Les Jacobins

famille qui est ensuite enfermée. La royauté est tombée. La constitution de fait est caduque, la législative se sépare et une nouvelle assemblée est réélue au suffrage universel, c’est la convention. C. La constitution de l’an I ou la République Jacobine C’est une période qui correspond à la phase radicale de la révolution française, c’est l’apogée révolutionnaire avec la mise en œuvre du gouvernement révolutionnaire. La convention va être élu au suffrage universel, on voit revenir des participants

France était l'exemple même de l’État centralisé et son fonctionnement était donc très différent de celui que nous connaissons aujourd'hui . I) la France , un état en cours de décentralisation depuis 1982 1) la France jacobine Avant 1982 la France était défini comme étant jacobine , c'est a dire qu'elle était extrêmement centralisé , que toutes les décisions était prise dans la capitale peut importe le lieu ou elle serait appliqué . Le pouvoir était organiser de manière très administrative et était

éphémères : 1791, 1793 (an I), 1795 (an III). Chacune correspond à un type de régime. La Constitution de 1791 ne dure pas plus d’un an avec la chute de la Monarchie le 10 août 1792. C’était une expérience de monarchie constitutionnelle. La Constitution jacobine de 1793 dure jusqu’au 27 juillet 1794 (9 thermidor an II). Elle n’a d’ailleurs jamais été appliquée, et instaure une République de type totalitaire. La Constitution de 1795 se termine le 9 novembre 1799 (18 brumaire an VIII). Elle met en place une

du roi, le 20 et 21 juin 1791, est un des actes essentiels de la Révolution car elle démontre l’incompatibilité de la royauté et de la nation révolutionnaire et précipite le conflit intérieur[41] entraînant une division entre jacobins monarchistes constitutionnels et jacobins démocrates[42]. Les premiers comme Bailly, La Fayette ou Barnave, pressés de terminer la Révolution mettent sur pied la thèse de l'enlèvement du roi et par les décrets du 15 et 16 juillet le font innocenter et rétablir dans ses

gauche se divise à nouveau et des patriotes extrémistes, les jacobins, se détachent du lot. Parmi eux, on retrouve Danton et Robespierre. La vie politique est donc marquée par un durcissement du mouvement révolutionnaire, d'autant plus que les forces extérieures à l'assemblée prennent de plus en plus de place : le peuple de Paris, les journalistes comme Marat, Brissot ou Desmoulins. On se retrouve dan des clubs pour discuter : le club des jacobins, le club des girondins, le club des cordeliers etc. Ces

conditions Bonaparte n’aura aucune peine à dire qu’il est le premier représentant du peuple. légitimité populaire sans précédent. B. Le déclin de la souveraineté du peuple Bonaparte était un ancien lecteur de Rousseau, ancien officier Jacobin et donc personne ne s’étonne qu’à l’époque le 1er Consul affiche de manière péremptoire sa fidélité à la souveraineté du peuple. Il déclare que tous les pouvoirs dérivent du peuple – dont la souveraineté est « inaliénable ». Les faits, les réalités

jamais ! 1 Un des chefs de la Gironde, décrété d’arrestation avec vingt-et-un autres députés du parti girondin le 2 juin 1793. 2 Où elle est incarcérée depuis le 12 juin 1793. 3 Buzot essaie de rallier ce département à la lutte contre la Convention jacobine. 4 A la bataille de Philippe (42 av. J.-C.), Brutus et Cassius, assassins de César pour sauver la République romaine de ses velléités royalistes, sont définitivement vaincus par Antoine et Octave, futur empereur Auguste. 5 Le Maire de Paris. 2

(1789-1791) d’une deuxième plus autoritaire et plus radicale (1792-1799). Napoléon reprend les idées de 1789 et apaise les tensions sociales héritées de la période révolutionnaire. En effet, la révolution a divisé les français. En 1799 les jacobins, les royalistes (les chouans de Vendée) et les catholiques sont rejetés dans les rangs de l’opposition. D’une part, Napoléon dirige une politique d’ouverture envers les chefs vendéens : il supprime la loi sur les otages tandis que le général Hédouville

la ville aux troupes royalistes et britanniques le 18 décembre. Ses ordres contribuent à forcer la flotte britannique à quitter Toulon. Il est fait général de brigade le 22 décembre. Après cette victoire, il sert en Italie. Ses amitiés avec les jacobins lui valent d’être arrêté après la chute de Robespierre le 27 juillet 1794.Libéré, il refuse d'être affecté en Vendée et erre à Paris un temps sans commandement effectif, puis Barras lui demande le 5 octobre 1795 (13 vendémiaire an IV) l’insurrection

POLITIQUES : Assemblée nationale (17 juin 1789 – 9 juillet 1789) Assemblée nationale constituante (9 juillet 1789 – 1er octobre 1791) Assemblée législative (1er octobre 1791 – 21 septembre 1792) Convention (21 septembre 1792 – 26 octobre 1795) _ Jacobine (1792 – 1794) _ Thermidorienne (1794 – 1795) Directoire (26 octobre 1795 – 9 novembre 1799) Consulat (10 novembre 1799 – 18 mai 1804) Premier Empire (18 mai 1804 – 6 avril 1814 et 1er mars 1815 – 22 juin 1815) Restauration (6 avril 1814 – mars 1815