Les Idiots

une passion enfantine: il adore énormément caresser les choses douces. Ayant une très grande force physique, il ne parvient pas à dominer sa puissance surnaturelle. Il est également simple d'esprit et irresponsable, et passe constamment pour un « idiot ». Cela finit par lui causer des ennuis avec Curley, le fils du patron, et avec sa femme. En effet, la belle et jeune femme de Curley va proposer à Lennie de toucher ses cheveux. Mais tout va mal tourner. Lennie va tuer accidentellement cette femme

vous n’êtes qu’un imposteur. Si vous voulez vraiment qu’on vous croit, montrez-nous vos pouvoirs psychiques en essayant de me tuer par la pensée devant les téléspectateurs ». Mister John, humilié et furieux, répliqua: « Vous me traitez comme un idiot et vous doutez de mes pouvoirs en me traitant d’imposteur. Vous allez le regretter! Alors selon votre volonté, je vais vous tuer ». Puis subitement, Christopher commença à gémir dans tous les sens en tenant très fort son foulard comme si il l’étranglait

| |Le dernier plan se compose de vitrines de magasins. Dans l’une sont exposées des perruques pour dames, et dans l’autre on peut voir un | |mannequin en pièces détachées et des prothèses. Sur le mur entre les deux vitrines le mot « Dumm » (« idiot ») est griffonné. | |- Interprétation  : La société allemande d’après guerre | |Les mutilés (plus les prothèses dans la vitrine) rappellent les anciens

quand on regarde la ligne 14, on retrouve le ton véhément de Créon grâce à la ponctuation : « Mais bon Dieu ! Essaie [...] petite idiote ! ». Les points d’exclamation et le juron « bon Dieu », mais aussi l’expression « petite idiote » montrent que Créon parle dans le but de briser la résistance d’Antigone, en lui faisant peur pour qu’elle cède. Les mots « petite idiote » rabaissent Antigone, font d’elle une enfant face au roi, ce qui peut l’intimider. La der- nière phrase du passage va dans le même

pousse son lecteur a plus se libérer grâce à la réalité que part son livre. Pour établir cela, malgré une identification il nous rabat toujours vers nous. La première fois c’est lorsque Estelle dit : «Idiot! Cher idiot! Penses- tu que je pourrais aimer un lâche!» L’auteur utilise une répétition du mot «idiot», ce qui montre une stupidité de croire qu’il est un lâche. L’effet de distanciation est créer, car la fin on ne peut être sûr de notre vrai soi du au caractère de masochiste des personnages, on est

par sa physionomie cela voudrait dire que l’homme est déterminé avant sa naissance puisque la physionomie est déterminé grâce aux gène dans l’ADN. Mais ce sont ces actions qui le définit car si un homme à un cœur idiot ou encore un cerveau cela ne veut forcément pas dire qu’il sera idiot. Cette phrase représente la base de la doctrine sartrienne. 5) Sartre critique l’existentialisme chrétien et ce fait il critique également les doctrines du déterminisme et de la fatalité. De plus il défend l’existentialisme

décoller du papier peint à la vapeur, démonter le moteur d’une tondeuse en panne... Il a déjà inventé, entre autres choses, une machine à éplucher les bananes et des chaussures à talon déplaçable pour marcher en montagne... Car Grégoire n’est pas idiot, loin s’en faut. Il est seulement nul à l’école, allez savoir pourquoi. Ses parents aimeraient bien l’aider, mais ils passent plus de temps à se chamailler qu’à s’occuper réellement de leur fils. Le seul qui l’écoute vraiment, c’est son grand père

femme comme en tout" Il considère la femme comme un être inférieur et en matière d'éducation la préfère inculte et incapable de se remettre en question pour la garder soumise et dépendante : « une femme qui tienne tout de moi » - non éduquée, « idiote » Il faut donc qu'elle soit coupée du monde extérieur, "je l'ai mise à l'écart" : de manière à garder toujours une main mise sur elle. De son point de vue sur cette question, nous pouvons déduire que nous avons un homme qui a une peur maladive de

tournant en dérision. Ce personnage étant un des personnages de roman les plus connu en France dont l’image est associée à la naïveté, la jeunesse et à la gentillesse. Desproges tente donc de le montrer sous son « vrai visage », en le montrant comme un idiot puisqu’il ne sait même pas répéter la phrase de Clyclopède sans se tromper, il emploie le mot « truc » à la place de « choses », le personnage de Clyclopède le reprend d’ailleurs à la réplique suivante. Mais la plus grosse critique du personnage qui

de devenir amie avec lui quand même, mais peut-on rester sans jamais voir ce sourire ?! Si tendre, si innocent et peu sûre de lui, jamais plus adressé à une pauvre idiote comme moi. Suis-je perdue sans repère visuel, sans toi... Ma plus grande douleur est de savoir que toi même tu as changé de regard sur moi. La destiné est une idiote comploteuse briseuse de cœur. Je sais qu'un jour viendra, où je ne me laisserais plus l'aimer... Il s'amuse de moi mais je ne peux pas lui résister, je défis la