Les Idiots

idéal de modération et d'équilibre dans l'usage de toutes les facultés. L’Honnête homme est un généraliste, ce qui suppose une représentation unifiée du savoir. Il s’oppose ainsi au « "spécialiste" (en grec, idiôtès : celui qui s'enfermant dans un savoir unique, devient stupide, idiot)[2].» Cet idéal de formation (généraliste) visait moins à développer un certain type de savoir particulier qu'à faire naître le «bon goût». Cette conception de l'Honnête homme renvoie au principe de Montaigne voulant

farcesque de la scène de ménage. Reconnaissant Mère Ubu qui vient de le gruger-rappelons que tromper l’autre est le ressort universel de la farce-Père Ubu l’agonit d’injures : « charogne », « sotte chipie »charogne », « idiote », « sotte créature », « sotte bourrique », « idiote », « grotesque ». « Charogne » est une injure violente car le mot évoque un cadavre en décomposition, quant à « grotesque », il détonne dans ces insultes conjugales et paraît s’appliquer à la fois aux personnages et à la

provisions, déjà entamé de moitié. Je dois pourtant me forcer à ne pas les manger. La flaque d’eau, elle, est presque asséchée. Je pense au repas avec les copains pendant lesquels j’engloutissait quantités de nourriture à m’en rendre malade. Quelle idiot, quelle idiot ! Je me fais mal pour rien... 11° jour ? Mes doigts, mes orteils, mon nez sont gelé. Je ne les sens quasiment plus. J’ai l’impression d’être fait en verre. Mon visage me brûle. Le temps que je ne voit plus passer, qui pour moi n’existe

mais de loin, trop mal même pour être Mme Coupeau. Elle perd aussi conscience d'elle-même, mais sans sombrer dans la démence spectaculaire de son mari. Le lexique nous indique qu'elle « perdait la tête souvent », « battait les murs », « devenait idiote ». Dans les trois cas, la démence spectaculaire lui est refusée : perdre la tête est en effet une expression populaire (donc non médicale) qui réfère à toutes sortes de petits troubles de la conscience. « Battre les murs » est une réactivation de

deux vitrines de boutiques commerçantes : l'une vend des prothèses et l'autre des perruques : la rue de Prague est en effet une rue commerçante. Sur le mur entre les deux boutiques on peut voir une inscription en allemand : "Dumm" qui signifie "Idiot". On peut voir une faux qui traverse le tableau de part en part ainsi que plusieurs mains squelettiques qui la tiennent. Expliquer le sens de l’œuvre Otto Dix dénonce à travers les deux mutilés une humanité disloquée qui souffre. Le cadrage

montre en effet une précipitation qui méprise le détail et pardonne l'erreur. Le philosophe Alain pense qu'on ne peut atteindre la vérité sans passer par ce qu'il appelle esquisse, selon lui l'homme qui soit doté d'un esprit normal ou qu'il soit idiot passe obligatoirement par l'erreur afin de posséder par la suite le vrai, c'est donc pour cela qu'il fait une comparaison de l'humain avec l'abstrait. Ici une première esquisse c'est donc l'erreur pour espérer obtenir le résultat final qui est ainsi

évidente Y va lui répondre  « un bateau » Cette réponse spontané, est évidente grâce à notre vécu, à notre éducation, donc dans ce cas il ne va pas avoir de réflexion importante. Cependant le récepteur va se dire mais X est complètement natif, c’est un idiot, il ne sait rien. Et c’est compréhensible car une question profonde est avant tout une question personnelle qui nous perturbe, qui nous interroge à l’intérieur de nous même, dans notre esprit. Il y a donc question profonde car elle est en nous, à

marteler l’identité de ceux qui vont résister. Car il s’agit avant tout dans ce poème de faire naître l’espoir. Le poète parle avec certitude, au présent de l’indicatif, dans des phrases affirmatives : « c’est de nouveau le matin »(v.32), « la force idiote a le dessous » (v.35). Il insuffle de la force à ses compatriotes grâce à l’impératif « ayons du courage » (v.25). Eluard ravive l’espoir. Si le désespoir s’était installé, les premiers vers laissaient entendre que les « travailleurs affamés » ne

vantant du contraire, a toujours craint d'être cocu. En matière d'éducation il la préfère inculte et incapable de se remettre en question pour la garder soumise et dépendante. V136 « Je la fis élever selon la politique » V138 « Pour la rendre idiote autant qu‘il se pourrait » Il informe son ami Chrysalde de son intention de se marier. Il envisage d'épouser sa pupille, Agnès, qu'il a fait élever, dès l'âge de 4 ans, dans un couvent en prenant soin de la priver de toute instruction De nombreux

l’équipement d’escrime, à Antolini, à Sally, aux trois idiotes à qui il dit avoir aperçu Gary Cooper.… Ces mensonges ridicules témoignent de son immaturité. D’ailleurs, il n’arrête pas d’exagérer, des hyperboles ? Avec lui, le temps est subjectif, ça prend toujours des heures alors qu’en réalité on ne compterait pas plus de 10 minutes ! Notre personnage ne tourne pas rond émotivement ni mentalement. Il le dit lui-même; il est fou, de façon passagère, idiot parfois. Il lui arrive d’être sadique, trouillard