Les Limites De La Belle Epoque

du Chastellet). Celui-ci a trente ans et elle dix-neuf. Elle vit quelque temps à Semur-en-Auxois dont son époux est gouverneur, et y rencontre le mathématicien Marcel de Mézières. Son mari la laisse vivre librement se rendant compte de ses propres limites autant que des capacités intellectuelles de sa femme. Elle a, de son mari, trois enfants, dont Louis Marie Florent du Châtelet, mais son époux, pris par sa carrière militaire, ne la voit que très rarement. Elle a d’ailleurs été auparavant la maîtresse

Saint-Pétersbourg. Ces nouvelles, histoires brèves comprenant peu de personnages chacune, décrivent la société russe de l’époque, cette description inscrit l’œuvre de Gogol dans le réalisme du XIX eme siècle; mais il serait beaucoup trop restrictif de limiter cet ouvrage à une description, le côté étrange de ces nouvelles les apparente au fantastique. Nous essayerons de rechercher les éléments tant réalistes que fantastiques dans l’œuvre les Nouvelles de Pétersbourg. I – L’ASPECT REALISTE DES

vit s'épanouir l'art nouveau, s'étend approximativement de 1880 à 1925; elle correspond en partie à la « Belle Époque ». Les idées directrices visent à créer (en particulier dans le domaine de l'architecture et des arts appliqués) des formes rigoureusement fonctionnelles tout en étant décoratives. C'est ce double aspect « fonction-décoration » qui fait à la fois la valeur historique et la limite de l'art nouveau. La recherche d'une architecture fonctionnelle devait donner lieu à des développement nombreux

semble très chagriné par le sens commun qui critique et qui tranche, sans aucune considération pour la philosophie et donc pour le "principe d'égalité naturelle des goûts". Même lorsque cela semble absurde, il faut accepter cet axiome, et non pas se limiter à la facilité dans l'opinion. De la règle de l'art Il existe, selon Hume, des règles de l'art. On le constate en analysant ce qui plaît ou déplaît depuis la nuit des temps. Par empirisme, donc, et observation, même s'il existe certains génies

femmes ne sont accessibles que dans des rencontres publiques très encadrées. Les rites sociaux Ces rites sociaux sont présents dans les textes du corpus. Le Moyen-Âge et la Renaissance ont connu la poésie de cour. Ronsard, déjà bien vieux pour son époque – il a cinquante-quatre ans – s’adresse à Hélène dans ses Sonnets. Hélène est un personnage réel, Hélène de Surgères, fille d’honneur de Catherine de Médicis ; mais pour Ronsard, il s’agit aussi de viser l’éternel féminin au travers de la mythique

principal d’accéder au bien. Face à l’importance de cette tradition, peut-on dès lors considérer que le mal soit l’objet artistique par excellence ? Il est d’usage de distinguer trois types de mal : le mal métaphysique, qui désigne la finitude ou les limites de la condition humaine ; le mal physique, la douleur, la maladie et tout ce dont on souffre ; et le mal moral, la faute et le vice. C'est à la forme morale que l'on s'attachera plus particulièrement ici sans pour autant exclure les deux autres formes

véhicule qui transporte des significations propres à l'imaginaire commun des sociétés. Le conte étant devenu un instrument thérapeutique mais aussi un outil pédagogique, mais il reste comme même comme un moyen de divertissement. Au cours des époques et au gré des contrées, les contes sont remaniés, crées et transformés. Charles Perrault, n'a rien inventé de nouveau. Il a compris que ces récits renfermaient une force redoutable. Ainsi, il a repris ces contes en les réadaptant. Certains auteurs

ne peut pas être morale, c'est-à-dire qu'il lui est impossible de transmettre des valeurs, qu'elles soient communément acceptées ou rejetées. Le postulat premier de l'œuvre littéraire est donc que, en tant qu'œuvre artistique, elle se doit d'être belle. Oscar Wilde dans la préface de son roman Le Portrait de Dorian Gray déclare : « L'appellation de livre moral ou immoral ne répond à rien. Un livre est bien écrit ou mal écrit. Et c'est tout. [...] L'artiste peut tout exprimer. ». Ainsi, pour le romancier

LA FRANCE DE LA BELLE EPOQUE 1900 1914 La France a la veille d’un conflit majeur présente a la fois des forces et des faiblesses A. La France soucieuse de s’affirmer sur la scène internationale : 1. Une modernisation économique incomplète : s’affirme comme une puissance économique même si cette modernité est incomplète • Puissance économique : -Période de croissance : phase A du cycle kondratiev :  Innovation et progrès technique qui stimule la production d’où des prix, salaires

Terre Sainte pour libérer le tombeau du Christ qui fit naître un nouveau statut chez les hommes, celui du chevalier croisé : sans peur et sans reproche. Le chevalier croisé est un modèle pour tous les hommes européens: il est d’une générosité sans limites, il se montre vaillant au combat, loyal à son seigneur, à sa patrie et à son Dieu. Le sens de l’honneur lui est plus important que sa propre vie. Les chansons de geste son comme les chanson grecs de l'Antiquité ,par rapport à la mythologie grec et