythme (2/4) qui indique l’intonation montante du mot « France », qui donc le met en relief, mot cher à leur cœur. c) en soulignant la manière injuste dont ils ont été traités : « Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants L'affiche qui semblait une tache de sang Parce qu'à prononcer vos noms sont difficiles Y cherchait un effet de peur sur les passants » La propagande nazie veut en faire de dangereux terroristes

l’acquisition des savoirs. Cependant, dans cette pédagogie traditionnelle, l’élève s’implique peu dans la construction du cours. L’institution scolaire est marquée par une clôture stricte se traduisant spatialement dans l’architecture (hauts murs, portes closes, etc.). Le temps est lui aussi fortement encadré (sonneries, heures de classe contraignant à l’immobilité, etc.). L’école est conçue comme un univers en complète rupture avec la vie familiale et professionnelle, pour y mener des tâches

de plus en plus rude mais très inégalitaire : «Les familles pauvres se trouvaient ainsi dans une situation très pénible, tandis que les familles riches ne manquaient à peu près de rien » le champ lexical de la prison est utilisé : «sentinelle, hauts murs de ciment, quarantaine, exclus, portes d’entrée, évasion difficile, refermée sur elle-même.» Les rumeurs comme celles pendant la guerre sur les camps de concentration, ici « camps d’isolement » Ici il y a l'idée que les prisonniers entendent tous

une signification beaucoup plus générale. Il se veut également témoignage sur la souffrance et la maladie, sur l'engagement de certains hommes, qui savent pourtant que ce combat est sans fin. - Le ghetto : champ lexical de la prison = sentinelle, hauts murs de ciment, quarantaine, exclus, portes d’entrée, évasion difficile, refermée sur elle-même.- Les rumeurs, comme celles pendant la guerre sur les camps de concentration, ici « camps d’isolement » = Idée que les prisonniers entendent ce qui se passe

La fille de papier GUILLAUME MUSSO : L’auteur Né en 1974 à Antibes, Guillaume Musso rencontre la littérature à dix ans, passant une bonne partie de ses vacances dans les murs de la bibliothèque municipale dirigée par sa mère. Il commence à écrire lorsqu’il est étudiant. A 19 ans, fasciné par les Etats-Unis, il séjourne plusieurs mois à New York et dans le New Jersey. Il y travaille comme vendeur de crèmes glacées et cohabite avec des travailleurs de toutes nationalités. Il dit avoir beaucoup appris

appliquées sur lui, d’assurer l’isolation thermique du bâtiment et de recevoir les différents types de revêtement. Le plan de dallage que j’ai réalisé est présenté dans l’annexe II - PLAN DE COFFRAGE DES PLANCHERS HAUTS DES ETAGES : Les plans de coffrage des planchers hauts (Pl. H) qu’on a, dans ce projet, sont trois : Plan coffrage du plancher haut du sous sol, Plan coffrage du plancher haut du RDC, Plan coffrage du plancher haut du Terrasse Dans l’annexe, j’ai présenté ces plans qui regroupent

l’industrie au service d’une esthétique chaleureuse et colorée. L’emprunt à des formes organiques ou plus directement végétales est fréquent. On retrouve ces formes avec ce pilier soutenant l’escalier, qui rappelle un arbre, ou encore, au sol et sur les murs, il y a ces lignes courbes, qui rappellent des tiges, des lianes ou même des branches. L’arbre prend donc ici son sens dans le lien qu’il fait entre la résidence qui a était entièrement construit par des hommes, et, la nature. Malheureusement dans

de sa portée. Même le jardin, qui lui semble un lieu d'évasion, est qualifié par Casilda d'« aimable endroit!/ mais à travers la description qu'elle en fait ensuite - « Des pièges sont creusés derrière tous les marbres.: On ne voit rien. Les murs sont plus hauts que les arbres. » (v.688-90)- on comprend qu'il s'agissait d'une antiphrase. Pour résumer, les lieux expriment le même sentiment que les costumes: la vraie personnalité est enfermée par le statut social et l'apparente libération, notamment

leur cohabitation avec la promenade. Il y a également une seconde séquence, en amont de l’Île Barbe, qui est plus pour la promenade. Elle consiste à établir un dialogue visuel avec le site de l’Île. Il y a aussi une importante végétation le long des murs en béton du quai et des plantations qui viennent embellir la promenade. Ce nouvel espace public est connecté à Cuire le Bas par une nouvelle rampe. Le Chemin nature, sera propice aux activités comme la marche, la course à pied, la pêche à la ligne